Le voyage entre Sakata et Musutafu à été longue. Au départ, Jun c'était entêtée pour faire tout le trajet à pied pour tenter de respecter la nature le plus possible. Mais, en prenant le temps de calculer. Cela lui aurait prit plus d'un mois pour s'y rendre et ce en rampant à 10 kilomètre à l'heure. Elle était loin d'être une athlète alors, elle optait pour une option qui allait aider à nettoyer la terre d'une certaine façon. En véhicule, le trajet pouvait prendre moins d'une demie journée. Ce qui était beaucoup plus raisonnable pour une femme telle que Jun qui souhaite partir de cet endroit au plus vite.

Elle attendait patiemment sur le bord de la rue et mettait son pouce en l'air. Le temps semblait être au ralenti. Elle entendait très bien toutes les voitures qui passaient devant elle. Au plus profond de son être, elle était entrain de bouillir de colère, mais elle gardait son calme. Ils allaient sans doute tous y passer d'un jour à l'autre. Certes, elle n'aime pas les voitures qui sont des inventions de l'homme et qui pollue la terre, mais cela pouvait avoir l'avantage d'aller plus vite pour se rendre à destination. Jun entendait enfin un bruit de moteur qui semblait s'étendre. Une personne aimable qui venait la voir ? L'une de ses membranes bleutés relevait le long toupet de couleur rougeâtre vu que la femme méduse souhaitait ou du moins voulait essayer de voir au moins la silhouette de la personne.

Sa vision lui permettait de voir seulement l'ombre grâce à la lumière du véhicule qui semblait éclairer vers eux. Par la grandeur et la carrure d'épaule, cela devait être un homme qui venait se rapprocher de la jeune femme. Le toupet retombait sur son visage "angélique" vu que les membranes étaient entrain de toucher le corps de l'homme en question. Ce qui semblait arrêter l'homme dans sa question. Enfin pour quelques secondes du moins. Il lui demandait si celle-ci était perdue.

Je ne suis pas perdue. J'aimerais me rendre à Musutafu est-ce possible ?
- Bien sûr ma gente dame héhé

les filaments bleutés gardaient constamment un contact avec l'homme au niveau de ses mains pour se rendre à la voiture. Celui-ci avait eu la brillante idée de la placer à ses côtés lors du voyage. Sa main avait des picotements tout le long du trajet. Il n'arrêtait pas de parler tout le long du voyage. Comme si son histoire personnelle intéressait un tant soit peu notre dame qui préférait détourner son "regard" par la fenêtre.

Celle-ci ouvrait elle-même la porte une fois qu'elle avait entendu le moteur s'éteindre de nouveau.

On est bien rendu à destination ?
- Vous êtes à l'entré de Musutafu ma bonne dame.
Très bien

Celle-ci allait pour partir lorsque la main de l'homme l'attrapait au poignet.

-Même pas un merci ?

Elle roulait des yeux avant de se retourner alors que ses membranes se déplaçaient de nouveau sur le corps de l'homme. Un léger sourire sur les lèvres de la méduse semblait charmer l'homme qui restait figé en piquet comme un idiot et qui plus es assez longtemps pour avoir presque du mal à se tenir debout.

Un problème ?

Faisant semblant de ne pas comprendre ce qui lui arrivait. L'homme ne sentait plus ses jambes le pauvre. Jun se penchait donc à sa hauteur pour le caresser du revers de sa main comme si elle était aimable à la cause alors que les bras de l'homme devenait lourd aussi. Hélas, le temps que ses membres reprennent le contrôle totale, celle-ci pouvait mettre fin à la vie de cette homme en l'étranglant. Jun ne pouvait même pas voir la peur dans les yeux de sa victime. Seulement le bruit étouffé de lui qui tenait tant bien que mal de respirer jusqu'à son dernier souffle.

Elle réussissait avec peine à misère à le remettre dans le véhicule avant de se diriger vers Musutafu qui selon une pancarte se trouvant à présent devant elle, se trouvait à quelques mètres d'ici. Elle rampait donc dans la ville et se laissait guider par une odeur qui lui était familière.

Les fleurs l'avaient guidées jusque dans un espaces verts. Elle le savait car, chaque fleurs étaient touchés lors de son déplacement. Heureusement, elle en écrasait pas en chemin. Par la lueur de la nuit, Jun ne passait pas inaperçu. Les couleurs vives de son corps ressortaient très bien par cette intensité de lumière. Se pensant seule, celle-ci se penchait à la hauteur d'une fleur parmi tant d'autre pour la caresser plus sérieusement avec ses mains délicates.

Le petit air glacial de la nuit ne la dérangeait guère. Celle-ci continuait de caresser la fleur du bout des doigts pour ne pas trop abimer les pétales. Un léger sourire apparaissait sur le visage de la méduse. Cela faisait du bien de savoir que dans une ville comme Musutafu, la nature continuait à vivre malgré tout ce qui se passait autour d'eux. il y avait parfois des bruits qui venaient troubler un peu la tranquillité des lieux, mais Jun faisait son possible pour les ignorer le plus possible. De profiter du petit moment de douceur qu'elle arrivait à avoir avec la fleur.

Un autre bruit parvenait aux à la méduse. Un bruit pas mal plus près que les passants qui se promenaient tout à l'heure ou encore la voiture qui passait par-là. Ce bruit avait lieu au même endroit. Dans ce petit espace vert. Quelqu'un trouve se trouvait ici avec elle? Au début, le bruit sonnait comme un simple froissement de linge suivit de quelques pas puis de bruits métalliques. Avec les bruits qu'elle venait d'entendre, Jun avait du mal à discerner quel genre de personne qui se trouvait aussi près d'elle.

Une fois le bruit de déplacement effectué, une voix lui adressait la parole. Une voix qui n'était pas grave comme celle que les hommes pouvaient avoir. Par conséquent, cela voulait dire qu'une femme se trouvait à ses côtés. Puis, par le ton de la voix, il était évident que cela n'était pas une gamine qui venait discuter avec la femme aquatique. Les premiers sons que la femme émettaient était incompréhensible pour notre Japonaise. Cela voulait dire que cette dame pouvait parler plus d'une langue vu que le reste de son blabla était perceptible et comprise par Jun. À peine arrivée à Musutafu qu'elle recevait des fleurs par une passante.

Les doigts de fée de notre méduse glissaient une dernière fois tout le long d'une pétales de fleur avant que les algues se trouvant sur le sol poussent pour remonter tout le corps au complet. Celle-ci arrivait à percevoir la position où se trouvait la femme. Celle-ci rampait un peu tel un serpent pour se rapprocher de la dame. Jun semblait un brin plus grande que l'autre à cause des algues qui donnait l'impression parfois qu'elle flottait sur place. Laissant  le silence de nouveau reprendre le-dessus, les membranes bleutées se déposaient sans gêne sur le corps afin de pouvoir mieux la visualiser. Sans même demander, les filaments bleus touchaient au niveau du visage, les bras. Bref, la femme pouvait se sentir fouiller d'une certaine façon. Elle était pas mal jolie également.


Et bien, cela est fort aimable de votre part. Vous êtes belle également.

Se trouvant devant son interlocutrice, Jun n'avait même pas adresser encore la parole à la dame que ses membranes faisaient déjà leur travail afin de l'aider à mieux identifier celle qui se trouvait en face. Certes, elle pouvait se faire une image mais les couleurs étaient absentes. Donc, elle voyait les traits du visage, le corps , les bijoux ainsi que les vêtements de la belle qu'elle venait de scruter. De par ses yeux flous, celle-ci pouvait voir par son imagination la femme comme dans les anciens film noir. L'image venait à peine de se former dans sa tête que la jolie dame disait que son moyen de communication était nouveau mais que cela n'était pas désagréable. Les filaments avaient finit de toucher la chevelure d'un ton foncé jusqu'au bouts de leurs racines avant de retourner contre le corps de la méduse.

La femme disait par la suite qu'elle ne se laissait pas toucher facilement. Hélas pour elle Jun devait le faire afin de savoir à qui elle avait à faire. Si jamais elle avait refusée un premier contact, cela n'aurait pas été en sa faveur. Bref, la discussion revenait sur le compliment qu'elle venait lui dire à son tour pour se faire dire qu'elle n'était pas du Japon. Un petit rire de la part de la méduse alors que sa main gauche allait se placer juste au-dessus de sa poitrine.

Mon apparence est forte trompeuse. Je suis d'origine Japonaise contrairement à vous pas vrai ?

Avec la façon dont elle s'était introduit il y pas longtemps, cela était clair que soit l'origine de son interlocutrice n'était pas celui de ce pays ou qu'elle avait une partie de sa famille qui ne venait pas du Japon.

Pour quelqu'un qui ne vient pas d'ici. Vous parlez très bien le japonais.

Tout en gardant un sourire sur ses lèvres.

Mais dites moi très chère.

Alors que son index droite glissait sous le menton de la dame et que sa main gauche glissait le long de son propre corps.

Que faites-vous ici exactement ?

Jun était belle et bien d'origine Japonaise. Certes, son apparences ne donnait pas vraiment d'indice sur le coup. Sans doute que la pointe de ses yeux externes avaient une ressemblance avec les japonais, mais pour le reste, elle avait un physique qui sortait pas mal de l'ordinaire. Jun ne pouvait pas vraiment lui en vouloir pour cette erreur. Cela ne l'empêchait pas de ressentir que la dame était navrée de ne pas avoir su sur le coup. Comment avait-elle pu savoir le sentiment de la femme ? Bien par le ton de sa voix qui ne pouvait pas vraiment trahir sans doute le visage que Jun avait du mal à percevoir à cause de sa vision embrouillée. Jun ne faisait qu'un simple haussement d'épaule se disant que cela n'était pas plus grave que cela et qu'il y a pire dans la vie que de se tromper dans l'origine de la personne avec qui l'on discute.

Quand la méduse parlait du fait qu'elle parlait bien le Japonais, celle-ci un rire amical avant de commencer à expliquer qu'en effet elle n'était pas du même origine que Jun, mais qu'elle vivait ici depuis longtemps et qu'elle avait apprit les bases assez jeune. Après cette réponse, l'un des doigts délicat de notre femme aquatique se glissait en dessous du menton tout en lui demandant ce qu'elle faisait ici dans cet endroit en particulier ? Il pouvait y avoir plusieurs raison et si jamais celle était néfaste envers les pauvres fleurs qui se trouvaient à leur pied, cela allait mal se passer. Jun analysait chacun des mots que la jeune adulte lui disait. La réponse était correcte. Rien qui annonçait qu'elle voulait faire de quoi envers les fleurs. Même qu'au contraire, elle semblait avoir un point en commun avec notre méduse en voulant caresser les fleurs. Jun gardait donc le sourire sur les lèvres alors que son doigt qui se trouvait au bout du menton lâchait prise pour pointer les fleurs et les alentours.


Tout comme vous, je venais caresser les fleurs.

Est-ce qu'elle devrait raconter en détail le pourquoi elle était ici ? Pas vraiment, certes elle aimait les fleurs, mais rien ne disait que Jun pouvait lui faire "confiance" alors autant dire la vérité mais sans trop en dire par simple précaution.

Les paroles qui suivaient le fait qu'elle venait pour caresser les fleurs étaient joviales. Ce qui permettait à la femme méduse d'imaginer que la dame avait qui elle discute depuis un certain temps déjà avait sûrement un sourire sur les lèvres. Jun riait de bon coeur lorsqu'Anket disait qu'elles pourraient être perçue comme des folles. Le fait d'aimer ce que la terre nous offre était cinglé ? Pas aux yeux de celle qui tentait de la protéger comme elle le pouvait.

Elle entendait le déplacement de la dame comme si elle se détournait de l'endroit que Jun pourrait voir si sa vision n'était pas troublée pour se pencher vers les fleurs. Les paroles qu'elle venait de dire faisait serrer un peu les poings de notre femme aquatique. Ces pauvres fleurs ne méritaient pas un tel sort ou encore les animaux et elle était ici pour tenter d'améliorer leur vie quitte à éliminer ou à écraser un être humain (plus d'un) pour que cet être sans défense puisse continuer de profiter pleinement de leur liberté.

Le visage de Jun se penchait un peu sur le côté. Est-ce qu'elle venait de lui dire qu'elle n'était pas une protectrice de la nature ?! Alors tout ce qu'elle disait plus tôt n'était que du vent ? Pourquoi dire de tel propos si elle ne la défendait pas ? Ce n'était que des plaintes qui ne menaient à rien.

C'était maintenant à son tour de se retourner pour être dos à la dame. Celle-ci pensait à ce qu'elle faire de cette dame en question quand Anket prenait de nouveau la parole pour lui demander si elle habitait loin d'ici.


Ooh , en effet j'habite loin d'ici. J'ai eu un "honnête" homme qui m'a conduit jusque là avec son véhicule. Je vais devoir me trouver un endroit pour passer la nuit.

Alors que notre méduse prenait le temps de lui dire qu'elle habitait loin de Musutafu, des bruits de pas se faisait entendre. Son visage "d'ange" se retournait vers le bruit en comprenant que c'était Anket qui venait de se déplacer dans cet espace naturel. Un petit moment de silence se créait entre les deux femmes. Sans doute que celle qui aimait la nature réfléchissait à propos de refuge pour la nuit. Quand Anket reprenait la parole, elle disait qu'elle connaissait bien des lieux qui pourrait héberger Jun pour la nuit. Information qui était intéressante.

La dame s'était retournée vers elle ou du moins c'était l'impression que notre dame presque aveugle avait eu en entendant le bruits des bijoux qui pivotaient tout en se frottant contre la tenue de l'égyptienne. Elle lui proposait de la guider jusqu'au lieu en question en vue de la déficience visuelle de notre belle femme aquatique. L'adulte disait parlait également de confiance car cela ne devait pas être évident de se retrouver dans un lieu qui nous était inconnu. Ne connaissant pas à quelle distance Anket se trouvait, des lianes bleutées se mettaient devant elle pour guider Jun jusqu'au moment que l'une d'entre elles touchait aux vêtements avant de prendre délicatement l'une des mains de la dame. Un léger sourire apparu sur le visage de la méduse.


Je ne dirais pas non à avoir un peu de compagnie. Vous pourriez me parler davantage de Musutafu en se dirigeant là-bas ou parler de chose et d'autre.

Tout en gardant son sourire alors que l'une de ses mains venaient prendre la main de sa guide de la soirée avant d'attendre qu'elle prenne les devants pour la suivre.

Jun disait qu'elle serait ravie d'avoir un peu de compagnie pour se rendre jusqu'à destination. Après tout elle ne connaissait pas du tout l'endroit. Alors d'avoir une personne qui connaît les lieux pouvait être utile. Notre femme aquatique gardait son léger sourire lors qu'Anket confirmait qu'elle voulait bien l'accompagner.

À la bonheur.

Notre méduse n'avait pas compris le dernier que l'égyptienne avait dit. Cela devait provenir de sa langue natale. Aussitôt que le froid des bijoux se faisait sentir contre sa main et le poignet, celle-ci entendait les bruits pas de son guide qui avançait tranquillement ainsi que sa main qui avançait tout seul. Elle suivait donc le pas sans aucun problème. Anket commençait à lui parler d'avoir confiance en elle et que ce qu'elle allait dire par la suite ne serait pas un ordre pour autant. En ayant une vision plus affaiblit que la normale, il fallait faire plus "confiance" aux gens à comparer de n'importe qui d'autre. Enfin jusqu'à temps de bien connaître le terrain par soi-même, il était préférable d'avoir une personne sur qui compter. Jun ne savait pas trop si elle pouvait faire totalement confiance en cette dame. Cependant, elle allait devoir la croire un temps soi peu si elle voulait que tout se passe bien.

Je comprends parfaitement la situation et je ferai mon possible pour que tout se passe bien.

En continuant la marche en route vers l'abri pour la nuit, Anket lui expliquait que l'endroit était assez calme hormis l'échange entre les vilains et les héros. Donc, il y avait bien des héros et des vilains ici pour la peine. Voilà de quoi d'intéressant. Jun laissait donc continuer de parler alors qu'elle disait qu'elle ne voulait pas se retrouver entre les deux camps au risque d'avoir des pertes. Jun avait bien sentie la main qui la serrait davantage.

C'est si pire que ça ? et serait-ce possible de moins serrer ma main ?

La main de la méduse avait moins de pression presque aussitôt que Jun demandait à Anket si cela était possible de moins serrer. La femme s'excusait dès que cela était fait pour ensuite vouloir éclairer sur ce qu'elle voulait dire par compagnie et qu'elle lui demandait si un hôtel allait lui convenir. En autant qu'elle avait un toit pour cette nuit, cela lui conviendrait. Malgré son apparence qui pouvait paraître chique, celle-ci n'était pas très exigeante quand cela la concernait elle.

Pour le trajet serrait assez. Je ne voudrais pas accaparer davantage de votre temps. Vous avez sans doute mieux à faire que de rester à mes côtés pas vrai? Et ne vous en faite pas, l'hôtel me conviendra j'en suis certaine.

Un léger sourire sur les lèvres de la méduse alors qu'elle continuait de suivre son guide du moment. Guide d'ailleurs qui prenait le temps de dire que son apparence était magnifique. Clea ne faisait pas de mal d'avoir des compliments parfois.

Cela est bien aimable de votre part. Ravie que mon apparence ne vous a pas fait fuir. Sinon j'aurais sans doute été encore dans se petite jardin de fleur à me demander par où aller.

il était vrai que sans la dame, cela aurait compliqué la tâche. Elle sentait la tendresse au niveau de sa main. Tendresse qu'elle ne détestait pas, si cela avait été une personne plus digne de confiance, peut-être qu'elle aurait offert de la tendresse à son tour. Ne serait-ce que par une caresse du pouce sur la main qui la tenait en ce moment. Mais, elle restait dès plus normal alors qu'elle continuait de marcher.

Un simple parfait se faisait entendre après ce que Jun venait de lui dire. Le trajet semblait se passer sans encombre ce qui était une bonne chose. Cela aurait été un malheur si elle avait eu à se battre dès son arrivée. Quoi que si elle avait eu à le faire, elle l'aurait fait sans exister. Même si cela aurait laissée la chance à Anket d'en connaître un peu plus sur ce qu'elle était cette méduse dont elle lui tenait compagnie depuis un petit moment déjà.

Son guide lui disait qu'elle appréciait et adorait tout ce qui sortait du lot. Avec son apparence Jun sortait pas mal du lot en effet. À se demander si elle était réellement humaine ou non. Anket disait qu'elle était fière de ses habits. De ne pas être comme les autres même si à côté de Jun cela passait presque inaperçu. Celle-ci rajoutait qu'elle pourrait passer beaucoup de temps à lui caresser les cheveux. Ce qui faisait garder son sourire au visage.

Appeler les comme vous le voulez. Cela n'a pas d'importance à mes yeux. pour ce qui est du sortir du lot, nous ne le faisons tous à notre manière. D'autre se remarque plus comme moi avec mon apparence qui est loin d'être humain.

Durant la promenade avec la dame, Jun pouvait sentir ou du moins remarquer par sa main que celle-ci avait eu des frissons. Est-ce que c'était parce qu'elle avait froid ? Il faisait frais dehors mais pas au point de faire froid. Alors c'était autre chose qui avait provoqué ce frisson, mais Jun ne mettait pas la main dessus sur le coup. Après tout, elle ne pouvait pas devenir que seulement garder sa main contre elle pourrait faire un peu peur à son guide d'une quelconque façon. Il restait que cinq minutes avant de se rendre à l'hôtel. Même moins que Anket lui disait. Celle-ci lui demandait si Jun avait des contacts dans le coin. Elle secouait de la tête négativement.

Je ne connais personne. Mais ne vous en faites pas pour moi. Je serai me débrouiller comme toujours.

Restant silencieuse le reste du trajet, Jun laissait son guide lui montrer où se trouvait la porte de l'hôtel.

Merci d'avoir pris le temps de me guider jusqu'ici.Je vous souhaite une bonne continuation dans vos projets.

Disait-elle par politesse avant de lâcher la main de l'égyptienne et d'entrer à l'intérieur du bâtiment.