Un reveille matin sonne, le début d'une longue chaines, une longue routine qui s'installait lentement dans sa vie. Il se leva sans broncher, mais en appuyant lourdement sur l'appareille qui fit un bruit étrange, un "cruik" ,il regarda l'heure, buguant quelque secondes avant d'ouvrir les yeux et de crier en norvègien.

PUTAIN DE MERDE CHUI EN RETARD ! Il s'habilla en vitesse, prenant ses affaires, ses clé rien à manger, son porte feuille, et il partis, fermant la porte à clef derrière lui, le méttant un poil plus en retard, ses pas était lourd, il sautai les marches glissant sur la rambarde, arrivant à la dernière porte, qu'il enfonça la laissant ouverte, il accéléra, il voulait pas être absent, aujourd'hui était son premier jour, après tout les examen qu'ils soient psychologique, physique, utilisation d'alter, maîtrise de sois, et aussi voir si il parlait bien le japonnais. Et en effet il parlait assez bien japonnais.

Arrivé proche de l'arrêt de bus, il percuta une jeune fille la faisant tomber, il tomba lui aussi, puis il se releva et récupéra toute les affaires de la jeune demoiselle qui était de la même école que lui, enfin possiblement car elle allais prendre le bus que les élève de U.A prennent, de plus elle semble être dans la tranche d'age, et quand le jeune Tornbjorn commença a lire les notes à la va vite, il remarqua qu'en effet, elle était en plus dans la même classe, il se sentait énormément coupable, il lui remit dans le sac, mais le bus commençais a partir.

Cela était un des rares matin ou je ne m'étais pas réveillée en retard. Je dormais beaucoup moins depuis que j'ai croisée le géant. Je passais une bonne partie de mes nuits à me battre contre mes mauvaises pensées au lieu de dormir. J'étais donc debout bien avant l'heure. Je sortais donc de ma chambre en silence pour ne pas réveiller ma tante qui avait laissée la porte grande ouverte.

Je marchais dans le noir de l'appartement. Quand cela fait longtemps que tu habites en quelques part, on est censé de pouvoir marcher dans le noir sans problème. Faut croire que ce matin, cela n'était pas le cas. Je m'accrochais le pied contre l'une des pattes du divan. Je serrais des dents pour ne pas dire ou crier des jurons. Maudit que cela faisait mal, j'allumais donc mon téléphone pour regarder l'état de mon orteil. Rien de grave. Je pouvais donc me rendre à la salle de bain pour me préparer.

Je devais faire quelques course avant d'aller en cours. Je devais aller me chercher un nouveau cahier de note vu que les autres sont plein. Oui, j'aurais du faire cela hier, mais j'avais un nouveau jeu vidéo et j'ai complètement oublier. Une fois prête pour l'école, je sortais de l'appartement pour prendre le bus vers la zone commerciale. Cela avait prit qu'une vingtaine de minute. Avec de la chance, j'allais pouvoir arriver à temps pour mes cours.

Le bus qui prendrait le moins de temps pour me rendre à ma destination se trouvait au centre-ville. Je courrais donc là-bas. Cela était une bonne idée. Du moins quand on est quelqu'un de sportif, mais pour mon cas ... j'étais à bout de souffle en quelques minutes. Je marchais ou joggais jusqu'à l'arrêt de bus. Il n'y avait personne. Est-ce que j'avais ratée le bus ? Je regardais l'heure sur mon téléphone portable. Non, quoi que. Je ne savais pas trop. Avec de la chance, le bus qui se rapprochait était mon ticket de sorti pour arriver pile à l'heure en classe. L'autobus s'arrêtait devant moi, je n'avais que quelques pas à faire pour entrer.

Je faisais un pas devant moi pour me faire percuter par quelqu'un. Je me retrouve face contre terre avec mes lunettes brisée. Hey merde, fais chier. Je ramassais les morceaux de verre pour pas que cela traîne à terre. Mes lunettes étaient n'avait pas survécus au choc. Je me retournais donc vers la personne.

Vous ne pouvez pas faire ...

Je ne terminais pas ma phrase. Cela n'était pas mon genre de me mettre en colère. Puis, malgré ma vision embrouillée, je pouvais reconnaître les couleurs de l'uniforme de l'école. Cette personne était lui ou elle aussi un élève de l'école. J'entendais le bruit de l'autobus qui s'éloignait.

Non ... non ... non.

Je soupirais très fort avant de placer ma main droite contre mon visage pour la laisser glisser vers le bas.

Un peu plus et je pouvais être à l'heure pour une fois.

Je riais mais en même temps, je savais que cela ne présageais rien de bon.