Trop peu de temps c'était écoulé depuis les événements provoqués par les terroristes nommés 'vengeurs', de malfaisants malfaiteurs qui troublaient maintenant les songes et les nuits de beaucoup trop de monde, de la a dire que la rose en faisait partis, il n'y avait qu'un pas, qui ne serait franchi que par son incapacité à dormir longtemps, un peu comme un chien, la rose se réveille de base assez souvent à cause du sucre excessivement présent en elle, ou à cause d'autres raisons. Souvent, la nuit, elle se réveille plusieurs fois, la première, il lui faut vérifier que celle contre qui elle est probablement blottie ou collée, selon les points de vue, est toujours là. Une fois cela fait, une ou deux heures plus tard, c'est l'appel du sucre qui la sort de ses songes ; à ce moment, d'habitude, la rose doit réussir à sortir du lit sans la réveiller, étant donné le nombre de nuits ou ca lui est arrivé, quasiment à chaque nuit... Bien, le calcul est simple mais finalement pas très utile. Tout ça pour dire que depuis ce qui c'est passé, ce n'est plus tout à fait pareil, et cette nuit là, dès son premier réveil, la rose regarda le visage éclairé par la lumière du lune a demi pleine, après un sourire, elle soupira en silence l'air désolée... Elle s'en voulait, terriblement, et si d'habitude, la demoiselle oubliait aisément même ses remords, ses événements faisaient partis de ses souvenirs qui se marquent comme un tatouage au fer rouge, très différents de ceux qu'on trouve dans les bonbons du même matériau qu'elle.
Pourtant, pour une fois, elle n'avait pas dit à Dan qu'elle n'arrivait plus à ne pas y penser, et ce soir là elle se décida, dès son premier réveil, à partir. Se décoller ne fut guère trop difficile, les années lui ayant appris à être discrète dans cette situation très précise, mais au lieu de fouiller la réserve à sucre de la chambre, là, elle passa dans l'ouverture sous al porte, et rejoignit la chambre d'à côté, qui était à elles aussi. Oh non ! Pas pour dormir, elle en serait bien incapable en ce moment, et encore plus sans son amie. Elle alluma la lumière, sortit un gros paquet de feuilles blanches, un crayon, puis récupéra quelques vieilles revues qu'elle avait refusée de jeter et, allongée ventre au sol, les pieds noués et levés en l'air, voilà qu'elle commença à gribouiller, dessiner, et même écrire et lire ! Réviser des cours ? Non. Mais la rose avait pris une résolution, qui ne pouvait prendre forme aujourd'hui que garce aux efforts fournis depuis leur arrivée a l'orphelinat, puis à U.A... Même si elle n'était pas consciente de ses propres progrès, elle voulait faire mieux, mieux pour ne plus décevoir, et abandonner Dan lorsqu'elle pourrait rester et, qui sais, être utile ? Oui, être utile... Ne plus voir de gens mourir, de plus sentir la responsabilité de la mort, alors que sa Dan à elle risque sa vie, seule, dans un vieux hangar sombre... Loin d'elle.. Biensur, ses pensées la faisait parfois verser quelques cristaux de sucre perdus dans de l'eau tout aussi sucré, coulant de ses grands yeux noir et rouge. Ruinant quelques dessins incompréhensibles au passage ou quelques écrits tout autant illisibles.
Tout le monde s'améliorait, en un an, dans leur classe, elle n'avait pas vraiment retenue les noms, mais elle avait vus, que les autres avaient progressé, et devenaient des embryons de héro, elle n'espérait pas devenir « autant' qu'un embryon de héro mais... Il le fallait. Dans la situation actuelle, elle n'était qu'un poids mort sur les épaules d'une personne trop précieuse à son cœur. Soit elle partait, soit elle évoluait, et les choses s'accélérant avec un danger toujours croissant, ne lui laissait plus le temps, même elle le comprenait. Pourtant, cette nuit-là, ce fut presque infructueux, mais elle se donnait du temps... Remplie d'espoir, elle jeta de nombreuses feuilles maintenant froissées, rangeât le reste, oubliant son crayon au sol. Elle rejoignit Dan à l'aube, alors qu'il faisait encore nuit et que quelques oiseaux attardés commençaient à chanter, donc, vers les 4heures ou 6heures du matin du mat'. Passant ses bras autour de la rouge.
Épuisée, mais aussi satisfaite, elle retrouva rapidement le sommeil. Quand le réveil sonna, elle fut pourtant aussitôt au taquet: et se retrouva au-dessus de Dan:
▬ C'est l'heuuuure !».
Chiante jusqu'au bout, elle se laissa rouler sur le coter, tombant au sol, puis roula jusqu'à la fenêtre qu'elle ouvris en grand dès qu'elle fut debout avant de s'étirer, même si son sommeil avait été de courte durée :
▬ J'ai eu une idée ! » elle se ravisait de parler de cette nuit : Mais, je ne sais plus ce que c'était !».
Il faudrait bien sur en passer par la toilette dans les salles communes prévues à cet effet ! Ce n'était pas ca qui l'excitait, plutôt l'idée d'aller faire du shopping ! En effet, la rose comme la dasheuse, manquaient de pas mal d'affaires essentielles, même si U.A fournissait pas mal, pour la garde robe de tous les jours, il fallait se fournir en dehors et par soit-même mais, l'occasion d'avoir accès au département recherche avait aussi permis d'envisager un revêtement spécial aux vêtements de Yasui ce qui, nécessairement, lui avait donner un intérêt personnel d'aller faire des courses.
Et puis, on leur avait dit de sortir et se détendre après les événements un chouillat traumatisant qui s'étaient déroulés. En leur intimant l'ordre de se sociabiliser d'une avec la classe, mais aussi de manière plus générale, ce qui impliquait de sortir dans des endroits fréquentés. De plus, on ne vas pas se mentir, Dan est bien trop stylée au quotidien niveau tenue pour ne pas aller de temps en temps se faire un petit dépannage, du moins, c'était là l'évidence du point de vus de la rose qui, à bien y pensait, se trouvait bien trop 'malabar' pour s'attarder sur son look alors que s'attarder sur celui de la rouge serait plutôt drôle, elle imaginait déjà toutes les tenues à ,lui faire essayer, et tous les parfums de glaces qu'elle mangerait pendant ce temps. Bref, elle débordait d’énergie et, pour son cas, fut très rapidement levée, lavée, habillée, et .. Devant le centre commercial. Un dernier point qui aurait été impossible sans sa fidèle camarade et protectrice.
▬ Il nous faudrait une machine a sorbet ! » dit-elle avec encore plus d’entrain qu'au matin tout en regardant une pub pour une machine à sorbet sur un arrêt de bus. Ou alors un appareil a croque-monsieur !».
Surenchérit-elle, en voyant un prospectus qui traînait au sol, avec une promo sur ce genre d'appareil, autant dire qu'il lui serait très, mais alors, TRES compliqué de ne pas tout vouloir acheter qui pourrait être un minimum cool pour l'une ou l'autre du duo ! Avec le bruit des gens, des différentes musiques des différents magasins, des allées, de sonneries de téléphones, des braillements d'enfants, bref, un environnement sonore bien trop important, même avec toute la bonne volonté du monde, on pouvait sans nul doutes prédire que même sans distraction visuelles, la rose serait totalement excitée, perdue, et on ne sais quoi encore, d'ailleurs, elle avait instinctivement repris la main de Dan.
Une chose qu'elles ignoraient probablement, c'est qu'on était un jour de début de soldes.
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Elle s’était réveillée pendant la nuit, la rouge avait le sommeil léger, et l’absence d’un corps très collant et sucré à ses cotés était suffisant pour la tirer de ses songes. Mais au lieu de se lever, la rouge s’était contenté de pousser un soupir avant de refermer les yeux sans même chercher à voir ou se trouvait Yasui. Pour quelqu’un tenant tant à ce qu’elles dorment encore ensembles, Yasui passait certaines nuits plus à se balader qu’à rester au lit. Elle avait fini par s’habituer aux promenades nocturnes de la rose, parfois elle se demandait même si c’était le trop plein de sucre qui l’empêchait de dormir ou si la boule de sucre avait réellement besoin de sommeil. Après plusieurs années, elle avait apprit à ne pas s’inquiéter et se rendormir, si son amie se mettait à fouiller la pièce à la recherche de sucre, elle finirait pas l’entendre et se réveiller.
Elle se réveilla ensuite un peu avant leur alarme, une habitude de son horloge interne. A ses côtés, elle pouvait sentir la chaleur et l’odeur sucré d’un corps familier. Elle profita un peu du silence jusqu’à ce que le réveil sonne, et quelques secondes plus tard, son amie était au-dessus d’elle, à s’assurer que la rouge était bien réveillé. Avec un petit sourire, Dan l’observa crier et s’agiter, avant de rouler comiquement hors du lit. Tandis que la rose ouvrit la fenêtre et laissa le soleil entrer dans la chambre, Dan se redressa enfin en s’étirant. Elle aimait prendre son temps au matin, se préparer sans devoir rusher ou stresser, mais il ne s’agissait pas d’un tel matin. Ou plutôt Yasui ne lui laisserait pas le luxe de trainer, trop excité et trop impatiente à l’idée de ce qui les attendaient. Ce fut très rapidement, trop rapidement, que le duo se retrouva devant l’un des pires endroits ou trainer si on détestait la foule : le centre commercial.
Par la suite de leur mission, l’école leur avait basiquement ordonné « Allez prendre l’air et oubliez cette situation très traumatisante ou vous avez frôlé la mort » , bon après elles étaient des futurs héros, on leur avait déjà bien rabâché à quel point leur travail serait dangereux dans le futur donc il ne fallait pas s’étonner maintenant du danger. Et puis honnêtement, niveau stress et danger, la rouge en avait eu plus que pour son compte en Chine, cette mission n’avait été pour elle qu’un rappel d’à quel point le monde et les gens pouvaient être dangereux, chose qu’elle n’avait pas oublié malgré leur période plus tranquille au Japon. C’était plus pour Yasui qu’elle s’inquiétait : l’entièreté de leur fuit en Chine était apparu comme un jeu pour la rose, mais cette fois-ci le danger avait été suffisamment palpable pour qu’elle en prenne conscience. La malabar était encore tellement naïve et innocente, Dan aurait aimé lui faire réaliser la dangerosité du monde plus doucement.
Mais ce qui était fait était fait, tout ce que la rouge pouvait faire maintenant était mieux se préparer pour le futur. Il fallait l’admettre, entre assurer le bon déroulement de la mission, sa sécurité, la sécurité de Yasui et rappeler le danger à la rose, elle s’était vite retrouvé débordé et stressé. Il allait falloir ravaler son égo et admettre qu’elle ne pouvait pas tout faire toute seule, c’était compliqué pour la rouge, mais elle devrait trouver des gens qui pourraient l’aider quand les choses étaient trop pour elle. Yasui avait aussi eux des moments de sérieux et d’autonomie qui avaient surprit Dan, peut-être qu’interagir avec de nouvelles choses et de nouvelles personnes étaient bien bénéfique à son développement. Il fallait donc sortir, aller dans de nouveaux endroits et rencontrer plus de monde, autant faire une pierre de deux coups et trouver un moyen de rendre cela plus utile.
Il était plus que temps que le duo aille faire des courses pour acheter quelques bricoles essentielles dont elles manquaient. La rouge avait toujours tendance à reporter cette corvée, mais il fallait qu’elles sortent et l’idée de faire du shopping semblait vraiment exciter yasui. La rose serait bien capable d’acheter un magasin entier si elle le pouvait, c’était pour cela que c’était Dan qui gérait leur argent qui garait un œil sur la rose. Elle était habitué à gérer leur finances, elle savait exactement combiens elles avaient, connaissait le budget sucrerie de yasui par cœur et donc avait une meilleure vision de ce qu’elles pouvaient se permettre d’acheter ou non. Peut-être qu’il faudrait qu’elle laisse yasui être lus au courant de leurs finances, mais la rose avait encore du mal avec le concept d’économie, et puis les maths n’étaient pas son fort. Elle espérait qu’elles ne ressortiraient pas la ruinées, et surtout en un seul morceau. Mais cela ne serait peut-être pas si mal, après tout peut-être qu’il n’y aurait pas trop de monde …. Non l’endroit était plein à craqué de monde, une foule anormalement énorme qui fit légèrement paniquer la rouge. Elle faillit rester collé sur place, mais elle prit une grande inspiration et prit la main de Yasui avant de commencer à s’avancer dans le hall principal. En marchant et en regardant autours d’elles, d’énormes panneaux colorés leur dévoilait la raison d’un tel monde, pile un jour de solde … Dan se demandait si elle était chanceuse ou non.
Je m’étirais dans mon lit puis baillais à m’en décrocher la mâchoire. Cela faisait un brave moment que je n’avais pas eu une si bonne nuit. Pourtant je n’avais rien fait d’extraordinaire. Rien qui ne changeait du quotidien entre mon métier de héros et mon métier de prof d’arts martiaux. Du coup, je ne savais pas pourquoi c’était différent des autres jours mais je n’allais pas me plaindre étant en pleine forme.
Vu que c’était mon seul jour de congé de la semaine je décidais de le commencer par un bon petit footing matinal histoire de me faire prendre l’air. Je mis donc ma tenue et partait courir. Je me disais qu je pourrais peut-être m’acheter un animal de compagnie. Courir avec lui serait sûrement amusant et rafraîchissant, mais en même temps je n’étais pas très démonstrative alors ce n’était peut-être pas pour moi.
Je fis un footing d’une bonne heure réfléchissant à mon envie d’animal de compagnie avant de finalement revenir chez moi afin de prendre une douche bien méritée après cette heure fructueuse. J’avais bien sûr pris le temps d’étirer mon corps histoire de ne pas avoir de courbatures ou que très peu.
Une fois sortie de la douche et habillée il restait un souci de taille. Qu’allais-je faire de ma journée de repos ? Une heure de footing ça ne remplissait pas la journée malheureusement. Je réfléchissais et finit par tombé sur l’évidence que du shopping pour m’acheter quelques nouvelles fringues ne serait pas de trop. Je n’y allais que par nécessité ayant une sainte horreur des bains de foules et aussi parce que les magasins ça me gavait sévères. Non mais surtout les vendeuses qui te saute à peine tu rentres dans une boutique ça a sérieusement tendance à m’agacer. Si j’ai un souci je vais à elle sinon elle me lâche la grappe ce n’est quand même pas bien compliqué.
Généralement, je n’ai pas besoin de leur dire quoi que ce soit un regard bien noir ça fait son effet.
Je soupirais me préparant psychologiquement à défier la foule et partait direction la zone commerciale. J’avais juste oublié un micro-détail. C’était encore les soldes... Et merde ! Triple dose de gens dans les rues, qui te bousculent de partout en mode, je n’en ai rien à faire de ta gueule ou dégage t’es qu’une sous-merde…Autant dire que je suis ravie d’avance. Pourquoi je suis aller gâcher ma journée de congé avec ça sérieusement ?
Bon maintenant que je suis là ça ne sert çà rien de repartir. Je respirais un grand coup et m’élançais dans la foule. Je finis par arriver à une boutique qui m’intéressais. Manteau long comme j’aimais et qui me servait pour ma tenue de héro. Si j’en avais quelques-uns pour faire tourner un peu et avoir le temps de laver les autres ça pouvait être cool. J’allais entrer dans cette boutique quand un bruit de cassure de verre retentit. Malheureusement des cris retentirent aussi et me défoncèrent les oreilles de manière totalement gratuite.
Je me retournais pour voir à quoi était dû cette agitation et je vis un bâtiment, ce qui me semblait être une bijouterie, avec sa vitre totalement brisée. Je ne savais pas comment faire là maintenant. Je ne pouvais pas perdre du temps à mettre mon costume en sachant que les voleurs étaient en train de finaliser leur braquage et aller partir.
Et merde tant pis pour la couverture, un crime était commis je ne pouvais pas fermer les yeux ni penser à ma couverture avant le bien d’autrui. Vu qu’ils étaient armés, je ne pouvais pas prendre le risque qu’ils utilisent leur arme trop longtemps, je devais d’abord les débarrasser et ensuite couper leur moyen de transport.
Je bousculais les gens ni une ni deux et arrivait devant la boutique juste au moment où le dernier mec sortait. Un retardataire ? Je ne lui laissais pas le temps de réagir que je lui collais mon poing en plein dans le visage. J’usais ensuite rapidement de mon pouvoir afin de couper le moteur de la voiture qui l'attendait, pour leur empêcher toute fuite. Tous ce que les gens de l'extérieur pouvaient voir à ce moment là ce fut une épée d'énergie découpant le devant de la voiture comme du beurre.
Bien messieurs maintenant que les présentations sont faites auriez-vous l’amabilité de restituer ses biens à la bijouterie ? dis-je en croisant les bras.
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Comme dans la plupart des grands moment, Dan pris la main de Yasui, première à l'initiative là-dessus. Yasui la serra aussitôt et emmena sa queue entourer la taille de son amie, un peu une manière de lui dire de ne pas s'inquiéter : Qu'elle en comptait ni s'éloigner faire des bêtises, ni la laisser seule dans un endroit aussi bondé parce que au final, autant l'une que l'autre sortaient assez peu. Le stress d'une situation aussi excessivement différente des habitudes, touchait aussi la rose pourtant beaucoup plus insouciantes et stressée par les autres jeunes d'une manière générale mais sur ce point, elle avait quand même bien évoluer. Sur d'autres aussi, comme le fait de ne plus agir sans réfléchir, même si son alter aidant à contrebalancer ses bonnes résolutions, il y avait une chose de sur, l'idée de causer des soucis à Dan, pire, d'être un pois qui mettait a vie en danger, était une réalité encore toute fraîche dans son esprit et qui n'en était plus sortit depuis les événements... Un record presque similaire à celui de quand elles avaient appris le japonais. N'en connaissant pas les raisons exacte, les raisons physique dans son cerveau de sucre... Il était certain que cette première sortie depuis la tragédie, ne serait pas comme les autres, elle ce l'était promis en tous cas.
Déjà, il y avait l’envie de profiter d'une situation nouvelle et plus normale, comme dans certaines séries, une chose qu'elle 'n’avait jamais vécue et qu'elle voulait partager avec Dan : Aussi espérait elle voir son amie essayer PLEIN de tenues différentes et aller chez le coiffeur serait aussi très drôle, acheter des appareils pour cuisiner pourrait être aussi vraiment cool. Bref, elle se faisait déjà plein d'idées, mais ne relâchait pas la rouge, toujours collée contre elle, marchant à côté elle posait sa joue contre l'épaule de son amie :
▬ J'ai de la chance de t'avoir. ».
dit-elle en réponse aux commandements de Dan, pensant que la pauvre dasheuse avait bien peu de chance d’avoir eu la rose en amie. Mais, elle était déterminée à changer ca, à sortir de sa condition de malabar et ne plus causer de soucis, ne plus être, une chose chiante, stressante, qui 'n’apporte qu'un peu de naïveté et d'humour.
▬ « Je touche qu'avec les yeux aujourd'hui ».
elle de collait sa joue et regardant un panneau publicitaire émis une suggestion :
▬ « Ce serait bien que tu me passes un peu de heu.. D'argent ? ».
Elle n'y avait jamais apporter le moindre intérêt, ne comprenant pas comment des gens pouvaient accepter de 'ca' contre de délicieux bonbons.
Mais après tout, si ca fonctionnait ainsi...
▬ « Que j'essaye de, d'utiliser et de calculer.. ».
elle semblait un peu dans le doute et la honte, comme ci elle faisait une bêtise ou disait une connerie, mais, elle faisait vraiment un gros effort là ! En tous cas, peu après, il y eut un bruit de verre brisé, une alarme aussi qui se mis a retentir dépassant le bruit de la foule et des différentes musiques, celle des galeries et celles des différentes boutiques. Un rabroua assez inhumain si l'on est pas habitué à ce genre d'excursions. Étrangement Yausi s'y sentait assez bien. Peut-être le souvenir du bordel ou elles avaient grandit, il y avait toujours du bruit, beaucoup de monde dans les rues. Une cacophonie permanente qui calmait mais aussi, semblait aider Yasui à garder une idée en tête : Elle ne comprit pas trop la suite des événements.
Une femme, une adulte d'ailleurs, s'attaqua aux pauvres clients de la bijouterie qui faisait une vacarme fou. Les gens semblèrent avoir peur d'ailleurs, ce qui fit que Yasui se colla d'autant plus à Dan, recouvrant presque intégralement le bras gauche de celle-ci et elle chuchota a son oreille :
▬ « C'est des vilains, eux ? ».
Bref, le temps quelle soit sur d'avoir compris, leur voiture pour prendre la fuite, pas si loin des deux étudiantes, se fit trancher, les types bloqués sur place légèrement effrayés se cachèrent derrière le cadavre de bagnole et l'un d'eux cria : tu ferais mieux d'nous laisser partir, sinon, vas y avoir des morts ! Tu veux que des civils payent pour quelques bijoux ?! » ils avaient probablement un alter, mais aussi, ce que personne n'avait vus venir, d'autres type sortirent de la foule pour s'attaquer à la femme héro... Le petit gang était mieux organisé que prévu,
▬ « Y faut qu'on l'aide ou pas ? ».
A vrai dire, Yausi ne voulait pas ne pas agir, ni prendre le risque de gêner Dan et la mettre en danger, encore une fois.. Elle se sentait, juste.. Dans une impasse, et était avant même d'avoir pus mettre un plan pour devenir meilleure en œuvre, face à sa nullité..
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Au moins Dan n'avait pas à se répéter, Yasui était en général assez docile et au moins elle écoutait bien la rouge. Et puis elle savait que son amie ne louperait jamais une occasion de se coller à elle, et puis elle avait enroulé sa queue autour de Dan, donc même si elle était distraite et commençait à s'éloigner, il y aurait toujours un lien entre elles. L'idée de perdre Yasui dans la foule sonnait comme un cauchemars pour Dan, un peu ironique alors que la rouge essayait de laisser à la rose plus d'espace pour être indépendante, mais la situation était différente. Et puis la rouge ne pouvait se débarrasser de son instinct de protection en si peu de temps, surtout avec autant de foule.
Mais elle s'était promis qu'aujourd'hui serait une journée de détente, une journée ou Yasui pourrait être excité et s'amuser à faire le tour des magasins. Quoique la boule de sucre semblait essayer d'être calme aujourd'hui, au lieu de bondir partout et de vouloir toucher à tout, elle restait bien à coté de Dan et se contentait de regarder. Et comme si Dan n'était pas déjà agréable surprise, voila que la rose s'intéressait maintenant à acheter par elle-même, elle qui normalement ne portait aucun intérêt à l'argent.
-On va d'abords acheter quelques trucs dont on a besoin ensemble. Ensuite je te donnerais de l'argent et tu t’achèteras ce que tu veux.
Elle n'allait pas donner toutes leurs économies à la rose, mais elle n'allait jamais la freiner dans ses élans d'indépendance. Au contraire, cela serait une bonne expérience, de laisser Yasui essayer d'acheter quelques bricoles, la pratique l'aiderait peut-être à mieux comprendre les bases de l'économie. Et puis la rouge ne mentait pas, elle avait bien et bel une liste et un budget pour des objets dont elles avaient réellement besoin mais également de l'argent restant pour qu'elles se fassent plaisirs.
Mais ce moment agréable fut de courte durée, alors qu'elle commençait juste à relâcher sa garde, la voila cruellement rappelé à la réalité et aux dangers qui les entouraient. Peut-être qu'elle dramatisait un peu, il s'agissait d'un braquage de bijouterie, elles n'étaient pas particulièrement ciblés, mais elles étaient quand même en danger. Yasui s'était collé un peu plus contre Dan, et la rouge avait mit son bras libre devant la rose par instinct de protection.
Mais au lieu de prendre la fuite, la rouge était resté sur place, à observer le déroulement de la scène. Une héroïne était par chance sur le lieu et était immédiatement entré en action contre les voleurs. Dan n'avait aucun moyen de juger la puissance de cette femme, une partie d'elle avait envie de se planquer dans la foule et laisser la professionnelle faire. Sauf que techniquement elles étaient de apprenties héros, elles ne pouvaient pas rester la à se tourner les pouces. Si on réalisait qu'elles avaient fait les planctons elles risquaient de se prendre un sermon, et puis d'un autre coté .... des cambrioleurs étaient nettement moins dangereux qu'un vigilants ou un vrai vilains ... cela pourrait les aider à se faire la main.
-On ne peut pas risquer qu'ils blessent les civils. On va s'occuper de ceux qui sont sortis de la foule. Je te balance et tu les colles.
Vu ce qu'elle avait fait à la voiture, l'alter du héro semblait plutôt destructif, mieux valait éviter qu'elle le dirige vers la foule. En revanche grace à Yasui elles pourraient tenter de capturer les vilains les plus proches des citoyens sans faire de blessés.
Profitant que Yasui soit bien accroché à elle, la rouge avait dashé droit vers le danger, étirant le bras de son amie avec elle. Profitant de la vitesse gagné, elle fit un saut et son genou entra en contact avec la tête du vilain le plus proche. Retombant au sol, elle profita du momentum restant pour tirer sur le bras de Yasui et la balancer au dessus d'elle, un peu comme si elle manipulait un fléau géant. Sauf qu'au lieu d'une arme, ce fut un gros malabar collant qui s'écrasa de plein fouet sur le petit groupe de villains qui avait tenté d'attaquer l'héroine à revers. Si elle avait son arme ele aurait enchaîné directement en fonçant droit sur les ennemis sonnés, mais la, elle dû faire une pause pour chercher quelque chose avec lequel taper.
Je souriais en voyant les braqueurs essayer désespérément de fuir avec leur voiture. Sauf qu’avec mon pouvoir c’était un peu peine perdue. Je venais de démolir la caisse sans trop de problème. Je soupirais agacée de voir qu’ils étaient tous des flipettes dès qu’on en venait aux choses sérieuses. C’était quand qu’on se faisait un peu d’action véritables ? Des vrais méchants qui se, ne mettait pas à fuir dès que tu rappliquais ? Je baillais et m’étirais ennuyée.
Moi qui pensais que ce serait lent et mou, deux apprenties héros, il semblerait, entrait en action. Je souriais intéressée en voyant le pouvoir de la première. Rapide ! Très pratique comme pouvoir et l’autre l’était tout autant. Un malabar géant version humanoïde. Cela doit être plutôt pratique à certains moments on va dire.
Il semblait qu’elles essayaient d’éviter que les fuyards se dispersent dans la foule. Bonne idée, même si ça n’avait pas forcément d’utilité qu’elles interviennent j’avais la situation en main. Je fis en effet, apparaître une sorte de cage faite d’épée qui se forma tout autour de la zone de bataille, enfermant par la même occasion les voleurs et mes nouvelles alliées.
Bien, maintenant que tous les participants sont rassemblés il est temps de régler nos comptes comme on dit. Enfin je vais vous laisser faire dis-je en regardant les deux jeunes femmes qui m’avaient rejointes.
Je croisais les bras et m’adossais à l’un des murs de la bijouterie.
Vous êtes pas assez souvent en situation réelle et comme je partages pas mes combats vous allez vous démerder les noobies.
Vu mon air j’étais clairement déterminée à ne pas bouger. Et dès qu’un vilain s’approchait d’un peu trop près une épée apparaissait devant lui se plantant à ses pieds les dissuadant d’avancer plus.
Je me demande comment vous allez vous y prendre, mais votre duo m’a l’air très atypique, ça risque d’être intéressant.
J’avoue que c’était assez bâtard de ma part de leur faire ça, mais j’étais là en cas de besoin. Même si je doutais fort d’avoir à intervenir car elle m’avait l’air tout à fait capable. Surtout qu’en face c’étaient des gros nullos.
D’ailleurs tant que j’y pense dites moi vos noms que je sache qui j’ai en face de moi.
J’aurais pu très bien leur laisser le boulot et me barrer, mais je devais bien avouer que ces deux jeunes femmes m’intriguaient et que je voulais voir le potentiel qu’elles avaient avec leur pouvoir assez original il fallait bien le reconnaître en plus d’être complémentaire.
Que le meilleur gagne les enfants et faites nous un beau spectacle sinon ce sera pas intéressant à regarder et je me sentirais obliger d’intervenir.
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