My Hero Academia RPG
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Kaede Kyuketsuki
Élève de seconde année
# Je te déteste! |feat: Fumikage
Dim 15 Déc - 22:51
Je te déteste!
J’avais les yeux rivés sur la bouteille avec son liquide transparent dedans, je grimaçais. J’avais beau dévorer l’objet des yeux, mon esprit lui était à des années de ce lieu. La lumière de ma chambre était éteinte, il faisait nuit dehors, j’avais mis une lampe sous la bouteille qui renvoyait partout des reflets, d’agréable reflet.  J’étais encore et toujours face à un dilemme, un dilemme de taille malheureusement. Les discussions successives que j’avais pu avoir avec Frederick et Kagami avaient semé un sacré bazar en moi, je ne pouvais plus décemment être la même après cela, j’étais en proie de me reconstruire. Mais avant cela, je ne savais plus vraiment qui j’étais et comment avancer concrètement. Certes, ma volonté à avancer elle était inébranlable, enfin au fond de mon cœur, je la voyais inébranlable, surtout après ma discussion avec Monsieur Ghost, elle s’était même probablement alourdis, grandis, se nourrissant de mes échecs, se nourrissant de ma frustration. Pour ne plus être qu’une volonté incroyable, souhaitant rejeter mes faiblesses. Mais, finalement, pour y arriver et avancer, n’avais-je pas besoin de réussite ? Simplement réussir une fois, quelque de chose de compliqué, de beau, de puissant, que seul moi pourrait faire, n’étais-ce pas ça ma volonté première ? Réussir me permettrait assurément de gagner en estime de soi et savoir si j’étais vraiment capable de devenir une héroïne ou si je me nourrissais de chimère. Echouer lamentablement à chaque fois que j’entreprends quelque chose, ça suffis, je ne voulais plus échouer, je voulais réussir, mais comment réussir ? J’en étais toujours à la même interrogation qu’après avoir rencontré Kagami, j’avais même plutôt la tête encore plus remplis, je doutais toujours, de quel sens donné à mon existence, de qui j’étais réellement sous mon armure de glace, mais je voulais être moi-même, être dans le vrai. J’avais un moment pensé offrir ma pitié à quelqu’un d’autre et j’étais sur le point de le faire, mais encore fallait-il que je sache si je voulais et pouvais vraiment et le faire et surtout qui ? Qui dans mes connaissances je pourrais aider ?

Finalement, bien que je puisse sympathiser avec certaine personne, je restai fatalement enfermée dans ma solitude. Avec un regard en arrière, pouvais-je affirmer que j’avais créé des liens authentiques ? Ou alors n’avais-je que des connaissances inutiles ? Finalement, Alarick avait-dû stoppé mon stage, Nick avait eu autre chose à faire, je ne m’étais jamais vraiment bien entendu avec Hari, ni réellement d’autre personne de ma classe, même Yasui et Dan avait qui j’avais dû travailler, je ne ressentais pas vraiment de véritable amitié à leur égard, certes j’avais probablement de l’affection pour les deux dernières, mais ce n’était pas ce que j’avais voulu. J’avais rencontré d’autre personne, que ce soit Oswald, le héros qui m’avait réconforté lorsque j’avais pour arrêter un vilain, sacrifié une partie de mon amour propre, Dabi  le vilain qui avait faillis me buter, Kagami, le jeune homme avec qui j’avais eu un heurt qui avait néanmoins finis par arriver par une volonté de ma part de changer, à devenir la vraie Kaede et à me construire forte, très forte. A la toute fin, ne pouvais-je pas avoir encore confiance qu’en une seule personne, Frederick Ghost, n’était-il pas de manière déprimante le seul qui soit réellement mon ami ? Malgré qu’il avait l’âge d’être mon père ? Et puis, il y avait Fumikage… Ma gorge se serra, probablement de colère, de tristesse. Lorsque j’avais parlé à mon cadet de mes problèmes, de manière aussi improbable, que j’avais vu que j’étais capable d’être accepté, j’avais été ravie de joie, même ivre de bonheur, nous avions par la suite passé un peu de temps ensemble dans les jours qui avait suivis, une douce chaleur était né dans ma poitrine. J’avais développé une affection particulière vers celui qui m’avait aidé à m’accepter et à comprendre que je pouvais être accepté par les autres. Mais, au bout d’un moment, tout s’arrêta et je ne le revis plus. Lorsque j’avais jusqu’à aujourd’hui une pensée plutôt compréhensive à cet égard et cette disparition, ma soudaine  remise en question m’avait ouvert les yeux. J’étais légèrement plus salé et agressive que je l’eu été. Autant que je puisse lui être reconnaissant, je n’acceptais pas qu’on ait pu m’abandonner comme cela, surtout lorsque j’avais eu besoin de lui, je n’acceptais pas cela. J’avais souffert, il ne fallait pas en douter. Il m’avait appris que je pouvais être accepté, que je pouvais me faire des amis… J’étais désormais ivre d’amitié et de lien. Je ne voulais plus de ma solitude, je voulais des liens authentique. Il se devait de prendre ses responsabilités après m’avoir permis de changer de la sorte. J’avais probablement de la rancœur à son égard, comme probablement à l’égard de tous ceux que j’avais cités auparavant et qui m’avait abandonné, je n’appréciais pas du tout. C’était probablement puéril et ridicule, mais je réagissais comme cela, probablement pour avancer et abandonné derrière moi sans regret toute ses personnes… Pour oublier les bons moments que j’avais eu avec eux, la vrai raison de ma rancœur, la jalousie.

Je pris le gobelet en verre remplis du liquide transparent, puis le vidant d’une traite, posa le verre à shot sur la table alors que ma gorge était en train de brûler. Un verre de vodka, parfait pour se remettre les idées en place et foutre la merde dans mon esprit, par un mimétisme abstrait de mon paternel, un mimétisme ridicule, mais qui me rassurait ces derniers temps. Je recommençai l’exercice plusieurs fois, par rancœur, à chaque fois, je citais un nouveau nom avant d’engloutir le verre goulument, malgré mon dégout envers cette boisson. Puis, finalement, fin pompette, je sortis de ma chambre, puis partis en dehors de l’internat, au grand air, pour essayer de me refroidir après la chaleur extrême qui engourdissait mon visage et ma poitrine, une chaleur rance et désagréable, puis un regard vers les étoiles maugréa :

« Saleté de lien… Vous… vous m’avez tous oublié et abandonné… alors que… alors que j’avais besoin de vous… Merde ! »


Mon dernier mot n’avait été qu’un râle, un cri de colère et de haine sous la voute céleste. Je repris mon chemin, continuant à errer dans les jardins de UA, pestant envers tout, me cognant contre plusieurs arbres, trébuchant dans des buissons, jusqu’à m’étaler dans l’herbe et commencé à pleurer des larmes de colère, seule, dans le noir complet… J’avais envie de crier ma haine et mon désespoir. L’alcool embuait mes sens et c’était probablement pas plus mal comme ça, même mon esprit était embrumé, disons que boire me permettait probablement d’extérioriser plus mes sentiments, dans ce cas-là plus que les autres… Je n’avais pas fait attention et je m’étais laissé aller, mais je ne regrettais rien de mes actes, après tout, je voulais expier toute mes mauvaises pensé pour me reconstruire sur des bases plus saine !


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Kaede Kyuketsuki
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Bouge tes sales pattes! Misérable

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Fumikage Tokoyami
Élève de première année
# Re: Je te déteste! |feat: Fumikage
Sam 21 Déc - 6:30
Je te déteste !Fumikage Tokoyami & Kaede KyuketsukiCela faisait combien de temps qu'il était partie ? C'était une réponse auquel Fumikage lui-même n'avait pas vraiment une réponse, il ne pouvait même pas vraiment dire si pour lui c'était il y a longtemps ou récemment. C'était comme une période temporelle en soit. Il ne se souvenait pas vraiment de la dernière fois qu'il avait mis les pieds à l'académie. Il se sentait, et bien, nerveux, il se demandait comment les autres avaient progressé et changé depuis le temps, lui-même savait qu'il avait dû changer. Il ne serait pas partit s'il avait eu le choix même. La maîtrise de Dark Shadow était quelque chose qui était beaucoup plus difficile que prévu, tout autant qu'il avait de l'affection pour lui, tout autant il savait qu'il pouvait être destructeur de ceux qui étaient autours. Dans une période difficile, il savait que ce qui était le mieux, c'était de ne laisser personne autours de lui. C'est ce qui était le plus prudent, quand il n'était pas en contrôle de ses émotions, très difficile de juger s'il serait capable de garder le contrôle et leur sécurité.

Mais il avait enfin fait la paix avec lui-même et avec Dark Shadow, ce fût une expérience épuisante mentalement et physiquement, mais il se sentait prêt à enfin reprendre le chemin de l’héroïsme, qu'il avait dût laisser de côté pour s'empêcher de devenir quelque chose de bien pire. Toutefois, il y avait d'autre chose auquel il devait faire la paix maintenant et c'était le moment qu'il craignait. Il était partie en isolation sans rien dire à personne, certes, en rétrospective, ce n'était possiblement pas la meilleure décision, mais c'étais celle qui lui semblait sage à l'époque. Est-ce qu'il y avait des gens qui l'avaient manqué ? C'était difficile à dire tout de suite, probablement, mais en première pensée, il n'y avait vraiment personne qui lui venait en tête.


Alors qu'il réfléchissait à cela, il continuait d'avancer dans l'entrée alors qu'il entendit une voix, bien trop familière, il sentit une douleur au cœur pratiquement instantanément. Bien entendu pas une crise cardiaque ou une douleur physique, mais de la souffrance émotionnelle, alors que la culpabilité s'empare de lui, alors que les souvenirs revenaient en vague. Il avait oublié. Il avait fait pratiquement la pire chose possible et imaginable et il avait oublié. Pratiquement la seule amie qu'il possédait réellement ici et il n'y avait pas pensé. C'était impardonnable et il le savait parfaitement bien. Ce qui n'aidait pas, c'est que ce n'était pas de la joie qu'il entendait dans sa voie, mais une souffrance et une colère qu'il n'avait jamais entendue de sa part durant les fois où il l'avait fréquentée. Le temps n'avait probablement pas été généreux avec elle. C'était un pressentiment qu'il avait dans son esprit. Il prend une grande respiration, il avait probablement égoïste, mais il savait qu'il avait fait ce qui devait être fait, mais il aurait dût le faire mieux, ça Fumikage le savait parfaitement. Il reste immobile, au milieu du chemin pendant plusieurs minutes, réfléchissant sur ce qu'il devait faire, il demanderait bien à Dark Shadow, mais son alter ne serait probablement pas du plus utile dans ce genre de scénario. C'était une décision qu'il devait faire. Et le fait que c'était la nuit n'aidait pas, c'était un risque qu'il ne pouvait toujours pas prendre.


Il exhale, puis hoche de la tête à lui-même, il devait faire face à la tempête, il avait fait quelque chose d'horrible et il devait faire face aux conséquences plus tôt que tard. Il ne pouvait pas l'ignorée, il devait la voir le plus tôt possible, et c'était probablement maintenant ou jamais. Il marche en direction de la voix, les bruits de sanglots se faisant de plus en plus distinct, ce qui n'aidait absolument pas la culpabilité qui inondait déjà le corbeaux. Éventuellement, il arrive et il la voit aux seuls, pleurer des larmes, mais ce n'était pas de la tristesse qu'il voyait sur son visage, c'était de la colère, ça l'inquiétait tout autant, sinon plus que si ce n'était que de la tristesse. Il savait qu'elle ne serait pas forcément contente de le revoir, mais c'était nécessaire. Il prend une bonne respiration, se préparent mentalement pour ce qui allait suivre, puisqu'il se doutait parfaitement que ce ne serait pas agréable, il cherche pendant plusieurs minutes pour les bonnes choses à suivre, mais il savait que même le meilleur discours au monde ne suffirait pas à expier ses fautes, donc il décide d'y aller droit au but et simple.

- '' Bonsoir Kaede. '' 
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Fumikage Tokoyami
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Kaede Kyuketsuki
Élève de seconde année
# Re: Je te déteste! |feat: Fumikage
Ven 3 Jan - 17:24
Je te déteste!
J’étais restée là, quelque seconde, à maugréer, à pleurer, jusqu’à presque tousser à m’en arracher les poumons. J’avais l’impression d’oppressé, au fond de moi, se muait une boule noire, avide de ma haine qui grossissait, j’étais bien incapable de la retenir, j’étais bien incapable de la retenir, car mes pensées haineuse résonnait avec une exquise satisfaction cruelle, une haine sans borne, au fond de moi, j’étais grisée par cette haine et cette colère. Mais, tout cela était assez paradoxal, car je souffrais de cette boule, mon cœur, souffrait, tout me corps voulait rejeter cette douleur, mais je m’y accrochais désespérément, mon âme glorifiait cette haine… Je souffrais, mon corps n’était que douleur, que souffrance, rien n’était réellement agréable, même cette haine, rance, acide, qui me brûlait les boyaux, même cela ce n’était pas agréable. Je restai là, encore quelque temps, je m’arcboutai à plusieurs moment, presque sûre que j’allais vomir, mais pourtant, rien ne se passait, rien ne sortait, alors que les brûlures de l’alcool s’accentuait au fond de ma gorge, tout était de plus en plus rance, tout me faisait souffrir de manière horrible. Comment il y a quelque seconde encore, je pouvais avoir apprécié cette haine et cette souffrance ? Comment ? Comment ? Comment ?

Ma tête dans un étau, chaque son, chaque brindille que j’écrasais me faisait l’impression d’un vacarme monstrueux. Les larmes ne cessaient de couler, mes yeux me piquait, mes joues aussi. C’est, c’est probablement ce que certains appellerait le désespoir, ma foi j’étais en plein dedans et je n’en émergeais pas. L’alcool bien que libérant mon âme, bien qu’ayant fauché le barrage qui retenait toute mes émotions, avait aussi obscurcis mon esprit, plus rien n’avait de sens, plus rien. Tout n’était plus qu’une bouillie infâme. Déjà, contre qui étais-je énervé moi ?

« Bonsoir Kaede. »

Mes yeux se tournèrent instinctivement vers la source du bruit, comme un serpent ayant sentis sa proie. Je plissai les yeux jusqu’à l’extrême pour essayer de reconnaître la silhouette sombre. Je, je réfléchissais à mille à l’heure, enfin autant que mon esprit ravagé par la boisson pouvait le faire. Cette voix, elle me disait quelque chose, mais à qui appartenait-elle ? A qui ?

Je me levai chancelantes, puis après être tombée une ou deux fois, toujours en gémissant misérablement, à peu près droite sur mes appuies, je pus faire un pas, puis deux en direction du son. Finalement, avec un temps, une période qui me parut infinie, toujours secoué par mes sanglots, je finis par rencontrer une silhouette… Je mis quelque secondes à la reconnaître… Mais, une fois à peu près sûre, ébahis, les yeux rendus écarlate par les larmes, injectés de sang par l’insomnie, je finis par le reconnaître. Lui… Fumikage.

Cette mélancolie de la souffrance, emplis de haine se changea en une violence pure, une colère infinis. Je ne pus que bredouiller avec colère entre deux sanglots :

« T… t… toi ? »

Puis, sentant la boule au fond de mon ventre grandir, alors que je m’apprêtais à le gifler par vengeance pour lui faire payer tous mes tourments, toutes mes galères, tous mes problèmes, je trébuchai et m’écrasa par terre, incapable de me relever, incapable de me venger, je me mis à pleurer de plus belle, balançant des propos incohérent :

« Je… je te déteste ! Ou étais tu ? J’avais besoin de toi ! Tu m’as trahi ! Ou étais-tu ? Je te déteste ! T’as vu ce que tu m’as fait ? »

Je répétais ces mêmes phrases en boucle, incapable de sortir autre chose, j’étais décontenancée, enragée,  je voulais montrer ma colère, ma haine, mais j’en étais incapable et cela, ça me rendais absolument folle, je voulais tout casser.

Après plusieurs boucles, je finis par m’arcbouter et par vomir plusieurs fois, libérant une forte odeur d’éthanol… J’étais salement tâché, mais je n’en avais cure. Ma haine, s’était évanouis, j’étais de nouveau en prise à d’irrémédiable sanglot qui secouait mon âme et mon corps avec force. Je ne voulais plus me battre, je ne voulais plus qu’être prise dans les bras de quelqu’un, qu’on me réconforte… Je ne voulais plus cela, je ne voulais qu’être aimé moi… Finalement, réussissant à ma hisser sur mes genoux, pataugeant à moitié dans mon vomis, constitué de vodka et de bile, j’attrapa la taille du jeune garçon, puis la serrant de toute mes forces, sanglotant, grelotante, je me mis à parler de manière purement instinctive… En quête de réconfort, c’était par mimétisme pour la seule réelle personne que j’avais envie de serrer dans mes bras que je parlai en russe :

« Я ... умоляю тебя, оставайся со мной ... Ты ... Я так по тебе скучал ... Я ... Я не хочу, чтобы ты снова исчезла ... Оставайся с тобой прошу ... ты мне нужен! »

(Je... je t'en supplie, reste avec moi... Tu... tu m'as tellement manqué... Je... Je ne veux pas te voir disparaître à nouveau... Reste te t'en supplies... J'ai besoin de toi!)

Je serrai le jeune garçon si fort, je ne voulais plus le lâcher, plus jamais le lâcher, j’avais besoin de lui moi, je ne voulais plus le quitter… Je ne voulais plus le lâcher, pour ne plus être abandonné par lui. J’avais besoin de lui moi, à cet instant précis, je n’avais besoin que de lui. Las de tout, je ne me concentrais que sur une chose, le jeune garçon, encore et encore. Même sale et tâché, je ne voulais pas le lâcher, j’avais besoin de lui pour avancer, quitte à devoir faire des concessions, je devais avancer !



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# Re: Je te déteste! |feat: Fumikage
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