Alarick est un homme dans la fleur de l'âge, son entrainement et son travail le maintenant dans une forme olympique. Il est régulièrement vu avec une longue veste noire victorienne accompagnant une chemise blanche, pantalon gris et massive genouillère en alliage ultra résistant. A son flanc se trouve aussi sa cane-rapière, offerte par ses parents pour ses examens d'entrée à U.A, la cane est constituée d'un alliage de métal et de bois de noisetier et la lame fut forgé en Damas de corroyage, donnant une allure particulière à la lame. La garde de la rapière à aussi été forger pour ne pas trahir la nature de l'objet et Alarick à dut apprendre à adapter son style à la lame, légèrement plus lourde au pommeau que d'autres modèles.

Du haut de son mètre quatre-vingt-cinq, il est dans la moyenne de ses collègues. Il arbore des yeux marron et des cheveux plutôt long coiffé en queue de cheval, ainsi qu'un sourire énigmatique en permanence. Sa stature et impression générale renvoient un sentiment de classe et de tenue, en accord avec ses valeurs de gentilhomme.

Sa tenue de combat ne diffère absolument pas de sa tenue de civil, les deux n'étant qu'une. Tous ses costumes on en effet été taillés pour permettre des mouvements de combats, résister aux explosions et au coup de couteau (dans une certaine mesure) ainsi que lui donner en permanence un air raffiné. Pour se battre, il utilise naturellement son Alter ainsi que sa cane-rapière, dont il accroche le fourreau à sa ceinture durant le combat.

Le gentleman se distingue notamment par son calme et son stoïcisme face aux maux qu'il ne peut éviter, ses bonnes manières et sa courtoisie envers tous ceux qu'il côtoie. C'est par ces mots et cet esprit de vie qu'Alarick sauve la veuve et l'orphelin ainsi que tous ceux qui ont besoin d'assistance. Il fera son possible pour ne jamais causer de tort à toute personne méritant sa considération, ce qui implique le monde entier, excepter les vilains et les vigilantes dans une moindre mesure.

Il se montre calme et posé dans toute circonstance, pouvant apparaitre réserver de part le fait qu'il se met rarement en avant dans une conversation et ne parle que peu de lui. Il était parfois fruit de rumeur durant sa période scolaire, mais son stoïcisme lui permettait de faire fit des commérages, ceux-ci disparaissant alors sous peu de temps.

Il ne se montrera jamais mesquin ou petit, ni même déloyal. Il pourra parfois faire entorse à ceci en combattant des vilains, mais il suivra toujours une doctrine de réhabilitation : Comporte toi avec ton ennemi comme si un jour il deviendrait ton ami.

Enfin, il supporte la souffrance, parce qu'il ne peut l'éviter, et la mort, car c'est sa destinée, comme celle de tout être vivant.

Issus d'une famille britannique expatriée venue au Japon pour y ouvrir un hôtel de luxe, Alarick fut toujours élevé dans une idée de compassion, d'assistance et de respect. Il déclara comme tout le monde son Alter à quatre ans, mais peu de gens eurent vent de celui-ci. Non pas qu'il le cachait particulièrement, mais il ne l'utilisait pas en permanence et ne s'en vantais pas non plus. Cela ne l'empêcha en rien d'exceller à l'école, tout en aidant ses petits camarades avec les cours mal compris. Il se fit aussi remarquer vers ses huit ans, lorsqu'il n'hésita pas à défendre un plus petit se faisant maltraiter. Bien qu'il ne voulait pas provoquer de combat, il fit rentrer les agresseurs chez eux en pleurant, lui-même amoché mais digne.

Naturellement, il entra à U.A pour son lycée, passant l'examen d'entrée avec un score égal sur les éliminations et le sauvetage. Il était déjà avantagé à l'époque par une tenue de héros presque terminée, il ne manquait alors que les genouillères. Il fini son éducation sans vague particulière, les différents rapports ne faisant que répéter les précédent : Courtois, stoïque, gentleman.

Malheureusement, peu de temps après l'obtention de son diplôme et de l'autorisation d'officier, son père tombas gravement malade et le désignas comme successeur

à la tête du Rexford, l'hôtel familial. Bien que sortant à peine de l'école et dans une section n'ayant rien à voir avec l'hôtellerie, Alarick pris en main l'affaire familiale et commenças à recruter des employés sortis de U.A dans le but d'offrir des services particuliers aux héros. Le Rexford fut donc équipé de chambres designé pour différent gardien de la paix, offrant salle de sport, atelier technique et tout le confort nécessaire pour tout Héros, sans que cela ne les ruines, ceux-ci payant avec leurs moyens et attirant beaucoup de publicité.

Mais malgré la popularité grandissante de l'hôtel, son directeur restait effacé, envoyant plutôt des représentant faire le travail de face. Alarick, lui, observais la criminalité descendre et la popularité d'un certain All Might monter. Du haut de sa tour, il voyait les rapports de force changer, mais aussi les méthodes. Et un jour, à 37 ans, il pris sa décision. Les super héros manquais souvent d'héroïsme dans la capture. Manquais de ce petit truc en plus qui ferai d'eux des gentleman. Et après quelques mois de remise en forme, une nouvelle ombre prenais d'assaut les vilains. Le Gentilhomme. Un héros d'une diligence rare, d'une précision et d'un respect profond. Un héros déterminé à donner le mètre étalon des bonnes manières à tous ceux qui utilisaient leur Alter.