Aujourd'hui était une bel journée ensoleillé : les oiseaux chantait, le soleil brillait... A qui j'vais faire croire sa !?
En pleine mois de Juin avec 40 degrés ! Hibiki vivait un enfers, lui qui avait horreur de la chaleur, il fessait de son mieux pour éviter de se dessécher, déjà que son alter alter le rendait extrêmement sensible a la chaleur, il fallait que la climatisation lâche également, c'est pourquoi il tentait temps bien que mal de rester dehors, au moins l'air ambiant avait beau être chaud il était renouveler, pas comme dans son appartement : un vrai Sauna !
Alors qu'il cherchait un coin, de préférence a l'ombre, avec son sac rempli de bouteille d'eau, son alter l'obligent a s'hydrater constamment par cette fournaise.
C'est complètement par hasard, qu'Hibiki se retrouva sur les terrain d'entrainement de U.A...

"Journée pourri... maudite canicule... j'en peut plus, tuez moi !..." se disait il, quand quelque chose attira son attention.
Une jeune fille était là inconscient en plein soleil, à sa grande surprise.
Hibiki se précipita vers la demoiselle, et commençât par la porter a l'ombre, il n'allait pas la laisser se transformer en poisson griller...
Après avoir déposer la fille a l'ombre d'un arbre, il commençât par l'éxaminer réfléchissent à comment il allait pouvoir lui venir en aide...
"Bon Hibiki, du calme ! procédons par ordre ! déjà cette fille c'est une élevé ? a premier vu : oui, vu qu'elle porte l'uniforme... pourquoi elle est là ? mystère ! et enfin pourquoi elle est dans les vapes ?..."
Tout en réfléchissant, Hibiki posa involontairement sa main sur la tête de la jeune fille, se rendent compte qu'elle était anormalement chaude...
"Mille pétard ! elle est brûlante cette fille !" s'écria t'il "La rafraichir ! Et vite ! aller chercher de la glace !" commençat à t'il a paniquer avant de se calmer avec un tape sur son front "Mais réfléchis Hibiki t'as tout se qu'il te faut !"

Hibiki se mit derrière la jeune fille et plaçât ses mains en croix avant de les poser sur le front de la jeune fille, puis il déclenchât son alter a faible puissance, juste pour refroidir la tête de la demoiselle.

Ce jour là, le soleil tapait fort sur la ville. Cependant, j'avais fait comme si de rien n'était et était sortie de ma chambre vers 10h00 du matin en tenue de sport avec cependant une casquette, direction les terrains d'entraînement du lycée.

J'étais toujours aussi motivée à m'améliorer, mon but était d'accroître le temps d'utilisation de mon alter, d'améliorer sa puissance, mais aussi, de devenir plus endurante et plus résistante. Je n'avais rien trouvé de mieux que de me servir des hautes températures du moment pour cela, sortant de ma chambre assez tôt le matin, lorsque le soleil tapait cependant déjà fort, et commençant à m'entraîner sans m'arrêter, me servant de mon alter, courant, bien que je déteste ça et qu'au bout de 5 mètres, je semblai déjà à bout de souffle, et ceux, quelque soit le temps, mais aussi, révisant les techniques de combat que j'avais commencé à apprendre.

En effet, bien que je déteste cela encore plus que la course, j'avais décidé de me mettre au corps à corps, mon alter étant un peu trop restrictif en pleine action, je me devais donc d'avoir un plan B...

Je m'améliorai aussi physiquement en faisant un peu de musculation. Le tout en plein soleil donc, ignorant mon cœur qui battait à toute allure, la sueur qui dégoulinait de partout et ma respiration plus que saccadée.

Pendant deux bonnes heures, je m'étais ainsi entraînée en protégeant cependant ma tête, bien que, transpirant sous ma casquette, cette dernière me donnait sans cesse envie de me gratter, mais je faisais avec, ce n'était pas comme si j'avais le choix... puis, vers midi donc, j'attrapai ma casquette et la jetai au loin, à l'ombre, aux côtés de mes lunettes, de ma bouteille d'eau, mon goûter et ma serviette.

J'avais alors reprit mon entraînement avec d'autant plus de fougue et de hargne, sans prendre de pause, m'efforçant d'aller jusqu'au bout, ayant toujours plus de mal à respirer et transpirant de plus en plus. C'est alors que je sentie ma tête tourner et brûler de l'intérieur, elle commença alors à me faire atrocement mal et j'eus l'impression que mon cerveau cognait à mes tempes, tandis que des étoiles commençait à danser devant mes yeux, il était alors 14h.

Cependant, je ne fis que redoubler d'efforts, comme pour me réveiller et faire de nouveau aller ma tête correctement...

Jusqu'à cet instant où je trébucha. J'eu beau y aller de toutes mes forces, je ne me relevai pas. Je n'avais plus du tout le courage de me relever, j'étais complètement vidée. Et, bientôt, j'eus l'impression que mon cerveau cogna avec d'avantage de fougue sur mes tempes, jusqu'à ce que tout devienne noir.

J'avais mal et chaud. J'avais beau être inconsciente, toute était noir, je ne pensai rien du tout, je ne faisais que subir la chaleur et la douleur vive et violente que je ressentais à la tête, j'avais également l'impression d'entendre mes propres gémissements et, à cet instant, j'étais persuadée que j'allais mourir, grillée sur place, quelle ironie pour quelqu'un qui a un alter servant à brûler tout ce qu'elle voit...

C'est alors que cette douce sensation de frais se fit ressentir...

D'abord, elle me fit très mal de part sa soudaineté, puis, je m'habitua petit à petit et j'imaginai ma tête fumer, tandis que le frais se propagea dans tout mon corps, j'avais toujours aussi mal à la tête, ayant sans doute développer une fièvre, mais le reste de mon corps se calma, notamment mon cerveau qui arrêta de taper à mes tempes.

Je continuai de récupérer pendant encore une seconde ou deux et finit par entrouvrir faiblement les yeux.

Au début, je voyais tellement flou, que je ne vis qu'une tache blanche assombrie, deux bleus, et une noire, sur un fond sombre aussi. Puis, ma vue se clarifia et je vis qu'il s'agissait en fait d'un élève. Il me tenait, ses mains sur mon front, m'ayant visiblement déplacée à l'ombre, je compris alors qu'il utilisait sans doute son alter, qui devait donc avoir un rapport avec le froid.  

La peau blanche donc, les yeux bleus et les cheveux ébènes, je le regardai un instant avant que, soudainement, ce froid n'éveille en moi des souvenirs. Les cheveux du garçon devinrent alors blonds platines dans ma tête et j'écarquillai les yeux, sentant les larmes y monter.

"T-tenshi?..."

Articulai-je alors faiblement. Non... c'était impossible! Il... il était à l'hôpital... il ne pouvait pas être là, devant moi! Mais pourtant... et si... les questions tourbillonnèrent dans ma tête et ravivèrent la douleur qui avait commencé à faiblir, me faisant gémir de douleur.

Tandis que l'alter d'hibiki refroidissait le corps de la jeune fille cette dernier reprenait des couleurs, au grand soulagement d'hibiki.
c'est alors que la jeune fille prononçât un mot, tout en laissant couler quelque larmes...

"Ten...shi... ? je sais pas si tu divague ou si tu parle en dormant mais dans les deux cas : t'as tout feu... heu... t'as tout faux !"
Répondit Hibiki, tout en continuent a refroidir la jeune fille, bien qu'il était un peu curieux de savoir qui était se "Tenshi", il préféra ne pas demander pour le moment, de son point de vu se n’était ni le moment ni l'endroit, aussi il reprit la parole et dit :
"sinon tu reviens a toi ? tu te sens mieux ? t’étais dans les pommes quand je t'ai trouver..."

Hibiki retira une de ses mains pour retirer une des bretelles de son sac a dos, avant de reposer a sa main sur le front de la jeune fille toute , puis il fit de même avec son autre main et retira complètement son sac, en continuant de la refroidir à une main, il se servait de sa main gauche pour refroidir la demoiselle, tandis qu'avec sa main droite, il commençât à aller chercher dans son sac une de ses bouteilles d'eau, qu'il prit en mains. Immédiatement la bouteille se recouvrit de buée, hibiki portât alors la bouteille d'eau devenu bien fraîche a sa bouche pour ensuite en boire prés du tiers d'une traite, avant de s'asperger la tête du reste du contenu de la bouteille.

"Ah sa fait du bien !..." dit il sans remarquer une partit de l'eau qu'il venait de s'asperger allât droit sur la visage de la demoiselle.

Je restais immobile et silencieuse un moment, regardant celui que je pensais être Tenshi, jusqu'à ce que celui-ci se mette à parler. Je sentie alors le désespoir m'accabler. Ce n'était pas sa voix... à moins qu'elle n'ai changée à ce point en grandissant? C'était fort probable, aussi, ne perdais-je pas espoir, malgré ce que le garçon venait de dire. Peut-être la chaleur le faisait-elle délirer! Je ne voyais pas d'autre solution, ce devait être Tenshi!

C'est alors que le jeune homme prit son sac à dos, l'ouvrit et en sortit une bouteille d'eau. Je sentis alors ma gorge s'assécher fortement tandis que je voyais de la buée apparaître sur la bouteille, il venait de la regarder... il avait dû se servir de son alter pour la refroidir! Il savait donc refroidir sans pour autant faire de la glace maintenant? Ca ne m'étonnerait pas de lui, il pouvait être tellement doué quand il le voulait! Je m'apprêtai à lui dire à quel point j'étais heureuse de le revoir, à quel point il m'avait manqué et à quel point j'étais fière de lui, lorsque, soudain, Tenshi renversa le reste de la bouteille qu'il venait de boire sur son visage, quelques gouttes tombèrent alors sur mon visage, me rafraîchissant d'avantage et, tout d'un coup, les cheveux du garçon redevinrent noirs.

Je crus bien que cette fois, j'allais exploser en larmes, tant la déception de voir qu'en réalité, ce n'était vraiment pas Tenshi, était grande. Cependant, je ne fis rien. Je me contenta de le regarder encore un instant, comme si j'espérai que je me trompai et qu'en fait, c'était vraiment lui... mais je devais me rendre à l'évidence; ce n'était pas lui. Lui devait toujours être à l'hôpital à tousser, seul, par ma faute.

Je sentis quelques larmes perler aux creux de mes yeux à cette pensée et m'empressai de les essuyer avant que le garçon ne les voient, et me redressait tant bien que mal en me tenant le front, celui-ci était encore chaud, cependant je fis comme si de rien n'était.

Je regardai rapidement autour de moi et attrapai mes lunettes de soleil que j'enfilai et ma bouteille d'eau que j'ouvrai, commençant à boire. Je failli tout recracher, son contenu était super chaud! Il fallait dire que, même si il était à l'ombre, il n'avait pas été protégé de la chaleur en elle-même, seulement du soleil...

Je bus cependant les trois quarts de la bouteille et soupirai avant de m'appuyer sur le mur pour me relever, baissant la tête vers le jeune homme en restant appuyée.

"Merci pour ton aide..."

Fis-je simplement après m'être raclée la gorge. Je me tournai alors vers le terrain, prête à y retourner d'un instant à l'autre.

P.S.:

Apres que la jeune fille fut revenu a elle, et remercie Hibiki, ce qui ne lui déplut pas même s'il ne l'avait pas fait pour en tirer de louanges, un "merci" sa fait toujours plaisir, et manquer recracher sa bouteille d'eau, la jeune fille se tourna vers le terrain, qui était encore en plein soleil.
Pour Hibiki, c’était une mauvaise idée, elle venait a peine de retrouver ses esprits, et honnêtement vu la tête qu'elle avait fait en avalant son eau, il lui paraissait clair que c’était trop tôt pour elle d'y retourner.

Hibiki, attrapa le poignet de la jeune fille, pour la retenir a l'ombre...
"c'est encore les heures les plus chaude, tu viens a peine de reprendre conscience, c'est pas une bonne idée après ton malaise... je suis pas médecin mais je doute qu'il ne s'agissait que d'une simple insolation..." dit il avant de lâcher le poignet de la jeune fille.
Hibiki replongea sa main dans son sac, sortant une nouvelle bouteille d'eau, et reproduit exactement le même phénomène de buée qu'un peu plus tôt, avant de tendre la bouteille vers la jeune fille en disant : "je suis pas non plu psychologue mais je sais reconnaître du dégoût quand j'en voit, celle ci devrait être meilleur..."

Hibiki ne savait pas si la jeune fille allait écouter ses conseils, mais il pouvait au moins rester un peu la surveiller, la chaleur ne lui plaisait guerre, alors ici ou ailleurs... autant qu'il reste un peu jouer son ange gardien quelque temps pour lui c’était du pareil au même, après tout, se qu'il voulait lui, c’était seulement échapper un peu au chaleur estival, alors qu'il fasse d'une pierre deux coup...

Spoiler:

Je sursautai, encore un peu à l'ouest, lorsque la main de ce garçon m'agrippa le poignet, me retenant à l'ombre.

"c'est encore les heures les plus chaude, tu viens a peine de reprendre conscience, c'est pas une bonne idée après ton malaise... je suis pas médecin mais je doute qu'il ne s'agissait que d'une simple insolation..."

S'expliqua-t-il avant de lâcher mon poignet et de rapidement plonger sa main dans son sac, en sortant une nouvelle bouteille d'eau sur laquelle il exerça à nouveau son alter, rafraîchissant la bouteille, comme précédemment. Puis, il me la tendit.

"je suis pas non plu psychologue mais je sais reconnaître du dégoût quand j'en voit, celle ci devrait être meilleur..."

Ajouta-t-il. Je le regardais, interdite, ne sachant trop comment réagir ou que dire et, timidement, je finis par prendre la bouteille en allant m'adosser au mur, marmonnant un petit "merci" à l'adresse du garçon. J'enlevais le bouchon et commençais à boire.

L'eau fraîche m'apporta un tel bien être que, sans m'en rendre compte, je bus l’entièreté de la bouteille d'une traite, chose qui me ressemblait peu, je n'étais pas une grande buveuse, habituellement... Une fois la bouteille terminée, je la laissais tomber et laissais ma tête aller contre le mur, soupirant d'aise avant de me laisser glisser pour finir assise par terre, reprenant mon souffle, comme si cette bouteille avait libéré mes voix respiratoires. Je me sentais nettement mieux d'un coup.

Si bien que je me levais, partant pour ignorer les conseils du garçon, bien déterminée à reprendre mon entraînement mais, une fois que j'avais lâchai le mur, je tombai à nouveau. Frustrée, je tapai le sol du poing.

"Bon sang! Toujours aussi faible et incapable de supporter la chaleur ou la fatigue! Je suis pathétique!"

Pestais-je contre moi-même, m'en voulant horriblement. J'avais oublié, l'espace d'un instant, que je n'étais pas seule, tandis que déjà, un début de larmes se formait aux coins de mes yeux...

Apres que la jeune fille, eu prit et bus d'une traite le contenu de la bouteille, la jeune fille la laissant tomber sur le sol, peu après elle s'assit sur le sol, une seconde ou deux, tout au plus tandis qu'hibiki s'approchait d'un pas calme...
Hibiki ne manquât pas de remarquer qu'a peine lever la jeune fille retomba à nouveau, tandis ramasser la bouteille tomber à proximité de la jeune fille, il l'entendit se plaindre de sa condition physique...

"Bon sang! Toujours aussi faible et incapable de supporter la chaleur ou la fatigue! Je suis pathétique!"
Hibiki ne savait pas pourquoi cette fille s'en voulais a se point d’être incapable de supporter la chaleur mais visiblement sa devait être important... Hibiki compatissant, pris alors la parole :

"Et alors, c'est un crime ? être incapable de supporter la chaleur est illégal ? être faible est contre les lois ? C'est pas grave d’être faible l’être humain est capable de progresser et d’évoluer ! dit toi qu'avant que la boucle ne soit boucler, ton voyage ne fait que commencer mais qu'au bout du chemin on te tendra la mains ! peut importe combien le chemin et long ou difficile, à la fin ta récompense t'attend !
c'est comme pour sa..." dit t'il en envoyant la bouteille que venait de ramasser avant de l'envoyer droit dans une poubelle cituer a plusieurs mètres "tu pense quand même pas que c'est la premier fois que j'essaye ?"

Bien qu'hibiki n’était pas très douée pour les discourt celui ci venait du cœur, espérant que son message soit bien passer, comme quoi c'est pas grave si elle échoue du moment qu'elle tirait des leçon de ses échec...
Puis il ajouta :
"Au fait, je n'arrive pas encore a mettre un nom sur ton visage... moi je suis en troisième années, je me nomme Hibiki Sôma" en lui tendant un mouchoir en tissu blanc, pour essuyer les larmes qui commençait a se former au yeux de la jeune fille.

Je sursautai en entendant parler le garçon, me souvenant de sa présence...

"Et alors, c'est un crime ? être incapable de supporter la chaleur est illégal ? être faible est contre les lois ? C'est pas grave d’être faible l’être humain est capable de progresser et d’évoluer ! dit toi qu'avant que la boucle ne soit boucler, ton voyage ne fait que commencer mais qu'au bout du chemin on te tendra la mains ! peut importe combien le chemin et long ou difficile, à la fin ta récompense t'attend !
c'est comme pour sa..."

Commença-t-il, tandis que je me redressais lentement, m'asseyant en regardant le sol, réfléchissant. Au début, j'allais m'énerver, lui dire que oui, c'était grave d'être faible, que je devais être meilleure, que je n'avais pas le choix, j'avais déjà ouvert la bouche pour l'interrompre en criant... mais la suite de ses paroles m'arrêta. Me tendre la main? Qui? Qui pourrait me tendre la main? Et pourquoi?... Une récompense? La quelle? Je ne comprenais pas bien... je relevais la tête en regardant de quoi il pouvait parler lorsqu'il disait "C'est comme pour ça", et le vis en train de lancer la bouteille vide que j'avais laissé tombé un peu plutôt, l'objet atterrie habilement dans la poubelle vers laquelle elle avait été projetée, quelques mètres plus loin.

Je dévisageai le garçon, étonnée.

"tu pense quand même pas que c'est la premier fois que j'essaye ?"

Je baissais de nouveau le regard en rosissant légèrement. Non, bien sûr, c'était stupide... il était évident que ça ne devait pas être la première fois... le soleil avait dû griller quelques unes de mes méninges, pour que je pense ça et pour que je m'emballe autant au premier "exploit" venu.

Malgré tout, je ne pu m'empêcher de remarquer à quel point ces mots semblaient sincères, ils me touchaient d'ailleurs profondément, chose qui n'était pas arrivée depuis un moment... que des mots me touchent... C'est alors qu'intérieurement, je me mis à entendre la voix de ma mère, me félicitant parce que mes efforts avaient payés et parce qu'enfin, j'avais réussi à contrôler mon alter, de suite après, je me souviens qu'elle avait annoncé la bonne nouvelle à mon père et mon frère et que nous étions même allés mangés dans mon restaurant préférés, le soir même...

Le lendemain, elle et mon père avaient été tués et j'avais envoyé mon frère à l'hôpital pour une paire d'années...

"Au fait, je n'arrive pas encore a mettre un nom sur ton visage... moi je suis en troisième années, je me nomme Hibiki Sôma"

Ajouta alors le garçon en me faisant légèrement sursauter, m'ayant sortie de ma rêverie. Je tournais lentement la tête vers lui et regardai le mouchoir qu'il me tendait en souriant, hésitant. Et si je lui disais mon nom? Et si il avait appris ce que j'avais fait à mon frère? Et si il s'en souvenait? Et si on lui avait dit que mon alter était dangereux? Le ferais-je fuir?... mais... avais-je le choix?

Je baissai les yeux, n'osant prendre son mouchoir, craignant qu'il ne me l'arrache des mains en apprenant mon identité, tandis que les larmes se multiplièrent dans mes yeux, et finis par lui répondre.

"Je... je suis en 2e année... je m'appelle... Yûgure... Yûgure Hakunetsu..."

Je n'osais bouger, ne voulant voir le visage horrifié qu'il devait faire, comme je l'avais vu de si nombreuses fois sur les têtes des enfants de l'orphelinat, lorsque ceux-ci avaient appris ce que j'avais fait, aussi, gardais-je le regard et la tête basse, persuadée que, d'ici une minute ou deux, je l'entendrai partir en courant.

Tandis que les larme commençait a couler sur le visage de la jeune fille, elle répondit timidement a Hibiki...

"Je... je suis en 2e année... je m'appelle... Yûgure... Yûgure Hakunetsu..."

Pour répondre comme cela, elle devait soit craindre la réaction d'Hibiki quand a son prénom soit elle devait détester son nom, ou bien Hibiki lui avait fait quelque chose qu'il n'aurait pas dût...
la voyant dans cette état mettais hibiki mal a l'aise, aussi commençât t'il à dire dans une certaine confusion...

"ah ravis de te rencontrer ! heu... tu pleure, tu te sens mal ?... qu'est ce que tu fessait ici ? simple curiosité... je veux dire, pourquoi tu pleure comme sa ? je t'ai fais quelque chose de deplaser ?"

Hibiki semblait passer du coq à l’âne en oubliant d'etre cohérent dans ses propos, aussi quand il se rendit compte de l'embarras dans lequel il venait de se mettre involontairement, son visage rougit un peu sur le coup...
la situation ne manquait pas de comique, mais Hibiki attendait la réaction de la jeune fille tandis qu’il se disait, carrément a haute voix :
"hé ben voila, j'ai recommencer ! mais j'en rate pas une !" tandis qu'il se rendit compte qu'il venait en plus de penser a haute voix, tournant sa tête au ralenti vers Yugure avant que son visage ne deviennent rouge tomate de honte d'un coup...

Spoiler:

Je n'entendais aucun bruit de course dans les secondes qui suivaient, ni aucun bruit tout court. Le silence complet. Osant finalement redresser la tête, je vis que le garçon était effectivement toujours devant moi, me surplombant toujours, et me regardais avec interrogation et perplexité. Regard que je lui rendais d'ailleurs.

Il ne me connaissais pas? Bon je n'allais pas m'en plaindre et puis, il est vrai que cette histoire remontait et que tout le monde ne s'intéressait pas toujours aux actualités, surtout les plus jeunes.

"ah ravis de te rencontrer ! heu... tu pleure, tu te sens mal ?... qu'est ce que tu fessait ici ? simple curiosité... je veux dire, pourquoi tu pleure comme sa ? je t'ai fais quelque chose de deplaser ?"

Finit-il par me demander. La gêne était actuellement présente partout chez lui. Que ce soit dans ses gestes, le fait qu'il rougisse, ses bégaiements et hésitation... Moi, j'essayais simplement de le comprendre, le comprendre oui. Pourquoi être gêné? A cause de moi? De mon comportement? Sans doute... il fallait dire que moi-même, je n'étais pas habituée à pleurer et à autant me dévaloriser en public. Au contraire, j'étais du genre plutôt discrète et silencieuse, ne me haïssant que intérieurement, sans jamais en faire part à personne.

Plus les secondes passer, plus je me rendais compte à quel point le garçon s'était montré incohérent dans l'ordre de ses questions, dans ses propos en général...

"hé ben voila, j'ai recommencer ! mais j'en rate pas une !"

Se mit alors à s'exclamer le garçon, comme quand on se réprimande intérieurement. Sauf qu'ici, c'était bien extérieurement qu'il l'avait fait, soit, à voix haute. De manière claire et articulée. Il sembla d'ailleurs se rendre compte de sa maladresse, notamment lorsqu'il tourna lentement la tête vers moi avant de se mettre à rougir, encore plus rouge qu'une tomate!

En le voyant ainsi, je ne pu m'empêcher de pouffer avant de rire franchement. Je fus moi-même surprise de me mettre à rire ainsi. Mais il fallait dire que la situation me donnait l'impression d'être dans un animé. Et puis, ce n'était pas comme si je n'avais pas ri depuis la mort de mes parents. Au début, chaque rire finissait en larmes, mais j'avais malgré tout continuer de vivre de manière pratiquement normal. Et je n'avais jamais abandonné le rire...

Cependant, rire comme ça devant quelqu'un et d'ailleurs à cause de cette personne... ça me faisait bizarre.

Je finis par me calmer et le regardai, souriant timidement, mes joues encore roses après m'être ainsi esclaffée.

"P-pardon... je... j'ai pas pu m'en empêcher..."

Commençais-je en terminant de reprendre mon souffle.

"Et pour répondre à tes questions... je m'entraîne, tout simplement... et... non... c'est pas ta faute si je pleure, t'en fais pas..."

M'expliquais-je lentement, le regard bas mais toujours avec un petit sourire aux coins des lèvres.

Yugure pouffa de rire devant Hibiki, d'un rire franc et naturel, qui venait du cœur comme on dit, puis elle sourit timidement avec ses joue rosé par le rire qu'elle avait laisser échapper. Puis Yugure commençât a s’excuser pour avoir rit d'Hibiki avant d'ajouter les reponses au question qu'Hibiki lui avait poser.

Hibiki retrouvant son serieux dit alors en souriant :
"ah ba voila c'est déjà mieux ! les filles c'est mieux avec le sourire plutôt que les larmes !"

Hibiki porta sa main a son menton, puis ferma les yeux, et commençât a réfléchir tout en fessant quelque pas en avant, s'éloignant de quelque pas de Yugure sans vraiment s'en rendre compte.
"donc tu t’entraîne... je suppose que tu veux améliorer ton "regard de braise"... donc la première chose à faire et d'établi la liste de tes point fort et point faible, ensuite il faut réfléchir a comment utiliser tes point fort pour compenser tes point faibles..."
Hibiki ouvrit subitement les yeux, sortant brutalement de sa réflexion, se rendant compte qu'il avait laisser échapper un détails qu'il aurait peut dût garder pour lui...
Hibiki soupira en portant sa main sur l’arrière de sa tête, commencent a se gratter l’arrière du crâne, comme pour se dire "j'en ai trop dit ou pas assez", finalement il ramena sa main a son point de départ puis reprit la parole :
"Bon au point ou on en est autant jouer cartes sur table... oui je suis au courant pour ton alters, et ton passer mais bon que veut tu qu'on y fasse ? le passer c'est le passer on ne peut plus le changer ! C'est une vérité que je ne connais que trop bien alors je vais pas te jeter la pierre, on a tous des fantômes du passer d'on est pas fier ou qu'on voudrait oublier, sa vaut aussi pour moi..." tout en se tournant vers Yugure, il ajoutât en souriant avec sincérité "mais se qui ne nous tue pas nous rend plus fort ! Notre seul limite c'est le ciel, jusqu’à l'atteindre essayons, changeons, évoluons et devenons fort !" c'était sans doute du a l'angle du soleil dans le dos d'Hibiki mais tout disant sa son corps semblait comme s'illuminer d'un éclat pur, comme si le monde lui même voulait donner de l'impact a ses propos.

Le garçon se mit alors à prendre un visage très sérieux comparé à précédemment, puis, se remit à sourire.

"ah ba voila c'est déjà mieux ! les filles c'est mieux avec le sourire plutôt que les larmes !"

Affirma-t-il, l'air tout content, tandis que je baissais de nouveau le regard avec gêne, rougissant légèrement. Je n'aimais pas sourire, peut importe si ça allait mieux ou pas...

Je remarquais alors que le garçon avait mis sa main sur son menton et avait fermé les yeux, visiblement en pleine réflexion. Cependant, il parlait tout de même... il devait donc réfléchir à voix haute, bien qu'il utilisait un "tu", signifiant que, normalement, il me parlait. Dans tous les cas, je l'écoutais silencieusement, le regardant d'un air neutre.

Il commença à établir des hypothèses et à réfléchir à des stratégies sur comment je pourrais améliorer mon alter... mais je ne l'écoutais plus. Il avait dit le nom de mon Alter en réfléchissant à voix haute. Il connaissait mon alter. Il me connaissait.

Les peurs que j'avais précédemment et que je m'étais efforcée d'enfouir, refirent surface.

Pourquoi me parlait-il comme ça si il me connaissait? Il n'avait pas peur? Il n'avait pas compris que j'étais un danger public? Il s'en moquait peut-être?... Ou... peut-être est-ce un défi qu'on lui a lancé? Comme celui d'aller dans une maison que l'on affirme être hanté... ce genre de défi se fait plutôt au collège... mais il peut aussi être lancé au lycée... est-ce que je suis devenue comme une maison hantée? Cette pensée est idiote mais... mais pourquoi pas?... A moins qu'il ne soit là pour se moquer de moi?

Il se moquerait de moi depuis tout à l'heure? Il se jouerait de moi? Dans tous les cas, il me mentait.

J'avais envie de m'enfuir en courant, de faire disparaître son sourire, de lui faire mal, à lui et à tous ses éventuels complices, pour me faire du mal. On est plus au collège, on est dans un lycée de super héros, ils n'ont pas à faire ça! Ils n'ont pas à me faire du mal en se moquant de moi et de mes sentiments, ils n'ont pas le droit!

Je serrais les dents et les points, sentant mes yeux s'écarquiller avant de se fermer, sous la colère, tandis que je sentis des larmes de rage commencer à apparaître.

C'est alors que le garçon ouvrit subitement les yeux en s'arrêtant de parler. Il soupira et se gratta un instant l'arrière du crâne, l'air gêné. Il avait dû remarqué son erreur. Cherchait-il un moyen de se rattraper? Sans doute... mais dans quel but? Pour mieux m'embobiner dans son fil de mensonge? Ou... pour être sincère et gentil?...

Je voulais croire à la deuxième solution... de tout mon être... je me mis donc à prier silencieusement pour que ce soit ça... mais j'avais peu d'espoirs je dois dire.

Tandis qu'Hibiki cessa finalement de se gratter l'arrière du crâne, il  reprit finalement la parole, l'air de nouveau très sérieux.

"Bon au point ou on en est autant jouer cartes sur table... oui je suis au courant pour ton alters, et ton passer mais bon que veut tu qu'on y fasse ? le passer c'est le passer on ne peut plus le changer ! C'est une vérité que je ne connais que trop bien alors je vais pas te jeter la pierre, on a tous des fantômes du passer d'on est pas fier ou qu'on voudrait oublier, sa vaut aussi pour moi..."

Je me figeai sur ces paroles. Alors... il ne me voulait vraiment que du bien?... Il n'avait pas l'air de mentir en tout cas, ses paroles reflétaient la sincérité  et il semblait vraiment penser ce qu'il disait.

Puis il se tourna vers moi et me sourie de nouveau.

"mais se qui ne nous tue pas nous rend plus fort ! Notre seul limite c'est le ciel, jusqu’à l'atteindre essayons, changeons, évoluons et devenons fort !"

Ajouta-t-il alors. Ce sourire transpirait la sincérité lui aussi. Ce qui me mit du baume au cœur et me donna envie de pleurer. Si une larme coula finalement le long de ma joue, je me retins d'en verser d'avantage. J'en avais assez de toujours douter de tout le monde, de ne faire jamais confiance en personne et de voir des mensonges partout... mais je devais avouer que depuis mon arrivée à Yuei, les gens se moquant de moi se faisaient très rares. Et Hibiki faisait parti des gens sérieux et bons que je commençais à rencontrer.

On voyait bien qu'on était dans une école de héros.

Tandis que le soleil faisait que le corps d'Hibiki tout entier semblait briller de mille feu, comme un ange descendu des cieux pour transmettre un message de la plus haute importance, je finis par me lever et courir vers lui.

Un ange... Tenshi...

Repenser encore à mon frère me refit pleurer, mais silencieusement, tandis que j'arrêtais ma course pour serrer Hibiki dans mes bras, les yeux fermés, des larmes s'en écoulant donc sans bruit.

"Merci... merci pour ces belles paroles et... pardon d'avoir douter de toi.."

Murmurais-je doucement en continuant de le serrer dans mes bras, m'assurant cependant de ne pas l'étouffer, lui faire mal, ou autre.

HRP:

A peine Hibiki avait'il fini de parler, que Yugure fonce sur lui, pour le serrer dans ses bras, à sa grande surprise qui ne manquât pas de lui laisser un gout amer dans la bouche, à plus forte raison quand il sentit que de l'eau tombait sur ses vêtements, se qui rappela à Hibiki de très mauvais souvenir, il n'avait pas ressentit cette sensation depuis la perte de ses parents, il avait bien sûr déjà été entrain à bras par quelqu'un mais pas comme sa...
Hibiki marqua un temps d’arrêt avant de prendre yugure par les bras et lui retirer les bras, pour ensuite la repousser un peu, tandis que son regard trahissait les souvenir qui lui revenait...
"excuse moi... sa m'as rappeler ma mère... je t'ai dit qu'on avait tous des fantômes du passer qu'un préférai oublié, les miens se sont réveiller..." dit il d'une voix empli de mélancolie, en détournant le regard

Hibiki se disait que yugure allait le prendre pour un fils a maman ou quelque chose dans le même genre, mais il avait beau s’être remit du décès de ses parents, il préférait quand même ne pas faire resurgir se souvenir. Hibiki pensait qu'il ne savait pas être le seul dans son cas, Yugure avait elle-même blesser son frère avec son alters mais au moins lui était encore en vie, du moins c'est se qu'il se disait car même s'il avait entendu parler du passer de Yugure, il ne savait pas comment sa c’était passer et ignorait les détails, se qu'il savait au sujet du passer de Yugure se limitait au fait qu'elle avait un alter de feu lié a son regard avec lequel elle avait blesser son lors d'un cambriolage qui avait mal tournée.

HRP: