La jeune fille trottait dans le halle d'entrée des dortoirs. Un sac à dos à l'épaule comme seul bagage. Ses prunelles se promenaient sur chaque objet, qui prenaient place dans ce grand espace. C'était des objets communs, bien banales, identique à ceux de son pays natale et pourtant, tout lui semblait si différent. Momoki, perdue dans ses pensées, se remémorait ,au rythme de ses pas, son arrivé devant le hall de cette prestigieuse école. Même si cela avait eu lieu il y a tout juste quelques minutes.
Elle se rappelait qu'au moment ou ses pieds avaient touché se sol inconnu, son coeur s'était serré. Une sensation horrible. L'adolescente s'était tout d'un coup sentie loin de chez elle. Trop loin. L'insécurité qu'elle avait ressentie avait été troublante, pour une fois, il n'avait pas été question de ce démon qui lui rongeait les entrailles de puis sa plus tendre enfance. Sa gêne avait été pendant ce court instant le cadet de ses soucis. Seule devant l'emblème de l'école pour héros, elle se rendit compte qu'elle touchait son rêve du bout des doigts. UA, cette institution d'apprentissage avait été pour elle un but atteindre. Depuis le coeur de la Californie, cela lui avait semblé impossible ne serait-ce que de rêver y aller un jour, mais elle était là, au Japon, devant ce portail. Combien de fois s'était-elle imaginé ce moment sans jamais vraiment y croire. Momoki, était belle et bien consciente que le mal du pays serait qu'une épreuve parmi tant d'autres et que les difficultés ne faisait que commencer. D'ailleurs, elle se maugréait de ne pas avoir mieux appris le japonais avant de partir. Les dialogues étaient déjà difficiles avec sa propre langue, donc avec une langue qu'elle ne maîtrise pas c'était extrêmement chaotique.
Ses pensées furent coupées au moment ou elle heurta un meuble. En effet, la demoiselle errait dans ce hall essayant tant bien que mal de se souvenir des indications qu'elle avait eu pour retrouver sa chambre dans les dortoirs. Toutefois, elle avait encore du mal avec quelque kanji et katakana, mélangeait encore sa droite et sa gauche en japonais. Elle reprit le papier que l'on lui avait remis à son arrivée. Momoki, pris place sur un sofa, en lisent attentivement ce qui étaient marquer sur ce petit bout de papier. Elle Marmonnait, son contenu.
<< Entrez.. l’ascenseur...tourner à gauche...Non à droite. J'en ai rah-les écailles!>>.
Dit-elle, en se levant de bond un peu à fleur de peau épuisé par le voyage. Sa relique en main, elle suivit les informations qu'elle comprenait. Refaisant encore et encore le même chemin, tournant sans cesse en rond, sans trouver la pièce qui lui était attitrée. C'est au bout de quelques heures, affamée, que Momo se raisonna en retournant au rez de chausser. Il allait falloir qu'elle demande de l'aide pour retrouver sa chambre. Cette simple idée la tétanisa. Le tresse s'empara d'elle en un instant comme une décharge électrique. Sa respiration S'était accélérer sans même qu'elle ne s'en aperçoive. La jeune fille, qui était retournée dans l'ascenseur, avait trouvé la descente longue. Elle avait eu l'impression qu'une éternité s'était passé entre ses quatre murs métalliques avant que les portes daignent s'ouvrir. Momoki en sortie lessivé, elle se posa sur le côté le temps de se calmé.
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Être a UA était... Différent. On se souvient tous d'avoir du se contenir d'être nous-même et d'utiliser nos alters et soudainement on se retrouve plongée dans un monde où tout est le contraire. Tout le monde est libre de relâcher la pression et de montrer de quoi il est capable. Cela me rappelle que je n'ai jamais été autant stressée d'afficher mon pouvoir. M'enfin.. Une fois que c'était fait, on se sentait libre d'exprimer notre créativité.
Tout ça pour dire, ça fait un moment que j'étais la. Et je ne m'étais jamais fais autant discrète de ma vie, d'habitude, je me fais un peu remarquée et ensuite, les amis s'en suivent, etc cependant, j'ai fais tout le contraire et je me retrouve seule. Cette solitude est, prenante. Et mon seul moyen de m'en débarrasser où plutôt, devrais-je dire, d'atténuer la force de ce sentiment est de faire du cardio, ça occupe mon esprit et oblige mon cerveau à coordonnés mon corps pour m'épuiser le moins possible. Par chance, les dortoirs placés derrière l'école permettaient de faire un petit parcours. Jogging gratuit et à volonté.
Je ne fis qu'un très court jogging. Pourquoi ? Il faisait trop chaud, je suais à grosse goutte, je n'en pouvais plus. Je rageais intérieurement sur l'air lourd. Devant la porte du dortoir, je pris un court moment pour essuyer les perles d'humidités, la prochaine fois, je prendrais une serviette et une bouteille d'eau. Je respire un grand coup et entre. Je lance un regard aux personnes présentes, toujours les mêmes qui traînent dans le coin. Au même moment les portes de l'ascenseur s'ouvrent et j'aperçois une nouvelle tête. Mon regard la suivit. Son visage était pâle, enfin, il était un peu blanc, avait-elle le mal des ascenseur ? Parce que les escaliers ça existe.
Je m'approche d'un pas vif vers elle et parle d'une grosse voix. « Tu sais, les escaliers existent si tu as le mal... Des ascenseurs. »
Dans le mille. Je ne peux pas m'empêcher de faire la pire première impression. Je secoue la tête de gauche à droite avant de soupirer. C'était un jet critique en social ! J'ai fais un magnifique 1 ! Du moins, cela me parut fort probable. Je me rendis compte du bout de papier dans ses mots et sans crier garde, je lui fauchais celui-ci des mains, prenant soin de lire ce qui était indiquer dessus.. D'une écriture plus que pitoyable.
« Quel torchon, je ne sais pas qui à écrit ça mais, c'est ILLISIBLE ! Même mon chien écrit mieux que ça. » m'écriais-je pleine d'énergie.
Je garde mon regard figer sur le bout de papier enchaînant assez vite mes paroles pour ne pas lui laisser le temps de répondre.
« Je crois comprendre, tu es nouvelle et perdue parce qu'un idiot n'as pas su écrire correctement... Quel imbécile... Peut-être que je peux t'aider. Je suis quasi nouvelle aussi. QUASI hein ! »
C'est à ce moment précis que lâche mon attention du papier que j'écrase presque machinalement entre mes mains, sans me rendre compte de l'importance de celui-ci tout en fixant cette nouvelle personne. Et j'avoue que, qu'à ce moment la, je ne remarquais même pas les subtilités incroyables de l'individue en face de moi vu que j'étais à fond dans mon rôle de grande gueule maladroite et malpolie.
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Momoki tentait de contrôler sa respiration, se disant que tout allait bien aller et que demander son chemin allait bien se passer. C'est pendant son auto persuasion que Saelia fit irruption avec son énergie débordante. Fait sur sauter la pauvre adolescente dont le cœur avait raté un battement.
<< Haaaaa! >>
La jeune fille, haletante, Jeta un regard à la fois timide et curieux. Ses joues tinté de rose était assortie à ses prunelles qui avait pris cette couleur. Elle se sentait mal, avoir ainsi hurler. D'ailleurs son interlocutrice allait surement pouvoir l'aider dans ses recherche, mais il fallait, en priorité, lui présenté des excuses.
<< Je...hum.. dé-désolé..en en fait je ne.... je n'est pas le-le-le mal des ascenseurs, C'est-c'est autre chose... >>
Dit, alors la jeune fille avec un bégaiement et accent assez prononcer dans sa façons de parler. Toujours aussi timide, Momo, repris la paroles avec autant de difficulté.
<< D-D'ailleurs pourriez-vous m'ai..>>
Elle n'eu point le temps de finir sa phrase, que la jeune inconnue lui faisant face lui avait enlever son précieux bout de papier. Saisie par autant d'énergie, Momoki eu un second sursaut, puis esquissa un sourire. Elle aimerait vraiment avoir ce genre de caractère avec une énergie contagieuse. La jeune adolescente écouta son interlocutrice. Le papier était illisible! Normal qu'elle avait eu de la difficulté à comprendre le contenue de ce fichue bout de papier. Tendis que Saelia chiffonnait le papier, Momo la regardait timide de lui dire que c'était son seul moyen de trouver sa chambre.
<< Je v-veux bien, s-sauf que c'était mon seul moyen de trouver mon dortoir...>>
Annonça la jeune fille timidement.
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J'étais trop occupée à faire mon intéressante. Je n'avais même pas repéré les subtils changements de la nouvelle, à croire que son hurlement ne m'avait même pas fait vibrer. Je faisais ma chef sans honte, prenant soin de bien enfoncer le clou à chacune de mes phrases. Et comme je n'en faisais qu'à ma tête, je n'entendis aucune de ses réponses où du moins, je n'ai pas mémoriser ce qui m'a été dit.
Pendant que j'écrasais le papier et m'apprêtais à faire à trois point dans la poubelle non loin lorsque sa voix me parvenue à l'oreille. Une timidité fort prononcé. C'est à ce moment précis, que mes yeux se posèrent sur elle. Jaugeant, observant minutieusement l'étrange nouvelle. Je n'avais jamais vu quelqu'un avec des yeux roses. Malgré tout, étant dans le geste pour lancer le bout de papier, celui-ci fit un vol jusqu'à la dite poubelle. Si elle avait réagir plutôt, j'aurais peut-être pu retenir mon corps de faire un geste aussi machinal.
« QUOI ?! TU POUVAIS PAS LE DIRE PLUS TÔT ?! » criais-je à plein poumon.
Dans le mille. Mon regard se dirige vers la poubelle d'où j'aperçois le papier tomber dans le trou. Je passe une main sur mon visage, tirant sur ma peau avant d'adresser un sourire amusé et nerveux.
« Bon.. Bon.. Je vais récupérer ce bout de papier. » murmurais-je
Je me déplace d'un pas lourd. Les quelques élèves présent m'adressent un regard. A croire que ma spécialité est de me faire remarquer et d'en faire des tonnes. Je regarde le contenu des déchets se trouvant avec la papier recherchée. Je tire la langue et lâche un soupire de dégoût. De la nourriture à moitié finie, des chewing-gums, etc mais, aucune trace de papier. Un frisson me parcourt. Je serre les poings. Un rire s'échappe de mes lèvres. Un rire bizarre, nerveux et à la fois, proche d'un craquage psychologique.
Sans attendre que le dégoût me retienne d'agir. Ma main s'enfonce dans la poubelle et s'empresse de chercher le bout de papier. Je frémis intérieurement dès que je sens un liquide ou une chose visqueuse se coller contre mon bras ainsi que ma main. Je mérite ça, après tout, j'ai un peu agis comme une idiote. On récolte ce que l'on sème. C'est même plus du karma à ce stade !
« Bordel.. Plus jamais je fais ça, j'aurais besoin de prendre de douche pour faire partir l'odeur... En plus qui ne fait fini par son Mac Krunch ?! »
J'essayais de montrer un peu d'humour pour faire passer ce moment désagréable, bien que je sentais des regards se poser sur moi. Normal, je fais du bruit et en plus d'avoir crier juste avant, impossible de se faire discret. A force de secouer la poubelle dans tout les sens sous l'énervement de ne pas trouver le bout de papier, je sors ma main. Mon visage exprimant une grimace digne de quelqu'un ayant touchée à des choses... Pas très propre.
« Oh fait, comment tu t'appelle ? On m'appelle Saelia où Hōyōkami, c'est mon nom d'héroïne si jamais tu demande. »
Il fallait que je brise la glace à ma façon et que je détourne mon esprit de ce que je venais de faire. Ce que je ne savais pas, c'est qu'un petit bout de papier se trouvait sur l'arrière de mon épaule. C'est ça de plonger tout son bras jusqu'au fond d'une poubelle.
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Momoki était restée planté sur place, Saelia l'avait saisie à crier sur elle comme si elle grondait un gamin. La jeune fille étant trop timide ne riposta pas, et Même qu'elle se recroquevilla légèrement sur elle-même. Momo étant de nature plutôt pacifiste, les gens qui haussaient ainsi le ton de la voix la faisait immédiatement reculer.
L'adolescente avait regardé le bout de papier disparaître dans les entrailles de la poubelle avec un soupire. Toutefois, la jeune fille au cheveux verts n'eu pas le temps de lui dire que c'était inutile et qu'elles allaient se débrouiller que Saelia, tel une tornade ne tenant pas en place, se dirigeai déjà vers la poubelle et y enfonçais le bras. Momoki vit Saelia revenir penaude de cette fouille pour le moindre surprenante.
Momoki regarda Saelia décontenancée par la situation et ce présenté ainsi sans transition lui décrocha, toutefois, un sourire par l'absurdité de la situation.
<< Si ...t-tu m'a-m'avait écoutée... Je je ne t'aurais mê-même pas demander de le- de le cher... je t'aurais jamais demande qu-quelque chose que que je ne ferais pas moi-mê-même >>
La jeune fille marqua une pause la détaillant du regard. Un peu gêner de gronder, même si c'était gentiment, cette personne qui tentait de l'aider. Elle la prit délicatement par le bras propre dans un mouvement un peu hésitant. Saelia allait pouvoir remarquer la douceur inhumaine dans les gestes de la caméléone.
<< V-viens on on vas allez te nettoyer tout c-cela ,mer-merci pour ton aide.. >>
Momoki se dirigea vers la salle de bain, après avoir fait 20 fois le tour de l'endroit, elle avait repéré les endroits importants tels que le réfectoire, les salles d'études et les toilettes. C'est sur le chemin que Momo se rapela que Saelia lui avait demander son nom.
<< ha oui c'est vrai tu m'avais demandé mon nom. Dé-désolée ça m'a totalement sortie de la tête. Je je m'appelle Momoki Meiseiko ou Momo pour les intimes sinon mon nom d’héroïne, c'est Chroma. Heu-heureuse de faire ta rencontre. >> Dit-elle avec douceur et un rire nerveux.
Une fois arriver à la salle d'eau Momo ouvra le robinet d'eau chaude et sortie de son maigre baguage une débarbouillette et du savon à vaisselle. C'est qu'une fois prête à nettoyer le bras de sa nouvelle connaissance qu'elle remarqua le papier coller à l'épaule de Saelia.
<< Tiens , je crois que tu n'as pas fait tout cela pour rien! >>
Momoki prit le petit papier et le déplia.
<< C'est c'est bien lui ! >>
La jeune fille le laissa sur le côté du comptoir et nettoya avec douceur le bras de Saelia.
<< Merci >> dit-elle avec douceur et sans bégaiement.
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Je me mordais l'intérieur de la joue. Tel une enfant, je croise les bras, lève les yeux au ciel et grimace, je mime ses lèvres, faisant preuve de toute la mauvaise foi du monde. Bien qu'elle avait raison, je ne faisais pas ça pour la vexer, c'était la, une mauvaise habitude que j'avais garder. En vrai, je me sentais coupable d'avoir fait l'idiote, au lieu de répliquer avec mon panache habituel, je m'abstenais.
Je la laisse me balader. Je ne rechigne pas. Je constate la couleur de ses cheveux et je commence à me demander si ils étaient vert. Mon cerveau réfléchit mais, sans succès, je n'ai pas prêté assez attention pour confirmer l'erreur dans son physique, de plus, je suis trop surprise par l'attention particulière qu'elle me porte. Je veux dire, elle est étrangement douce comme si j'étais en sucre ou autre, ce n'est pas déplaisant mais, pas commun.
Finalement... J'aurais du prendre le relais. Non pas que faire plus d'une dizaine fois le tour n'était pas amusant, au contraire, je devais me retenir de ne pas exploser de rire devant l'incroyable sens de l'orientation de la jeune inconnue même si j'avoue ne pas être mieux qu'elle sur ça mais, ça devenait lassant de revoir le même couloir en boucle. Au moins, Momoki me disait enfin, son prénom, il lui en aura fallu du temps pour me répondre. Elle est très gentille malgré mon comportement agaçant.
Nous y voilà. Si on faisait encore une fois le tour ! Je jure que j'aurais fini par lâcher un rire de folle tellement ça chatouillais mes cordes vocales. Au lieu de ça, je souriais, un grande sourire, légèrement crispé par l'envie d'exploser de rire. Je la regarde s'affairer à vouloir laver mon bras, du moins, c'est que je crois comprendre en voyant le savon et la débarbouillette. C'est vrai... Que maintenant que je hume un peu l'air, je ne sens pas très bon, la sueur s'est rien, j'ai couru juste avant mais, l'odeur renfermer de la poubelle, pouah ! Heureusement que mon estomac n'est pas fragile sinon mes tripes seraient en train de se répandre sur le sol.
Je commençais à regarder ailleurs quand elle m'interpella.
« Super ! »
C'était le bout de papier que je cherchais dans la poubelle. Bonne nouvelle, je ne risque pas de sentir le poisson pourrie pour rien et en plus mon bras va être nettoyé. Il va sentir un peu, sûrement mais, ça devrait passer inaperçu sauf pour ceux qui sont dotés d'un nez trop pointu. Encore une fois, je la laisse s'occuper de moi, ça fait du bien d'être chouchoutée et ça change de juste faire l'idiote. Même si je suis un peu tendue par le contact, je fini par me détendre un peu, sûrement parce qu'elle est douce et attentionnée en même temps, ne devrais-je pas m'attendre à ça de la part d'une fille ? J'ai trop traîné avec des brutes donc forcément...
« Eeeeh ?! C'est la première fois que je n'entends pas bégayée... D'ailleurs... Tu as toujours eu les cheveux verts ? » Demandais-je, curieuse et surprise à la fois.
Il fallait que je sache. J'ai ce besoin irrésistible de savoir. De plus, j'en profitais pour l'observer un peu plus. Mon regard scrutateur ne la lâchait pas. Je prenais soin d'imprimer ses traits, la couleur de ses yeux, de ses cheveux, chaque détail. Je ne voulais pas avoir l'impression de manquer quelque chose. Je me rend compte que sa peau est écailleuse, c'est.. Tellement léger qu'il est impossible de le voir sauf de très près où si on observe très attentivement. Son alter doit être liée à ça, peut-être elle revêtir une carapace indestructible ?! Afin de tester. J'utilise mon bras libre, attrape son bras qui s'occupait de laver le mien et pince gentiment sa peau, j'en profite pour tâter doucement ce terrain inconnu.
Huh ? C'est pas désagréable et... C'est élastique. Pas de peau indestructible... Qu'est-ce que ça peut-être ? Je la fixe avec des grands yeux. Je sors assez rapidement de ma "demi-transe" quand la porte des toilettes s'ouvre. Je redresse la tête. Je la secoue et cligne des yeux. Il ne s'agit que des autres élèves mais, ça me gêne soudainement de me tromper trop "proche". Instinctivement, je libère mon bras.
« Hop, c'est bon, tu m'as assez astiquer le bras, tu vois bien, il est propre ! Allez zou, on va s'occuper de trouver ta chambre. » m'écriais-je, d'une voix forte mais, gênée.
Je ne savais même pas si elle avait finie. J'attrape le papier et me concentre un court moment pour le lire. Pouah, j'ai l'impression de lire du charabia tellement c'est mal écrit. Je garde ça dans ma tête afin de ne pas me répétée bien que l'envie se fait ressentir en moi.
« Suis moi. »
Je sortais aussitôt, attendu, qu'elle range ses affaire et me rejoigne avant de prendre la route vers sa chambre. Sauf que, je refuse qu'on prennent l'ascenseur, je lui fais comprendre rapidement quand je pointe les escaliers du doigt. Bon ça va... 4 étages c'est rien.... Je tend la main si elle souhaite que je l'aide à porter ses bagages. Si elle refuse, je ne porterais rien et monterais les escaliers, les mains dans les poches.
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Suite à la remarque de Saelia, Momoki semblait vouloir disparaître sur place son malaise social avait repris le dessus. L'adolescente n'aimait pas avoir l'attention sur elle. Serte ses cheveux avait toujours été un sujet de discussion de choix pour ses camarades, autant à la petite école que maintenant. Ses longues boucles vertes fait souvent naître de nombreuses questions.
''Hum...Hum... Ça m'a m'arrive oui .... Mes .. Mes che-cheveux ...? Oui, Oui c'est ma couleur naturelle.''
La jeune fille , détourna un regard qui était passé du vert lime au rose en quelques secondes. En effet, son Alter jouait beaucoup sur son aspect physique, les couleurs surtout. Toutefois, ses cheveux étaient un élément que Momo changeait volontairement, mais comme elle aimait sa couleur naturelle, c'est quelque chose que la caméléonne faisait rarement. Elle se concentrait à sa tâche. Momoki fut surprise de se faire arracher des mains le bras qu'elle nettoyais. Bousculée, Momo perdit l'équilibre se rattrapant au mur avec une main.
'' Hey! fait gaffe!''
Une fois de plus la jeune adolescente se laissa emporter par la tempête qu'est Saelia. Momoki soupira, serte la jeune fille à ses côtés était d'une agréable compagnie ,mais elle ne tenait pas en place pour Momo qui avait besoin de prendre son temps. Elle se sentait, bien entendu, dépassée par ses événements qui défilaient.
''re-respire Saelia! .... T-tu , on peu prendre no-notre temps.. Je ne. Je ne suis pas à la course.. Bon sens.... Je vais .. te suivre, mais lais-laisse-moi quelques secondes...''
Momoki pris ses affaires et les serra soigneusement dans son sac. Elle le remis sur son dos et n’osa pas regarder Saelia dans les yeux maintenant mauve La jeune Adolescente se sentait mal, mais elle ne pouvais pas juste se laissé entraînée... Aussi Con que cela peut paraître la jeune fille avait besoin de ses repères qu'elle n'avait pas eu le temps de créer et le stresse avait commencer à la gagner peu à peu même si à l'extérieur Momoki semblait calme.
Une fois arrivée au escaliers Momo les regardait comme un défit à surmonter en effet la jeune demoiselle était plutôt en forme, mais ce genre d'escalier renfermer la mette mal à l'aise. l'ascenseur n'était pas mieux, mais ça avait l'avantage d'être rapide.
'' les escaliers.... vr-vraiment ? ... Je je ne comprend pas ce choix... L'as ..l'ascenseur est plus rapide... je.. ''
Malgré son recul, elle pris une inspiration et ce dirigea vers l'escalier et garda son unique baguage. Elle n'allait quand même pas faire porter un simple sac à dos à son accompagnatrice surtout si c'est son seul baguage. Momo poussa la porte menant au escalier se demandant encore pourquoi choisirait-on volontairement de se compliquer la vie ?
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