My Hero Academia RPG
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Koichi Haimawari
Vilain Solitaire
# Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
Mar 20 Aoû - 11:15
Un aéroport dans cette ville, décidément les choses avaient bien changé en cinq ans mais si cet aéroport était tout récent, ayant ouvert il y a moins d’un an, en partie financé par le soutien d’un conglomérat s’étant lui aussi installé récemment

Revenir n’avait pas été aussi simple que prévu, puisque j’avais eu ….quelques soucis de visa. J’avais donc été refoulé par les autorités , et il fallu plusieurs semaines pour régler toute la procédure, le tout en évitant Makoto qui était sur mes traces. D’ailleurs, cela m’inquiétait aussi du fait que son frère était le plus prestigieux inspecteur de Musutafu. Si je me faisais arrêter et identifier, je serais encore plus dans le pétrin.

Bon fallait positiver, le vol s’était passée sans encombre. J’avais regardé plusieurs films et documentaires, et jouer à ma console portable à Heroes megapunch battle 12, et j’avais réussi à finir combat platinum d’All might version new missipi Zwei contre les dix héros du top 10. De quoi me mettre de bonne humeur.Du moins si je n’avais eu un gamin turbulent juste derrière moi, bruyant et qui n’arrêtait pas de donner des coups dans mon siège.

Pourtant, si l’atterrissage se passa a priori bien, il se passa quelque chose alors que l’avion se dirigeait vers le tarmac pour nous faire débarquer. L’appareil s’arrêta brusquement. Le commandant prit la parole,mettant du temps à trouver ses mots et un calme apparent.

-J’ai une annonce grave à vous faire, il semblerait qu’actuellement une prise d’otage soit en cours sur le tarmac. Les autorités sont cependant en train de régler la situation et nous allons devoir descendre ici.


Cela provoqua évidemment un certain émoi dans l’avion.Je vis au loin sur la piste qu’approchait de l’avion des gens et une camionnette avec un escalier pour descendre, de quoi se prendre pour un chef d’état, enfin si seulement n’avait pas été si sérieuse. Je retournai à ma place quand j’entendis le gamin turbulent qui geignait, parce que sa mère lui avait retiré la paire de jumelles avec laquelle il s’amusait.
-Eh qu’est ce que tu regardait ! Demandais- je
-Là, la prise d’otage !

D’un coup, je me collai à la vitre et plissai les yeux pour voir ce qui se passait dans une zone d’embarquement, je distinguai qu’il y avait de l’agitation, un homme tournant le dos à la vitre et faisant face à ce qui semblait être des gardes privés de l’aéroport. Pour mieux voir, je demandai au gamin qu’il me prête ses jumelles. Évidemment il refusa. Je farfouillai à ma place et lui présenta les friandises que le service de restauration nous avait donné.
-Et si je te donne ça !
-Hmm d’accord mais t’as intérêt à me raconter ce qui se passe.


Ouais ça on en reparlera déjà que je comptai garder les friandises pour plus tard mais le sacrifice en valait la chandelle, heureusement que l’enfant ne fit pas monter la mise. A présent que j’avais les jumelles, je voyais mieux . Le type qui tournait le dos tenait une femme, c’était bien le preneur d’otage. Toutefois je sursautai. Des éclairs avaient fusé. Cependant je ne voyais que partiellement, et ne pouvait évidemment pas les entendre.Que diable se passait-il là-bas ?


****Là-bas plus précisément***



-S’il vous plaît aidez-moi ! Cria la femme à la vue de l’éclair.

Ce dernier avait jailli de son ravisseur quand un garde de l’aéroport voulut s’approcher davantage, il s’agissait toutefois d’un coup de semonce puisque ça ne toucha personne.

-Arrière bande d’imbéciles !
Cria le ravisseur.
Les gardes étaient au nombre de six. En retrait se tenaient le directeur de l’aéroport et son assistant.Les premiers policiers arrivaient sur place, ayant répondu à l’alerte qui avait été donné. Il était deux , un jeune rookie et un inspecteur vétéran, un homme d’une quarantaine d’année aux cheveux mi-longs et une barbe de trois jours.Heureusement pour Koichi, ce n'était donc pas l'inspecteur Tsukaushi. Il s’avança entre deux rangées de bancs pour rejoindre deux gardes, dont celui qui semblait être leur chef, faisant face au terroriste, un homme au cheveux vert court façon militaire, portant des lunettes de soleil et vêtu d’un long imper, semblant sorti des films Matrix. L’inspecteur s’alluma une clope , et montra sa plaque en prenant la parole d’une voix forte.


-Je suis l’inspecteur Baliko

En dépit de son air négligé, Baliko était un flic brillant qui n’avait cependant jamais grimpé les échelons à cause d’un penchant pour l’alcool, qui lui coûta également son mariage et le laissant avec un droit de visite limitée pour voir sa fille, mais il n’en restait pas moins quelqu’un d’intègre. Outre le terroriste, il nota bien vite que les gardes de l’aéroport n’étaient pas plus rassurant, ils avaient des mitrailleuses et étaient prêt à se comporter en cowboys.

-Pourquoi ne faites-vous rien ! Aidez moi ! Protesta l’otage, à l’évidence une passagère fortunée qui avait été là au mauvais moment.
-Du calme mademoiselle ! On fera ce qu’on peut pour que vous vous en sortiez saine et sauve.Eh toi, as-tu dit ce que tu voulais ?
-Mais oui, il a dit qu'il voulait que vous fermiez ce fichu aéroport ! Brailla l’otage, toujours plus hystérique, chose qui n’arrangeait pas la situation.
-S’il vous plaît restez calme mademoiselle ! Intervint le chef de la sécurité.
-Fermez l’aéroport ! On peut s’arranger…
-Hors de question ! On attend plusieurs arrivages important. Protesta le directeur de l’aéroport.


Baliko claqua des dents d’un air mécontent, notant l’insistance du directeur sur ce point, et se doutant que les gardes obéiraient aveuglément.
-Eh bien vous pouvez dire adieu à cette petite !

Le terroriste avait un doigt en l’air sur lequel était en train de se concentrer une étincelle.
-Arrêtez de poser des questions et faites ce qu’il dit !
-Mais nous n’avons pas l’autorisation.
-Mais nous sommes plus nombreux. Feu !


Baliko nota le bruit de chargeurs
-Non ne faites pas les idiots !Vous allez tous nous faire tuer !

Les gardes pointèrent leurs armes sur le terroriste, sur le point de faire et visiblement sans trop se soucier de l’otage qui s’était transformée en fontaine.Toutefois, à peine commencèrent-ils a faire feu que le terroriste lança son étincelle concentré qui se changea en une rafale d’éclair qui désarmèrent les gardes et les mirent à terre, de même que l’inspecteur.

-JE VOUS AI DIT DE VOUS TAIRE ET DE FERMER L’AEROPORT.TRES BIEN S’IL FAUT DES VICTIMES POUR VOUS CONVAINCRE.

Et il commença à charger à nouveau, probablement pour un nouveau tir qui tuerait les gardes et l’inspecteur, alors que ce dernier à genoux serrait un médaillon.
-Eh bien Emmy, on dirait que ton père ne te rendra plus visite.





Koichi Haimawari
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Gattsu Miura
Jeune membre des Vengeurs
# Re: Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
Ven 23 Aoû - 15:35
Encore des putains d’emmerdes.

J’sais que j’abuse un peu à commencer toutes mes histoires par des jurons, mais cette fois-ci encore, j’devais juste aller récupérer un gus dans un aéroport, et y’avais un putain d’incident.

Ca avait commencé y’a dix minutes. J’venais de me faire engueuler par la sécurité pour avoir grillé une clope dans le hall quand une sirène se mit à sonner. Alerte attentat ou un bordel du genre. Comme toujours dans ce genre de situations, y’avais des mouvements de foule, des gosses qui beuglaient et un attroupement aux sorties.
Perso, j’avais mon café à finir, donc j’étais resté assis, même si une vieille m’avait bousculé. J’pensais pas qu’une vieille peu comme ça pouvait courir aussi vite sans faire exploser sa rate, mais bon, la panique fait faire des choses incroyables. Puis bon, ça faisait deux heures déjà que je poireautais, et l’avion du pélo que je devais accueillir avait déjà atterri depuis vingt minutes. C’était donc hors de question que je laisse ma place assise à quiconque, encore moins à la vieille qui m’avait bousculé.

Bref, quelques minutes après, c’était déjà presque vide. Un vigile de l’aéroport était venu me demander de sortir, ce que j’avais poliment refusé en l’ignorant. Une minute encore, mon café était terminé, en encore aucune trace de ce Merry… ou Marry j’sais plus trop. A vrai dire, j’avais juste sa gueule sur un papelard. Au moins, il avait pas la tête d’un casse couille, c’était déjà ça, mais bon, faudrait-il encore le rencontrer pour en être certain.

A peine j’avais fini de penser ça qu’un cri parvint du bout du couloir après un flash lumineux. Il était à bien quelques centaines de mètres de là. En même temps, quelle idée de construire des bâtiments si énormes. Mais bref, c’est pas le sujet : J’étais pas expert en météo, mais un éclair dans un duty free, c’était pas très naturel.
Je décidais enfin à me lever et à me diriger vers le lieu. A coup sur avec ma chance de chat noir, le terminal du mec que j’attendais allait se trouver dans ce coin. Pis merde, j’avais presque aucune arme sur moi au cas où je doive me battre.
J’avais mes clopes, mon briquet, ma bite et deux couteaux, pas de quoi aller très loin. Heureusement, j’avais quand même le masque, au cas où l’autre taré d’artiste devait se ramener. A le connaitre de mieux en mieux, je savais qu’il perdrait pas une occasion de faire son spectacle macabre devant autant de gens.

Après quelques pas encore et quelques sauts au-dessus des barrières de sécurité, j’arrivais à la zone m’embarquement. Y’avais plus personne, hormis un attroupement près d’une vitre. Le gars beuglait comme un porc qu’on égorge, et mes yeux usés réussirent à distinguer une demoiselle qu’il prenait en otage.
Ah… Les prises d’otages… La dernière fois, l’artiste avait buté l’otage en même temps que le ravisseur, j’étais donc pas très chaud à lui laisser les commandes aujourd’hui. Je pris plutôt le temps d’observer la situation. Il avait une espèce de pouvoir de foudre comme l’avais subtilement indiqué l’éclair de tout à l’heure, et était entouré de flics et de gars de la sécurité.

Evidemment, ils avaient pas le droit d’utiliser leurs pouvoirs, et allaient surement se faire griller la caboche vu l’ampleur du coup de tout à l’heure. A vrai dire, ils pouvaient crever, je n’en avais rien à foutre, mais l’autre terroriste, j’avais moyen envie qu’il s’en sorte ou qu’il tue la demoiselle.

Lentement, je pris la peine de m’approcher. D’un coup d’éclair, il désarma les hommes de loi, criant encore plus fort que tout à l’heure qu’il voulait fermer l’aéroport. Cette demande m’intrigua… D’habitude, les abrutis dans son genre demandaient de l’argent ou la garde de leur petite fille, pas la fermeture d’un bâtiment public, mais bon, y’a tous types de cons de nos jours.

Bref, pour résumer, j’étais à une grosse cinquantaine de mètres de cet abruti, et je continuerai à l’observer tant qu’il tentera pas de tuer la fille, mais si il envisageait de faire le mariole, pour sûr, je lui ferait une aération dans sa tête de clochard.
Gattsu Miura
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Oswald Graves
Héros
# Re: Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
Ven 23 Aoû - 16:02


Aaah ! Ces vacances loin d'la ville m'avaient fait l'plus grand bien, ma foi. J'étais parti voir ma petite famille, qui était composée de mes vieux, à Hokkaido. J'avais pu décompresser une petite semaine, loin des problèmes, et des vilains qui avaient envahit Musutafu.

Le vol pour rentrer s'tait bien passé, j'avais maté des films tout du long, histoire d'penser à autre choses qu'mes cigares, qu'on soit clair. Au moins, ça m'avait diverti, et j'avais encore un peu l'impression d'être en vacances.

J'avais r'servé un chauffeur, pour mon retour à Musutafu. Ouais, parce que bon, c'bien sympa d'être un héros et d'être croupier, mais tout mon argent passait dans la bouffe, l'loyer, les factures diverses et variées. J'm'étais pas encore payé d'voiture, et j'allais pas voler jusqu'à mon appartement qui s'trouvait à quelques kilomètres.

Alors qu'j'pensais déjà r'trouver le petit confort d'mon appartement, bah vous pensez bien qu'y a eut une couille dans le potage, hein. J'avais même pas posé l'pieds sur l'tarmac, qu'une annonce fût faite dans l'avion.

" Mesdames, et Messieurs, nous vous prions de bien vouloir garder votre calme. Ceci n'est pas un exercice. En effet, une prise d'otage prends actuellement place dans la salle d'embarquement de l'aéroport. Aussi, nous vous invitons à attendre bien sagement dans l'appareil, le temps que le problème soit réglé, et que l'activité reprenne normalement. "

V'là l'bordel, une prise d'otage dès mon retour d'vacances, et avant même que j'ai pu posé l'pieds à terre. J'me levais alors de mon siège, près de la vitre, le A16 pour être plus précis.

" Excusez-moi, pardon. Vous permettez, j'vais pisser là. "

Les gens assis à côté d'moi m'laissèrent passer, ainsi qu'les hôtesses, alors qu'j'm'avançais vers le devant de la carlingue. J'présentais finalement mon permis héroïque à une des hôtesses.

" J'vous prie d'me laisser sortir, ma p'tite dame. Il semblerait qu'on ait besoin d'un héros, là-bas.

- Je.. Je vais demander à notre capitaine sur le champ, Monsieur ! "

Quelques s'condes plus tard, la porte de l'appareil s'ouvrait, et j'remerciait brièvement la p'tite dame, avant de filer droit vers l'aéroport, courant littéralement dans les airs au moyen de mon Sky Walk.

C'est alors qu'une sorte d'éclair se fit apercevoir, dans le bâtiment. J'allais mettre facilement une ou deux minutes à débarquer, et je n'avais encore aucunes idées précise de ce qui se passait, là-bas.

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Koichi Haimawari
Vilain Solitaire
# Re: Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
Lun 26 Aoû - 23:32
Je ne descendis pas directement de l’avion comme le reste des passagers mais profita de la panique pour me diriger dans les toilettes où je mis ma tenue de Crawler.Je me faufilai ensuite hors de l’avion, voulu passer incognito mais j’atterris prés d’un groupe de types louches, qui étaient sapé comme des mafiosos américains à l’époque de la prohibition. L’un d’eux avait une radio allumée. J’entendis des cris dans celle-ci.

-JE VOUS AI DIT DE VOUS TAIRE ET DE FERMER L’AEROPORT.TRES BIEN S’IL FAUT DES VICTIMES POUR VOUS CONVAINCRE.


Eh se pouvait-il qu’il s’agisse ce qui se passait sur la prise d’otage. Je regardais dans cette direction, et vit un petit avion qui s’en approcha, un type habillé en bleu en sauta et brisa la vitre, arrivant là-bas.


****Là-bas***

-On dirait que j’ai atterri au milieu de la sauterie !

Le héros, portant un turban et une veste bleu ,fit une entrée fracassante, forçant le ravisseur à se retourner, sauvant les gardes et l’inspecteur, et a lâché son otage.

-Bon sang ! Qu’est-ce que tu crois que tu fais pauvre nigaud?
-Je m’occupe des ordures c’est mon job.Rien de personnel.Je suis le fakir rouge
-Ah ah , mais t’es habillé en bleu. Enfin peu importe, je vais te réduire en cendres. Rétorqua le vilain en préparant de l’électricité



Après avoir contourné son adversaire pour éviter un éclair, le fakir ble...le fakir rouge utilisa son alter, générant des flammes et toucha le vilain au niveau d’un flanc.
-Voilà pourquoi on m’appelle le Fakir Rouge.

Celui-ci parut en souffrir, une main au niveau de sa blessure, et une en arrière.

-Tu es fort !

Le Fakir Rouge pensait avoir déjà la victoire, et voulu s’approcher pour capturer le vilain.

-Mais je suis plus rusé que toi !


Il abattit la main qu’il tenait en retrait sur le héros, l’électrocutant violemment et l’envoyant valser dans la rangée de banc, le laissant sur le carreau. Il se réveillerait sûrement avec de bonnes contusions, et la facture des dégâts qu’il avait fait.

-Tss changement de plan.

Le vilain fit alors quelque chose de surprenant...puisqu’il pris la fuite, en passant par une porte réservée au personnel. Il avait pris la fuite.Toutefois, l’inspecteur Baliko qui se relevait difficilement avec l’aide de son apprenti, était sceptique.

-Vraiment bizarre ce type, il a un alter de charge pour sa foudre mais on dirait un drogué, et il a réagi bizarrement quand il a été touché. Eh dites, qu’il y a-t-il par là ? Demanda-t-il au directeur
-Oh rien de particulier, on peut sortir ou rejoindre la tour de contrôle...oups.
-et ce type utilise la foudre...oh misère. Vite la radio ! Appelles des renforts !


***Retour à Koichi***

-Il veut aller à la tour de contrôle pour faire tout sauter là-bas. S’il fait ça les avions qui arrivent vont avoir de gros problèmes. M’inquiétai-je
-Eh t’es qui, toi ?


Je maudis ma bêtise puisqu’en réagissant comme ça je venais de me faire repérer par les types à l’air de gangster.
-Moi, je suis le crawler. Mais vous, pourquoi vous avez une radio de la police?
-Ben parce qu’on est de la police.
-Ah d’accord. Je vous ai pris pour des gangsters, ah ah, c’est idiot.
-Ah bah oui c’est idiot de croire ça.
-Chut Bogart.
-Ok, laissez-moi vous aider. Je vais rattraper ce vilain et le neutraliser avant qu’il ne puisse mettre son plan en action.Pouvais vous me dire comment je peux rejoindre la tour.
-Tu peux passer par là mais ce sera dur de le rattraper
-Vous inquiétez pas! J'ai ce qu'il faut pour ça.

Je partis en mode glissade et me dirigeât dans la direction qu’on m’avait indiquée.
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Gattsu Miura
Jeune membre des Vengeurs
# Re: Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
Ven 30 Aoû - 13:13
Bon.

Au temps pour moi, ce n’était pas forcément la dernière des merdes, il avait presque failli m’arracher un éclat de rire ce con. Pour replacer le contexte, j’venais de voir un figurant du cirque du soleil se faire emmurer dans un banc. Déjà c’était marrant de base à regarder, mais le voir scander haut et fort qu’il s’appelait le fakir rouge avec son paletot bleu, c’était trop, même si faisait du feu au final.

Bref, promis, j’ai fini de vous racontez ce que vous savez déjà.
Il s’était donc mis à détaler vers la tour de contrôle. Bon, il y était pas encore hein, y’avais une bonne trotte, mais qui sait, il pourrait très bien avoir quelque-chose avec son alter pour aller plus vite.
Moi ? Je la jouais discrète, y’avais des flics, et prêtre même d’autres héros dans le coin. Je pris donc mon pas le plus discret possible pour contourner le groupe.

Bon, c’était très optimiste, peut être trop, si bien qu’arrivant au niveau des poulets, je me fis interpeller pas l’un d’eux.

Hey ! On vous a dit d’évacuer, ça vous a pas suffi que le héros se fasse griller la tête ?

Ce gars qui m’avait adressé la parole était un certain Baliko, mais ça, je l’ignorais, mais ça me faisait chier. Déjà que je les sentais à cran d’avoir vu un potentiel sauveur se faire laver en un coup, me voir tranquillement gambader dans l’allée n’allait que les énerver encore plus si je ne me montrais pas coopératif.

J’me présente, Hagara Senwon, je bosse pour le gouvernement. Avant que vous me demandiez, j’ai laissé mes papiers dans ma caisse car j’étais là pour récupérer ma femme à l’aéroport. J’pensais pas en avoir besoin mais les merdes dans le genre ça frappe à toute heure.
Vous permettez que j’vous aide ?

Il était sorti d’une traite, impeccable. J’fesais pas des belles phrases comme l’autre taré mais au moins j’avais un peu de bagou. Ils étaient à cran, mais pas forcément assez pour refuser une aide évidente. C’était clair que le mec qui m’avait adressé la parole irait fouiller dans ses papelards à la recherche d’un gus portant mon nom, mais j’aurai déjà repris ma caisse et j’me sifflerait un bon cognac.
Mais bon, assez parlé de moi.

Bon, écoute, j’ai aucune confiance en toi, au premier geste suspect on te plombe, pigé ?

J’clignais quelques fois des yeux, pas sur d’avoir bien entendu, puis j’acquiesçait simplement. Ok, j’faisais un peu ma salope, mais si je ramenais la tête de ce sac à merdre qui prenait les femmes en otage, j’aurais prêtre une prime ou j’sais pas quoi. Bref.
Je m’avançais vers eux, qui avaient eux même entamé une marche en rang d’oignon vers une petite porte. En entendant quelques blablas, j’avais vite fait compris qu’il devaient pas le laisser se balader partout, et encore moins par cette porte.

J’emboitais donc le pas de l’inspecteur, prenant l’air le plus sérieux possible. J’avais envie d’une petite clope, mais c’était ni l’endroit ni le moment. Devant moi, il venait de se produire un éclair, certainement encore l’alter du type qui tirait au travers du couloir.
Un pouvoir pas mal qu’il avait, faudrait m’en méfier, surtout en huis clos, mais qui semblait faible contre la surprise.

Passant mes mains dans mon dos, je cachais encore un peu plus les deux lames accrochées à la doublure de mon veston. Fallait pas qu’ils me voient avec, c’était sûr.
Où j’allais ? Aucune idée, je suivais le groupe.
La seule chose dont j’étais sûr, c’est qu’avec la tête de ce con, je chopperai peut-être une prime auprès des vengeurs…
Gattsu Miura
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Oswald Graves
Héros
# Re: Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
Ven 30 Aoû - 13:42


J'avais mis deux bonnes minutes à r'joindre l'endroit où l'action avait commencé à s'dérouler, et bien évidemment, dans ma chance immense en cette belle journée, j'étais arrivé trop tard. Un des bleus laissé derrière m'avait dit qu'ils s'dirigeaient désormais vers la tour de contrôle.

- La tour de contrôle, hein ? Qu'est-ce qu'il peut bien vouloir aller foutre là-bas.. ?

- Ah ça monsieur, on n'en sait rien. On sait juste que jusqu'à présent, il veut fermer complètement l'aéroport. Mais le directeur refuse, attendant des cargaisons importantes.

Bon, ça m'avançait pas des masses tout ça, et j'décidais d'ressortir de là par l'endroit où j'étais v'nu. D'toute manière, personne n'allait pouvoir m'faire la moral. J'me retrouvais de nouveau dehors, et j'voyais alors un type glisser sur la piste d'atterrissage, à quatre pattes contre le bitume.

- Eh beh.. C'est la journée des cinglés, aujourd'hui, ou alors ?

C't'accoutrement n'me disait rien, à vrai dire. Et pourtant, j'suivais beaucoup les informations, et j'étais pas mal renseigné sur mes collègues super-héroïque. C'tait étrange, m'enfin bref, peu importe, j'avais pas qu'ça à faire.

J'me mettais donc à courir vers la tour de contrôle, économisant de l'air afin de pouvoir grimper tout en haut d'celle-ci au moyen d'mon Sky Walk.

Bon par contre, c'était pas tout ça, mais il était temps d'm'allumer un cigare, d'puis l'temps que j'avais pas pu en profiter, c'tait presque une torture. J'tirais donc un d'mes précieux d'la poche haute de mon manteau, ainsi qu'le briquet qui allait avec, et m'le collait entre les lèvres. J'l'allumais ensuite, en pleine course, tâchant d'empêcher l'vent d'éteindre la flamme du briquet.

J'tirais alors une latte, avant de souffler.

- Ah p'tain, ça fait du bien.. !

J'allais atteindre la tour de contrôle d'ici deux-trois minutes, à tout casser, en courant à c'rythme. Comment ça j'fumais un cigare en même temps qu'courir, et alors, c'est quoi le problème ? J'vous en pose des questions, moi ? Non. Donc si c'est possible, c'est possible, et j'le garde pas entre mes lèvres tout du long, et tire pas une latte par seconde, hein, faut pas déconner non plus.

Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir ft. Gattsu & Koichi
Oswald Graves
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Koichi Haimawari
Vilain Solitaire
# Re: Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
Ven 30 Aoû - 17:36
Si j’avais des doutes sur la piste que je suivais, je fus toutefois assuré d’être sur le bon chemin en croisant des gens du personnel de l’aéroport à terre , électrocuté. Un rapide examen m’indiqua qu’ils étaient néanmoins vivants. Je continuai mon parcours. Je débouchai sur une passerelle extérieure. Je vis le type, il avait l’air de souffrir du coup que lui avait mis le fakir ninja, poussant de drôles de grognements.

-Arrêtes - toi ! Tu n’iras plus loin !
Criai-je

Vu son état je me disais qu’il n’était pas une si grosse menace, aussi me tint debout avec aplomb, pour paraître le plus intimidant possible. Et plus surprenant, normalement quand on poursuivait un vilain et qu'on lui demandait de s’arrêter, il continuait de plus belle mais lui s’arrêta et me regarda. Je m’approchai de lui

-Vas-tu continuer à courir ? Tu ferais mieux de te rendre.

-Tss, encore un imbécile qui se prend pour un héros alors que tu ne sais rien. Courir ou me rendre ? Ni l’un , ni l’autre .Ah ….waaah


Ce type n’avait vraiment pas l’air d’aller très fort, se tordant de douleur , en posant une main sur une rambarde...enfin non ce n’était pas une main...mais une tentacule...et la rambarde se brisa sous la pression du tentacule qui lançait des éclairs. Cela me rappelait certaines expérimentation auxquelles que j’avais affronté par le passé.

-Vilain factory ?


Me remettant en glissade , je voulus m’approcher, mais je le vis me lançai un sale regard avec un sourire mauvais, je reculais à temps avec mon Kowtow Evasion, glissant en marche arrière pour éviter l’assaut d’un autre tentacule qui voulut me frapper . Je notai que les tentacules sortaient de son manteau, auquel s’en ajouta bientôt une troisième, alors qu’il retira son imper, montrant qu’il avait deux tentacules de chaque côté du corps, enfin l’une était détruite, c’était là où le fakir avait du le brûler. De plus ces tentacules émettaient de l’électricité.

- Hmm ça doit avoir un lien avec cette douleur, et que cela a activé un processus.

-Tu as parlé de Vilain Factory ? Qu'est ce que c'est?
-Un organisation criminelle qui faisait des expériences sur des gens avec des alters, pour les booster même si cela tendait plus souvent à les changer en monstres.
-Ce nom ne me dit rien, mais ta description m’évoque des choses. J’ai servi d’expérimentation pour une organisation.Enfin ça ne sert à rien de t’en dire plus, je vais te détruire.


Ouais, et on retrouvait le symptôme de manque et de violence.Ce gars était un cobaye en fuite.

Ça risque d’être difficile de faire face à ses tentacules en étant seul.Surtout avec les éclairs.

-Un croisement entre une pieuvre et une anguille électrique ? Une tentative de mélanger plusieurs alters ensemble ?
Koichi Haimawari
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Gattsu Miura
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# Re: Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
Ven 13 Sep - 17:30
Je montais quatre à quatre les marches avec la bande de guignoles armés qui avaient suffisamment gobé mon baratin pour me laisser pépère.

Y’avais bien quelques étages que l’autre gus avait grimpé bien plus vite que nous… A la vitesse de l’éclair… Ahah hilarant. Bref. Je vis au-dessus de moi un liseré de lumière, sûrement qu’on était arrivés avec toute la brigade de sécurité.

C’est quoi ce b…


Un gars au-dessus venait de dire ça, interrompant la progression de tout le bataillon d’homme de loi à cran. Baliko n’arrêta quant à lui pas son avancée, et j’profitais de sa percée au travers des hommes armés pour emboîter son pas et me rendre en haut. Arrivé à ce niveau, je vis notre type qui s’était arrêté au milieu d’une passerelle. Dans le prolongement de cette dernière, on pouvait voir la tour de contrôle a une petite centaine de mètres. A voir comment le type avait détalé dans les escaliers, il tarderait pas à le rejoindre mais…
Attends… C’est quoi cette merde ?

J’venais de comprendre le pourquoi du comment de ce que le gars avait dit tout à l’heure. Y’avais un… nan… trois tentacules qui sortaient du dos du type. C’était… une pieuvre électrique ?
J’avais déjà croisé des putains d’alters bestiaux dégeulasses, comme l’autre crabe chez les vengeurs, mais là, y’avais un truc qui clochait. Fin j’veux dire bien entendu que y’avais toujours un truc qui clochait avec les gens avec des alters, mais là ça… ça avait pas l’air naturel.

Restez en retrait, prêts à faire feu, j’vais voir pour négocier avec ce taré.

J’le voyais fouiller dans un gros sac posé non loin, amené par un de ses hommes. Il en sortit un haut-parleur et s’extrait difficilement de la masse d’hommes en uniforme et kevlar pour mettre un pas dehors et s’adresser à l’homme difforme.

Bon. A ce que je vois mon grand tu as du mal à comprendre le sens du mot « Non ». T’as beau être aussi fort que tu le penses, tu es cerné d’hommes et il y a même un héros.


Je le vis jeter un regard en direction d’un type qui était posté non loin. Il semblait être effectivement un héros, et sa tête me disait rien du tout, donc s’il était vengeur, c’était sûrement pas un gars du coin. A la suite des mots de l’inspecteur, il s’était tourné et avait jeté un regard mauvais, empli de colère et de douleur. Un de ses tentacules avait cramé, c’était bon à savoir, mais ca m’aiderait pas plus à trouver une ouverture.

Car oui, je comptais pas rester raide comme un piquet. C’était une menace et fallait l’éliminer. L’éliminer serait une bonne remarque sur mon CV de vengeur, et une bonne remarque me permettrait peut-être de toucher une prime… Ou des avantages. Bref, j’en tirerait profit.
D’ailleurs… Oh putain de merde.

J’étais un peu perdu dans mes pensées, mais pas assez pour ne pas esquiver ce qui arrivait dans nos gueules. Un tentacule fonçait directement dans l’embrasure de la porte, couvert de crépitement électriques. Prenant appui sur l’inspecteur, je me ruais en avant, plongeant au sol. L’excroissance fila au-dessus de moi, et l’instant d’après, j’entendais une petite chorale de cris accompagnés d’un grésillement électrique.

Il était dangereux, bien plus que j’avais pu l’estimer, et je me retrouvais maintenant à sa merci. Pivotant légèrement sur moi-même, je me dégageai de l’axe du tentacule. J’étais maintenant dehors, au pied de la porte menant à l’escalier que nous venions d’emprunter. A l’autre bout de la passerelle, la porte de la tour. A en voir la réaction du « héros », le combat allait surement se passer dans les environs.

Bordel de merde… Merci…

Je plissais les yeux et jetais un regard dans l’embrasure de la porte. Sans faire exprès, j’venais de sauver la vie de l’inspecteur qui l’instant d’avant s’apprêtait à reprendre la négociation au porte-voix. Bilan de l’opération, mettre en rogne l’homme pieuvre, résultat, succès. Son tentacule était revenu contre lui aussi vite qu’elle avait frappé, et je profitais de la menace passée pour me relever et sortir un couteau de mon dos en le gardant caché du regard des hommes derrière moi.

Bon, j’comprends que vous ayez envie de rire. Qu’est-ce que je pourrais vraiment faire d’un couteau contre un monstre comme lui. Et bah j’en savais rien, mais j’voulais encore plus lui faire la peau depuis qu’il avait manqué de me tuer.
J’réfléchis un instant à appeler l’autre artiste, puis me ravisais en voyant que certains hommes de sécurité et flics étaient toujours d’aplomb.

Je cherchais ensuite le regard du supposé héros qui se tenait un peu plus loin. Il nous faudrait coopérer, même si on finirait pas se foutre sur la gueule plus tard.
Bref, encore une journée de merde qui s’annonçait, mais au moins, y’aurais peut-être quelque chose d’autre à en tirer qu’une mort atroce…
Gattsu Miura
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# Re: Et si ce n'était pas à l'atterrissage qu'il faut applaudir (Feat Oswald et Gattsu)
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