My Hero Academia RPG
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Keith Loggins
Membre non validé
# Highway to the Danger Zone | En cours | [C]
Lun 6 Fév - 22:50
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» Pseudo : Sam
» Age : Ah frérot
» Présence : 4/10.
» Comment avez vous connu le forum ? : Ai-je seulement eu le choix ?
» Pourquoi vous être inscrits ? : On m'a promis le combat d'une vie ...
» Comment trouvez vous le forum ? : Sympatoche tout ça
» Une autre chose à dire ? : Ça va tranquille ?
Keith Loggins
» Groove »
Groove permet au contact d'une surface d'y créer des flèches noires fonctionnant comme des vecteurs, poussant ce qui entre en contact avec ces dernières dans la direction pointée.
Alias : /
Age :28 ans
Sexe :Masculin
Groupe :Vigilante|Vilain
But :La vérité
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Description physique
Jadis d’un vert éclatant capable de déshonorer la plus rayonnante des émeraudes, les yeux de Keith ont perdu de leur pétillance il y a bien longtemps. Passant d’une teinte de jade que les plus xénophobes de ses pairs avaient tendances à lier à ses origines asiatiques plus récemment, jusqu’à désormais arborer une teinte de serpentin bien plus mate, voire morose, pouvant sous certains éclairages faire penser à un simple et pur noir. Un regard aux teintes insondables trahissant son soi le plus intime, prêt à accueillir dans sa profondeur les pauvres hères enclins à l’attirance du vide qui s’y perdraient volontiers afin de se laisser envelopper par ces abysses insondables si accueillants. Si l’adage dit vrai, alors les réverbères de l’âme que sont censés représenter les pupilles de cet homme ne sont plus alimentés depuis bien longtemps, ou au contraire par une volonté des plus écoeurantes. Selon le dessein qui l’anime, ses prunelles indiquent milles et une émotions que nul ne saurait qualifier de saines, sauf en une seule et unique occasion : quand ses pupilles se posent sur son seul et unique moteur, la seule personne au monde capable d’éveiller en lui un quelconque sentiment authentique. Lorsqu’il la voit, que son regard se confond au sien, quelque chose de doux se transmet, un amour inconditionnel, inébranlable. Le reste de son visage se transforme alors tout autant, un sourire sincère pouvant même se dessiner afin d’illuminer son faciès habituellement déformé par ses tares mentales.  

En temps normal, son regard n’est jamais aussi appréciable d’un oeil extérieur que lorsqu’il est caché derrière ses longues mèches d’un noir de jais. L’on pourrait alors presque penser que son allure assombrie correspond davantage à quelqu’un qui se donnerait un genre ténébreux fabriqué de toutes pièces et non pas à une évidente maladie mentale bien plus inquiétante. L’archétype du vilain de base pourrait être parfaitement rempli dans ce genre de situation, son sourire aliéné pouvant facilement être interprété comme la marque de fabrique de quelqu’un d’insipide se donnant en spectacle pour un peu d’attention. Si seulement … En dehors de ces mèches salvatrices pour son apparence, le reste de sa touffe charbonneuse se voit bien plus ordonnée par la gravité que par un quelconque toilettage. S’il s’intéressait plus à sa crinière, il n'hésiterait pas à la raser le plus souvent possible, sûrement comme un dernier hommage à son temps à l’armée. Mais ses pensées sont bien assez bordéliques pour y prêter une quelconque attention, il ne s’en préoccupe réellement que lorsque la longueur de sa coiffure devient un inconvénient et qu’ils deviennent trop longs pour ses … Activités.

Sa stature, il la doit davantage au hasard et à la trajectoire qu’a pris sa vie plutôt qu’à un réel désir vaniteux de se sculpter un corps de rêve. Se sont ses gênes, surtout du côté de son père d’ailleurs, qui lui permettent de s’élever à un mètre quatre-ving-douze, ce qui à part lui permettre de toiser ceux qu’il traque ne lui apporte pas tant. Son corps bâti et musclé il le doit à son temps au service de sa nation ainsi qu’à ses occupations journalières qui, il faut bien l’admettre, s’avèrent plutôt physiques. Il n’était qu’à quelques décisions prêt de rester aussi chétif qu’il l’était enfant, force est cependant de constater que sa croisade s’avèrerait bien plus compliquée si ça avait été le cas. Sa peau d’un mat léger arbore de nombreuses cicatrices desquelles il ne tire ni honte ni fierté, chacune d’entre-elles représente un chapitre de sa vie qu’il ne souhaite pas exhiber outre mesure. La plus visible de ces marques ne lui laisse pas vraiment le choix cependant puisqu’elle traverse son sourire dans un angle droit presque parfait, accompagnant ses lèvres dans chacun de leurs frétillement d’émotions.

Il couvre ce corps sans réelle interrogation en dehors du fait d’être à l’aise dans ses déplacements, comme à peu près tous ceux qui évoluent dans ce genre de carrière d’ailleurs. Se contentant d’un t-shirt moulant en coton pour le haut ayant l’avantage de ne le gêner dans aucun de ses mouvements tout en restant assez résistant pour ne pas se déchirer au moindre geste. Ses teintes d’un ennui abyssal s’éloignent rarement du bleu marine ou du noir pur que notre justicier autoproclamé pourrait défendre en indiquant qu’elles aident à la discrétion, mais quelle était alors son excuse quant-à sa garde-robe d’adolescent tout aussi monochromatique ? La dépression certainement, mais là n’est pas la question. Il a abandonné le pantalon cargo depuis son retour au pays il y a peu, se baladant ainsi dans une sorte de bas de kimono à peu près traditionnel aussi ample que son gris clair est ennuyeux. L’amplitude de ce pantalon abrite cependant une intention différente du tellement classique « qui permet de se mouvoir en combat », bien que ce soit évidemment le cas aussi, puisqu’elle lui offre nombre d’emplacements pour y fourrer les si nombreuses armes qui l’accompagnent quotidiennement. Un neuf millimètre accompagné de quelques chargeurs de secours, un sabre traditionnel à la garde touffue d’une fourrure inconnue, un katana classique légèrement plus court que ce dernier, un poignard à double lame ressemblant bien plus à une jitte, quelques couteaux de lancers et pour finir un kusarigama dont la chaîne s’enroule tranquillement autour de sa cuisse. Le tout placé avec attention, coincés entre ses hanches et sa ceinture, dans des étuis sur le bas de son dos ainsi que sur ses mollets, certaines lames se baladant même parfois dans ses poches. On ne le discerne pas aux premiers abords mais Keith se trimballe en tout temps un arsenal conséquent capable de faire briller un aéroport comme une guirlande s’il avait le malheur d’en traverser les portiques de sécurité.

Il existe cependant quelque chose que Keith porte presque toujours sur lui et qui sait attirer les regards, même les moins curieux : Aiko. Une gentille petite fille d’à peine six ans, autrefois si adorable qu’elle était capable de faire fondre les plus cyniques, les seuls réactions qu’elle récolte désormais se résumant à du dégoût et de l’amertume. Bien loin de l’archétype d’innocence qu’elle incarnait auparavant, elle se présente désormais sous la forme d’un ver monstrueux d’un peu moins d’un mètre soixante pour une trentaine de centimètres de diamètre. Sa peau laiteuse remplacée par des écailles rêches d’où suinte sans discontinuer un liquide poisseux et collant rappelant un mélange écoeurant entre de la morve, de la salive et un zeste de pus. Ses yeux jadis plein d’entrain et de vie aujourd’hui si globuleux qu’elle parvient à peine à les entrouvrir. Des pattes ressemblant bien plus à des moignons qu’à autre chose, lui permettant à peine de grouiller au sol mais qui bien heureusement l’aident à s’accrocher à Keith. Enroulée autour de son torse, ses aisselles et ses épaules, elle reste constamment collée à ce dernier, cherchant le peu de réconfort qu’elle peut dans le seul être qui ne la dévisage pas avec indignation. Trop faible pour se déplacer et même se nourrir, elle semble incarner le point le plus bas de l’humanité, si et seulement si elle peut toujours être considérée comme en faisant partie bien sûr. Incapable de converser à cause de ses lèvres tirant plus du batracien qu’autre chose, elle ne sait communiquer que par des râles profonds et gutturaux qui donneraient des nausées au plus empathique des hommes.
Description mentale
A écrire. - Mental.
Histoire
A écrire. - Histoire.
Keith Loggins
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