Notre Rouge se réveillait plus difficilement qu'à son habituée, dans ce lit encore nouveau pour elle et près de ce corps qu'elle avait déjà exploré plus d'une fois. La tête posé sur le torse de celui qui l'héberger, mais dormait toujours à point fermé, la dragonne lâcha un petit sourire. Embrassant la joue avec douceur de son amant, elle se redressa.
Difficile avait été les dernières nuits. Beaucoup de cauchemar : entre le stress du futur voyage, et sa dernière action sanglante... La seule chose qui lui permettait, c'était la présence de Genki. Seule, elle ne saurait imaginé comment elle finirait.

Se levant alors hors du lit, elle fit quelques pas hors de la pièce pour se diriger vers le coin cuisine et se servir un café plus que méritée, après une nuit agitée d'abord de tension sensuelles entre les deux, et de ce rêve qui reviens en boucle malgré elle.
Humant le café du matin, et fixant l'appartement du Vengeur, elle l'admirait : c'était bien différent de son taudis sans vie. Ici, plus éclairée et ouvert : bien propre. Un peu de verdure qui vous donne le sourire et une décoration légère mais bien lumineuse. Il faut dire que cela a vraiment de la gueule, et elle pourrait bien s'y plaire, se voir y rester plus longtemps. C'était confortable : qui n'aimerait pas ?

Mais tant de choses rester à faire. La quête du passé, par exemple. Retourner dans ce petit village lointain, à une centaine de kilomètre de Tokyo, perdu avec le bois et la mer. Un mélange de contraste intelligent, évoquant la survie de l'endroit grâce à la pèche principalement. De ces souvenirs, ce n'était pas grand, peu peuplée aussi. Très peu connu et visitée, c'était plus un lieu pour se reclure et vivre dans son culte chrétien.
Soupirant, elle devait y aller : mettre des points au bout de son histoire et de ses aventures qu'elle avait fuit sans jamais se retourner. Peut-être trouvera t-elle la lumière de pouvoir pardonner et avancer ? Aussi bien à ses abominables parents, que les événements du collège Chrétiens avec Constantin. Ou alors, seul les ténèbres sauront l'accueillir en lui montrant sa vrai nature démoniaque que tous lui montreront ?

Ziendra finit son café. Entre le cauchemar de revoir Constantin riant, de voir l'homme se faire dévorer par le démon d'acier en lui susurrant des mots atroces, d'assister aux actions d'un pervers qui viol malgré le manque d'organe de celui-ci. Non, beaucoup de chose s'étaient produit, et sa santé mental prenait cher. Les remords, regrets étaient trop présent pour qu'elle se jette corps et âme chez les Vengeurs.

Le seul moyen de tenter de régler tout ça, et de comprendre au moins l'un de ces mystères qui la hante depuis gamine.

Prenant ainsi sa décision, elle s'occupa de régler quelques affaires et de faire du ménage en attendant l'éveil du Vengeur. En silence, elle avait déjà préparer sa valise légère, prévu quelques provisions, et poser le tout sur la table en évidence. Oh, elle ne le brusquerait pas, ni le forcerait d'ailleurs. Mais il avait émis le souhait d'aider, et elle celui de ne pas être seule dans cette recherche.
Alors elle l'attendait, maintenant, mais sans presser non plus le pas. Pas besoin de se jeter comme ça dedans.

Pour le moment, la jeune femme prit place en face de l'ordinateur portable de Genki, pour y faire des recherches sur le lieu et le trajet à faire. Ce n'était pas donné, ce n'était pas à côté, mais il y avait un vieille hôtel semble t-il. Ca suffirait, pour quelques jours, le temps de faire le tour.
Puis, elle s'attarda enfin à faire des recherches sur l'évolution du lieu et des alentours. Sans vraiment pousser la recherche à des détails important, Ziendra refaisant le tour par la généreuse map de son village. Le vague à l'âme, une douleur pointant sur le coeur, elle observait les lieux sans réel envie de les voir.

Rien ne semblait voir évoluer depuis ses quelques années. Juste de nouveaux bâtiments : ce village s'agrandissait comme tout dans ce monde, inévitablement. Puis, se stoppant sur l'image du colère, sa main se figea ainsi que ses yeux. Ce lieu maudit serait le premier où elle devra mettre les pieds... Faire face à ces immenses sculpture religieux, ces croixs... Et parler enfin à sa directrice, ou directeur qu'importe. Tant de chose était enfermé dans ces lieux, et rien n'était sûr de ce qu'il pourrait en ressortir.
Enfin, elle rentra le nom de Constantin Keyman, contre son gré et le visage écœuré par ce geste plein de courage malgré tout. Une photo s'en suivit, d'un homme à la pêche. Grand, musclé, blond, fier. Mais surtout, et apparemment : VIVANT. Pas d'historique en particulier, la photo avait dû traîner sur des réseaux sociaux et ressortir pour cela.... Mais n'offrant aucune vrai information : juste qu'il existé et vivait là bas.

Le revoir.... Après tout ça... Ce salopard qui lui a privé d'enfance et de sa viriginité. Faisant d'elle une martyr, une vrai démone ! Ce salop, aussi con et pieux que ces connards de parents.... Vivait, et libre semble t-il... Enfin, elle prit sa tête dans ses mains : ne pas se jeter dans les conclusions ! Elle n'a aucune trace d'histoire, rien n'explique ce qu'il s'est passé toutes ces années durant ! C'est juste une photo...

Une simple photo de l'agresseur de son enfance qui la rendait plus pâle que jamais, elle qui avait la peau si sombre. Une simple photo, qui la rendait malade, tremblante, faible et aux bords des larmes par les images qui envahissait son crâne. Ce soir là, au collège quand plus personne n'était présent, avec ces copains pas très intelligent de la jeunesse... Voulant exorciser une pauvre gamine aux cheveux rouges terrorisés par elle-même déjà.
Ce soir, où on lui planta des clous dans les mains, sur une croix qu'on monta avant de lui lancer des oeufs dessus, mais aussi des crucifies. Rien n'exorcisa la gamine innocente, qu'on relâche malgré tout. C'était les potes, qui s'effrayaient d'avoir des retours contre eux, et de la probable explosion démoniaque. Constantin les chassa, rageant... Et désirant alors purifier l'être de l'intérieur. Dans un viol.

Un cri lui échappa lorsqu'elle lança la chaise plus loin, avant de reprendre son calme et posant ses mains sur ses cornes dorénavant quasiment inexistantes. Et c'était mieux ainsi...

La douce Dragonne sentit l'homme venir vers elle en l'enlaçant, à l'arrière. Posant ses mains sur ses bras, elle se calma dans quelques douces respirations en s'excusant poliment de l'avoir réveillé avec quelques peu de violence. Se retirant et un échange de baiser suivit, alors que ses yeux ambrées le suivirent jusqu'à qu'il aille se prendre de quoi subvenir à ses besoins du matin.
Il la regardait, et elle en faisait de même. Cela faisait quelques temps qu'elle squattait littéralement chez lui, et qu'il se montrait présent ainsi qu'efficace. Bien entendu, la Rouge était ravie de ça ! Mais l'emmener dans le passé l'angoissait un peu : surtout car elle ignorait absolument tout de ce qu'il y aurait : entre vérité, mensonge, tromperie, et ces conneries... La ligne est fine quand vous n'avez que vos malheureux souvenir.

Puis, quand il eût finit, il reprit la chaise et fit asseoir la dragonne, qui le laissa sans ronchonner regarder ses recherches récentes. Il lui offrait conseil, sur le fait de ne pas se laisser rattraper par la haine trop tôt : oui, elle comprenait, mais Constantin... Bref, hochant positivement la tête, elle l'a déposa sur son épaule en le laissant faire le tour du vieux village où ils se rendront tantôt.
Devant la réapparition de la photo de Constantin, Ziendra ne fit que froncer longuement des sourcils de dégoûts à cet homme. Mais sans plus, quand il eût finit de jauger le personnage, elle changea simplement pour ne pas le regarder trop longtemps.

“C'était le connard, oui. Je ne sais rien d'autres, juste qu'il vit là bas toujours. Il sera alors une étape inévitable aussi.” puis un petit rire. “Un trou à rat, c'est peu dire ! C'est un lieu de culte pour les chrétiens très pieux au Japon, ils ne sont pas très nombreux. Voilà le résultat. Mais le brûlé n'est pas une bonne idée, trop d'innocent.”

Pokant le nez de son amant, elle navigua pour lui montrer l'hôtel réservé sur place : vieux comme le port, et la ville. Mais faisant le travail. Aussi, elle dévoila le trajet déjà commandé : plusieurs longues heures, et d'échanges de train n'ayant aucun direct.
Ce serait long, loin, prendrait plusieurs jours pour sûr pour tout mettre en ordre et faire le tour de chaque zones. Et, parlant de zone, la Dragonne se mit à expliquer comment s'y prendre. D'abord, il faudrait voir le collège : Ayant fuis sans rien demandé ni se retourner, elle n'a aucune idée des actions du collège entre temps... Si, bien sûr, il y en a eue. Mais cela pourrait ouvrir des voies, peut-être. L'épreuve de l'école catholique terminé, il serait temps de voir Constantin et l'opposer avec son passé. Voir sa réaction et le jauger sur ce qu'il est devenue. Peut-être a t-il grandis, appris de son erreur et se foutera à genoux... Peut-être pas.
Quand elle évoqua le possible problème qu'il n'est pas changé, de suite, elle échangea l'alter avec Genki. Un puissant jet de lumière qui sortait de ses mains : rien de physique, mais tes yeux te sont inutiles, et souvent il a le temps ensuite de te prendre à revers. Pour une pur alter physique comme elle, il est dangereux.

Enfin, la dernière zone serait la maison familiale, selon comment ce serait passé les choses avec le dit Constantin. Faire savoir à la famille qu'elle vit, et voir s'ils ont évolués ou régressés. Pour mieux tirer un trait dessus, ou tenter de recoller les morceaux. Qui sait.

“Je ne te demande pas de partir à l'instant t, et même si tu ne veux plus venir je comprendrai. Mais tout est déjà prêt, j'ai fais attendre la chose trop longtemps. Mon entrée chez les Vengeurs a besoin que je règle bien vite ce problème et que j'avance. Sinon, je ne serai jamais parfaite et complète, dira t-on.”

Se redressant et remuant sa queue, la Rouge se posa près de ses bagages en attenant de voir la réaction de son amant.

“Il y a potentiellement du grand danger. Ou des révélation pas sympas à écouter. J'ai pas envie de t'emmerder avec ce genre de couille profonde. Certes, je souhaite ton aide. Mais je souhaite aussi ton bien.”

Ainsi, elle avait posé deux cartes sur la table : celle de l'accompagner dans sa quête où rien n'était sûr et tout pouvait arriver... Du mieux, comme le pire ! Ou se retirer, et la laisser y aller seule, se confronter avec cet inconnu pur et dur. Non, elle ne souhaitait pas le mettre en colère en lui posant ça, mais... C'est elle, qui l'a quasiment vu mourir chez elle, et dans le lit d'hôpital. C'est elle, qui a soigné d'abord les blessures et la tenue éveillé en attendant les urgences. C'est quelques choses qui... En réalité...

Entrant dans ce taxi, cela signifiait un départ crucial pour elle, et un point de non retour. La Rouge ne pouvait plus reculer quant au choix d'aller affronter son passé, dorénavant. Toutefois, elle maintenait encore quelques discussions, histoire de son amant ne soit pas juste embarquer dans un ennui et une solitude terrible à cause d'elle : il avait déjà la sympathie de l'accompagner, d'une manière ou d'une autre elle devait rendre cela agréable pour lui.
Arriver à la gare, c'était sans attendre qu'elle fut pleine faisant soupirer notre Dragonne qui n'était pas une experte sociale, et n'aimait pas les grandes foules. Mais prenant son mal en patience, elle attendait pour pointer ses tickets, sagement, laissant la foule s'agitait pour un rien à son idée. Mais un homme en surpoids les bouscula, se laissant alors tomber au sol à la riposte du Vengeur.

Ziendra fixait l'individu de haut, avec un de ces regards à vous refroidir le sang en un instant, alors que Genki ouvrait sa bouche pour dire des choses peu agréables. Il est, sans nul doute, que l'homme aurait voulu riposter... Mais Ziendra n'avait pas le temps pour ce genre d'imbécile. Posant sa main sur Genki, elle prit alors parole.

“On a pas besoin de s'attarder sur ce genre de type. Il ne mérite pas cette attention.” Dit-elle, froidement.

Son regard plein d'indifférence et hautain jeter à l'individu le fit laisser sur le cul. Cette femme n'était pas d'humeur, et contre deux personnes il ne faisait probablement pas du tout le poids. Prenant ensuite la main de son amant, la jeune femme repris le chemin jusqu'au train où elle prit place avec celui-ci, annonçant le long trajet qu'ils allaient faire entre différentes gares.
Assise à chaque fois au plus près de la fenêtre pour supporter le moins possible les va et viens de la populace, elle tentait néanmoins de garder une discussion active avec le Vengeur. Discuter de choses et d'autres, parlant parfois de son travail exaspérant au Konbini mais de cette petite vieille remarquable qu'elle ne pouvait qu'adorer. Parfois, blaguant sur des moments clés du voyages, ouvertement. D'autres sur les paysages que notre Rouge ne pouvait se retenir d'admirer : surtout ceux pleins de nature, dépeuplé.

Mais au fur et à mesure du temps, des heures, notre Dragonne avait du mal à tenir le rythme avec cette part d'anxiété grandissante à l'idée de se rapprocher inévitablement de ce lieu qu'elle avait fuit à l'adolescence. Rien que son regard démontrait une sorte de panique intérieur de ne voir aucun changement, et d'avoir à agir d'une manière ou une autre contre ce monde d'abrutit. Mais il fallait rester le plus détendu possible : le voyage n'était pas déterminé, les échanges entre les stations rester épuisant, et Genki devait commencer aussi à en avoir marre de tous cela. Mais quoiqu'il arrive : ils approchaient.

Ce fut tard dans la nuit qu'ils arrivèrent dans la gare paumée de ce petit village ancien. A peine le pied mis en dehors de ce train, Ziendra se figea un instant pour fixer les alentours, avec un frisson d'horreur de sa présence ici. Mais elle ne pouvait plus reculer : Il fallait avancer.
Ainsi, elle conduit le Vengeur à l'hôtel du coin, petit et peu confortable. Qu'importe, elle ne semblait pas enclin à  dormir pour elle : une envie de faire des rondes et d'examiner le tout avant d'entrer dans le tas dès le lendemain. Mais tentant de se retenir, elle regarda Genki et se laissa tomber sur le lit en soupirant, frottant ses yeux, avant d'énumérer ses idées et sa manière de faire.

“Dès demain, je me rends à ce collège discuter. Voir ce qu'ils ont à dire. Ensuite je retrouve Constantin et j'entame une discussion à nouveau, voir si le connard a changé ou non... Et enfin les parents... C'est un peu près le programme, s'il n'y a pas d'accroche.”

La jeune femme se redressa, faisant face à Genki d'un profond regard de ses yeux ambrées.

“Je conseille néanmoins un grand repos... Car je suis sûre qu'il y aura des accroches, et qu'un moment ou un autre, on va devoir se défendre. Je doute que ce soit bien... Calme et acceptable autour de nous.”

Frottant l'arrière de sa nuque, tout ses sens étaient déjà en alerte : visible juste par les mouvements distinct de sa queue qui ne pouvait plus tenir en place, et ses oreilles qui étaient plus basse qu'à l'habitué. Le danger était si proche, mais impalpable pour le moment. Il pouvait venir de nulle part, comme de n'importe où : c'était difficile d'analyser avec ces années de différence, de départ. Mais le point noir était forcément ce Constantin : pour elle, ce taré n'avait aucune chance d'avoir changé... Il était profondément marqué dans sa connerie religieuse, et son délire d'être “sauveur de lumière”. Bref, un con fini.

Un sommeil lourd, mais peu reposant : entremêlant d'étrange souvenirs et de cauchemars trop silencieux pour la réveiller, mais assez pour l'empêcher d'être détendue. Ce cercle vicieux ferait qu'elle ne serait probablement pas aux mieux aux petits matins, confrontés à cela. Mais ainsi se voulait le retour à la maison pour elle.
Des souvenirs de sa mauvaise famille et leurs visions étriqués de la vie par un abus de la vision qu'ils possédaient autour de la "sainte" Bible. Des souvenirs de ce collège, gonflés par l'ignorance en monstruosité et le temps, ne sachant plus défaire le faux du vrai : sauf de cet événement où sa virginité disparu tristement dans un abus tel que son corps n'oublierai jamais les dégâts physiques et mentaux. Des images de Jin, hurlant, tentant étrangement d'aider Ziendra malgré tout, souffrant de Constantin toutefois. Genki, lui, à sang et aux portes de la mort sous la même croix qui l'a terroriseait littéralement. Croix qui s'effondrait sur lui pour l'empaler, finalement pousser par Jin et Constantin à la fois après que le Loup ait changé de camps.

Tout se mélangeait dans ses rêves et désillusions du passés, c'était incompréhensible et si dur à affronter : mais rien n'en ressortait sur son visage, durant cette nuit pourtant trop agité. Comme une volonté d'affronter celle ses peurs sourdes en elle, quoiqu'il advienne.

Ce n'est que quand le soleil vint la réveiller, qu'elle put se rassurer de voir le visage de Genki près d'elle, en se logeant un instant contre lui. Ses oreilles basses démontraient un vrai malaise, bien que celui-ci ne put l'apercevoir les yeux clos. Reprenant assez rapidement ses esprits, la Dragonne se leva en embrassant le cou du Vengeur qui s'enfuit dans son oreiller, arrachant un sourire attendrissant matinal à celle-ci qui se leva donc faire son café en l'attendant.
Des bisous, un rapide déjeuner, et les voilà qui se vêtirent pour affronter le futur qui les attendaient avec des griffes bien trop aigusés.

Hochant la tête à la phrase de Genki, elle s'était équipé en conséquence. Déjà, l'apparition de ces cornes n'étaient pas visible : briser et scier jusqu'à être dissimuler par ses cheveux rouges. Ensuite, sa queue fut enrouler autour d'elle, alors qu'elle portait des vêtements plus larges afin de mieux la dissimuler. Le but était surtout de ne pas montrer trop sa différence dans ce pâtelin de gens coincés. Une capuche sur la tête faisait le travail pour ses oreilles longues. Mais sa peau noir, et ses yeux ambrées reptiliens resteront bien visible malgré toutes tentatives.
Enfin prête, elle emmena, prenant la main de Genki, celui-ci vers l'ancienne bâtisse du collège catholique.

Devant celle-ci, Ziendra s'était figé un instant, regardant ces vieux matériaux tenant encore miraculeusement debout, où des élèves entraient et sortaient dans leurs tenues très stricts et leurs croix autour du cou. Une sorte de tour avec une cloche et un pendule se tenait en maître dans la cour, sûrement le toit de l'église intérieur destiné à la prière pour ces fameux élèves.
Les frissons l'envahissaient, surtout en fixant la croix de Jesus qui trônait en hauteur comme un symbole surpuissant qui l'écrasait elle, la déformée. Ce ne sera qu'avec un petit encouragement de Genki, qu'elle relâcha sa main pour entrer. Respectons les codes de conduites intérieurs du bâtiments et signifiant à la sécurité qu'elle avait rendez-vous avec la directrice.

A l'annonce de son nom, Lakshi Ziendra, l'homme se figea un instant, avant de reprendre poliment et les emmenés tout deux aux bureaux de celui qui tenait fermement les règles ici. Toquant puis entrant, la jeune femme ne put voir qu'une personne différente de son époque. Au lieu d'une vieille femme aigrie, c'était un jeune homme qui vint les saluer avec trop de manière, les faisant s'asseoir et offrant un thé ainsi que des biscuits.
Les yeux ambrées de la Rouge se posèrent sur Genki, remplit de doute un instant mais gonfler de courage pas la simple présence de celui-ci qui semblait l'encourager à poursuivre son aventure. Alors, les paroles vinrent, et enfin, des vérités allaient éclatés.

Le directeur prit la parole.

"Je me doute que vous venez pour en savoir plus sur ce qu'il s'est passé à votre époque, Mademoiselle Lakshi." Dit-il avec une voix profondément douloureuse et désolé.
"Cela me semble logique, malgré la fuite durant l'adolescence je dois l'affronter : et d'une certaine manière vous aussi."
"Je vous assure que de notre côté, les choses ont été faites !"
"Si cela avait été le cas, ce ne serait jamais arrivés..."
"Laissez moi finir..." Soupira t-il difficilement. "Votre ancienne directrice n'a pas su remarquer le problème assez tôt, elle a déjà perdu sa fonction en résultat à l'enquête." Levant la main pour empêcher Ziendra de répondre, il poursuivit. "Constantin fut dénoncés par ses petits amis. Nous fument mit au courant, mais vous aviez déjà disparu. Cela ne changea rien : ils furent tous punis, au niveau de leurs péchés. Les amis purent purger et finir l'école. Constantin fut renvoyés et envoyer dans un pénitencier spécialisé. Il en est sortie, certes, mais il a purgé sa peine Mademoiselle Lakshi. Il a payé son crime odieux envers vous. Et depuis, nous avons une alerte bien plus grande pour les personnes à l'alter de transformation. Jamais un tel acte ne doit se reproduire."

Le silence se fit. Lourd. Pesant. La dragonne était déboussolée, affolée, égarée. Voilà qu'on lui annonce qu'une justice avait été porter et qu'elle ignorait le tout : que sa construction d'adolescente était basé sur un tissus de mensonge fait à elle-même qui avait refusé de revenir. Qu'ils n'étaient peut-être pas tous pourris jusqu'à la moelle. Qu'elle avait, simplement, probablement... TORD.
Coup dur, elle ne pouvait plus parler, et se contentait de baisser la tête, tremblement dans les mains qui serraient avec toute sa force son pantalon, mordant ses lèvres à sang discrètement, retenant une violente crise de larme. Que pouvait-elle dire ou faire, face à ses révélations, et surtout aux documents sortit par le proviseur avec soins pour attester de la réalité des faits.

Celui-ci poursuivis un instant, en s'excusant du fait que la famille n'eût jamais chercher à savoir rien d'elle, ni porter plainte. Que celle-ci fut, semble t-il, rejeter de l'église pendant un temps avant qu'on leur accorde le pardon malgré tout. Ainsi, sa famille pourris n'avait pas changé, et jamais eût d'inquiétude : ceci au moins n'était pas étonnant.
De même, il affirmait qu'ils auraient aimé l'aider, mais avec sa disparition et le peu de moyens, ils ne pouvaient lancer une recherche dans tous le pays. Juste prier pour qu'elle soit en vie, et il était ravis de la voir ici aujourd'hui. Une réponse à leurs dites prières.

Oh, là-dessus Ziendra aurait bien envie de cracher dessus, ces prières de cons n'avaient rien à voir avec sa survie, elle ne le devait qu'à elle-même : à son acharnement à vouloir vivre malgré toutes circonstances, ne jamais baisser les bras... Rien qu'elle, et personne d'autre. Dieu, après tout, n'existait certainement pas.
Mais rien ne put sortir de ses lèvres, complètement scellés et impuissantes. Car, la majeur partie de l'histoire restait quand même une erreur de jugement de sa part, à avoir rejeté l'endroit trop longtemps.

"Je veux l'adresse de Constantin." Finit-elle par sortir.
"Je peux vous la donner, mais pour votre bien mental, il serait mieux de jeter l'éponge et accorder le pardon. Rentrer chez vous, vous ne vous faites que du mal !"

Que répondre à une tel vérité ? C'était terriblement douloureux, mais tellement nécessaire ? Ah, toute sa force, toute sa puissance semblait si inexistante ici, et à part se laisser faire... La jeune femme ne savait plus comment réagir. Défoncer un directeur catholique qui n'avait rien à voir avec elle n'entrait pas dans ces plans, ni détruire le bâtiment qui abritait beaucoup trop d'innocent. L'explosion et la colère n'était certainement pas une option viable. Mais juste baissé la tête...

Musique d'ambiance:

Et malgré les encouragements de Genki, il était dur de garder l'esprit droit, bien que son corps le restait. Alors, comment forcer la main sans briser tout ce petit monde qu'elle détestait malgré les révélations qui devraient la faire sa ranger ? Ce n'était pas possible, la colère, la peur, la haine... Tout brûlait dedans, et s'emmêlait avec l'incompréhension et son ignorance.
Mais pendant que son feu interne brûlait vivement, le Vengeur prit alors les devants pour lui venir en aide. L'homme se leva sous les yeux ambrées de Ziendra, qui ne put que le voir s'asseoir dos à lui sur le bureau du Directeur refusant toujours. Mais Genki, jouant de charisme et de ce qu'elle ne pouvait voir, put obtenir gain de cause. En tout cas, le Directeur avait prit peur.

Une fois un papier remplis, le réceptionniste entra, enchaînant avec le Directeur et Genki. A cet instant, la Rouge avait déconnecté son cerveau, et même fermés ses yeux avec total confiance dans les actions et paroles de son amant. Le laissant gérer, conduire, et faire. La jeune femme se laissa porter, profitant de cet instant rare et précieux pour s'apaiser un minimum et éviter une boucherie.

Ils furent mit dehors, sans surprise. Le grand bruit du portail se fermant lourdement et refermer avec chaînes et cadenas fit ouvrir les yeux à la Dragonne qui vit son visage atterrir contre le torse de Genki. Respirant sa douce odeur, elle l'enlaça un instant, lâchant un peu plus du poids soudain sur ses épaules : le laisser venir, lui demander de venir avait été probablement une des meilleurs idées de sa vie. Vraiment.
Puis il déposa le papier, le post-it, dans ces mains. La jeune femme se décolla que l'égerment, afin de lire l'adresse en soupirant. Voilà la partie la plus difficile de l'aventure, mais la plus importante aussi. Celle qui règlerai tout, d'une manière ou d'une autre. N'est-ce pas ?

S'éloignant un instant en fixant dans la direction, la Rouge laissa le vent fouetter sa capuche, et l'enlever, révélant ses cheveux courts et en bataille. D'une main, elle prit celle de son amant, serrant doucement celle-ci :Une annonce qu'aucun des deux ne pouvaient devenir ce qu'il y aurait là bas. La preuve qu'elle redoutait une catastrophe... Mais aussi qu'elle croyait en lui, avait une réelle confiance.

“C'est une zone très éloignée, avec un petit lac, au milieu du bois, et probablement de quoi jardiner. Il survit par auto-gestion alors. Avant, c'était le lieux d'un vieux papi qui faisait la même. Il n'y aura personne pour voir, ou entendre. C'est pas loin, mais c'est donc dangereux.”

Prévenais t-elle en venant plonger longuement son regard dans celui de Genki. Il était temps d'être prêt, vraiment prêt. Avec l'historique de ce mec, la photo sur le net de sa victoire à un concours de pêche qui avait révélé une bonne masse musculaire... Un lieu isolé, où il pouvait s'adonner à ce qu'il voulait, répondre comme il voulait à ces deux visiteurs indésirables...


Ainsi, ils prirent route, Ziendra lâchant alors l'étreinte et se rendant à la dite adresse en trépignant quelques peu d'impatience et de peur.
Sur place, vide; Il y avait bien le champs, entrain d'être cultivé, et l'eau coulante à côté de la maison un peu en ruine par sa vieillesse. Mais pas âme qui vive : peut-être était-il en ville, vu que par les fenêtres et trous, il n'était pas non plus.  Une occasion d'en apprendre plus sur la vie de ce connard actuellement.
Sans demander toutefois l'avis et plan de Genki, la dragonne déverrouilla la serrure avec agilité, pour entrer dans la maison... Et en sortir tout aussi vite. Blanche d'horreur.

Genki, a sa suite, pourrait simplement remarquer que l'endroit est remplis d'objet de culte Catholique : rien de “perturbant”, sauf par la quantité : des tableaux, des statuettes, des bouquins, des images... Et une immense croix sur laquelle traîne du sang desséchés depuis des années. Une croix, que Ziendra ne pouvait surtout pas voir en face.
Une croix, sur laquelle était gravée des bâtons : semblant compter... Quelque chose ? Qu'importe : c'était la barraque d'un fou coincée dans une croyance trop limitantes. En dehors du culte, il y avait le strict minimum pour vivre, en meuble... Un minimaliste, sauf dans sa grande passion semble t-il.

Ziendra préféra restait dehors, près de la porte, argumentant au Vengeur que s'il pouvait trouver des dossiers interpellant, ce serait l'idéal. Car elle ne pouvait, juste pas, mettre les pieds dedans finalement. Sans devoir vomir ses trippes. Ainsi, la jeune femme laissa le vengeur fouiller, sans être loin et rassurant de sa présence avec sa voix une fois de temps en temps, prenant aussi ce temps pour monter la garde.

Dans cette vieille barraque, il y avait bien quelques écrits, griffonnés mais particulièrement illisibles. Parfois le mot “Démon” ressortait, mais sans plus d'interpellations. Il se prenait, ce Constantin, pour un être divin chargé de purger le monde de la menace de Satan. Un Taré dont la taule et le redressement de mineur à sûrement aggravé le cas !
Sur l'ordinateur encore allumé, et en mauvais état, des vidéos de cultes, de favoritisme du Blanc, du plein-pouvoir du Seigneur, du don de l'alter par celui-ci. Plein de conneries non scientifiques... Et des vidéos de lui, parlant du jour où il ne put accomplir son plan divin. Où il échoua, à l'extermination d'un monstre par l'odieuse trahison de ses pairs, et la fuite de celle-ci : Ziendra, l'incarnation probable d'un des sergents de l'enfer.

Alors que Genki ne peut-être qu'alarmé par le niveau d'obsession de ce type, Ziendra poussa un cri vif... Et rien d'autres, seul un gros bruit métallique qui avait suivit ce cri. Quelque chose de fort, qui avait pour valeur une terrible douleur. Sans nul doute que le vengeur sortit, pour admirer un spectacle effrayant.

La dragonne, étalait au sol et inconsciente pour le moment, la tête en sang bien visiblement. Celle-ci avait été prendre probablement de l'eau pour se rincer le visage, sans que ce soit trop loin... Et le coup avait été porté lorsqu'elle le faisait, comme sur une bête qui avait osé baisser sa garde.
Il était là : massif de par ces 2m10, et ces muscles. Effrayant par ce sourire de fou satisfait, et de sa pelle recouverte du sang de Ziendra dont il avait frapper l'arrière du crâne avec une force non retenue. Les yeux bleus du fou alliée se tournèrent vers l'inconnue, le Vengeur alors que son pied plein de boue dégueulasse vint écraser le visage de la jeune femme dans le sol, la pelle poser contre le coup comme une mise en garde.

“Tu es là pour aider à ma mission divine ? C'est toi qui m'a ramené ce magnifique cadeau ? Une proie que je chasse depuis si longtemps ! J'avais perdu espoir de la revoir la grognasse de Satan. Mais elle est là, sous mon pied.” Une main était tendu vers Genki, aussi, au cas où. “T'es un allié de qui ? Car si je veux accomplir mon devoir, il faut que ce soit parfait pour que le Paradis m'ouvre les portes...”

Clairement, au village, il avait dû entendre parler d'eux sans trop savoir qui c'était : mais surtout le collège avait du prévenir de la fuite de son adresse et donc... De Ziendra. Bien que le Directeur n'avait pas conscience de ce qu'il venait de provoquer en pensant bien faire pour le secret personnel de Constantin... Il n'aurait jamais imaginé déclaré une mini-guerre sainte là-bas en étant honnête et amour.
Un abrutit qui préviens un fou. Voilà ce que ça donne.

Et avec ses entraînements, ses aptitudes à survivre seuls reculés  : il avait dû entrer dans un mode de chasse, et attendre le bon moment pour frapper. Avec patience, inculquant une certaine horreur dans ses actions et paroles : car cela ne voulait que dire que notre dragonne n'était qu'un butin de chasse divine. Une bête. Rien d'humain.

Sans retenue, il n'avait pas hésité à montrer ses dons à Genki, et sa résistance. Ex-taulard, et gonflée à la testostérone pur et dur, ce n'était plus un homme mais un mur de cruauté raciste qui n'agissaient que par des pulsions meurtrières si forte, que son cerveau arrivait à faire abstraction des terribles brûlures qu'ils possédaient.
Néanmoins, son être s'en retrouvait ralentit, qu'il le veuille ou non. Même s'il pouvait gueuler sur Genki qui se trainait à Ziendra, de fait qu'il devait rester loin de sa proie principale et ne pas la toucher, il ne pouvait se jetait sur eux à plein fouet : ses jambes ne lui autorisaient pas.

Mais sa colère, sa folie, le faisait tenir debout, et avançait malgré tout. Et dangereusement, le faire se rapprocher du Duo.

Le Vengeur réussit, malgré tout, à jeter un seau d'eau sur Ziendra, encore au sol.

Alors que Ziendra était dans un noir absolue, le froid fit faire le tour à son sang. Un tour, un sursaut, assez fort qui força l'éveil de la jeune femme, bien qu'elle ne put que péniblement lever la tête. Les images et les sons... Tout étaient flous, difficile, rouge par le sang qui coulaient dans ses yeux.
Difficile de tout comprendre, mais la masse qui se rapprochait ne laissait pas de doute : le Danger était pire qu'imminent. Une pression lourde, qui riait, hurlait des choses que Ziendra ne comprenait plus. Un regard à côté, elle reconnu au moins Genki.

Et tout les nerfs de celle-ci se mirent à tirer, la réveiller avec rage en voyant l'homme, l'amant... Au sol, dans un sale état. En partie de sa faute car elle s'était faite avoir comme une bleu par le grand con. La rage au ventre, elle se redressa même si elle tituba. Ses yeux brillaient d'une lueur plus que meurtrière en grognant férocement.
Ouais, Constantin causait, mais rien n'arrivait aux cerveau de notre Dragonne, dont la queue gonflait et hérissait montrer la libération d'année de retenue, et la colère contre ce qui avait été fait à Genki. Le bras de Ziendra prit immédiatement la forme voulue, de Dragon qui hurla à plein “poumon”.

Celui-ci avait bien grossis, son volume bien plus imposant qu'auparavant, la tête plus menaçante... Etait-ce dû à l'augmentation de puissance de son alter grâce à ses entraînements ? Ou par la rage qui la contrôlait et la faisait tenir actuellement ? Ce sang bouillonnant d'un désir de vengeance terrible.
Oh, elle en aurait bien dit des choses : mais ses cordes vocales n'étaient toujours pas réveillés, et Constantin attaqua d'un coup de pelle violent droit sur elle... Mais il ne l'aura pas une seconde fois.

Le bras bloqua, même si une part de l'acier mal foutu se planta dans les écailles, ne faisant que grogner plus fort la Démone qui cette fois, usa de sa force augmenté pour jeter l'arme et le forcené plus loin, avant d'arracher de l'autre bras la pelle en laissant le sang couler au sol. Puis, la gueule vint briser celle-ci, pour la rendre inutilisable.

Ainsi le combat s'élança, alors qu'elle se jeta aveuglément sur lui, qui tandis sa main pour l'éblouir. Ziendra tomba sur le sol en roulant, frottant ses yeux et rageant, avant de se prend un coup de pied dans l'estomac qui la dégagea... avec lui. Car sa tête de Dragon avait chopper l'autre pied de l'individu.

Roulant dans la boue et les récoltes avec celui-ci, s'ensuivit un combat de force brute. Entre éblouissement à répétition qui faisait souffrir et saigner les yeux de Ziendra, celle-ci refusait de lâchait prise avec son bras. Les insultes fusaient, ainsi que des prières fanatiques. Mais elle tenait, jusqu'à lui arracher une des mains avec son bras dragon, cependant se faire détacher permis à l'autre avec une pioche de l'envoyer bouler plus loin après lui avoir planter dans le mollet droit.

C'était difficile. Ses yeux pleuraient à sang, sa vue étaient en ce moment très mauvaise. Elle n'arrivait plus à se remettre debout... Mais lui n'était pas mieux, se vidant de son sang par la main arraché... Le forçant à faire un garot en gueulant de haine pur alors que al Rouge jeta la main vers le fond du ruisseau.
La jeune femme se redressa, tant bien que mal, perdant néanmoins l'adrénaline au fur et à mesure malgré elle.

Mais ce qui était sûr et certain : c'est que Constantin n'avait plus que d'yeux que pour elle, oubliant complètement l'existence même de Genki dans sa folie meurtrière de mission “bénie” ou je ne sais quoi. Il hurlait tellement de choses, que c'était n'importe quoi au final. Ca n'avait aucun sens.

Ziendra sentait ses limites bien trop proches : dû au coup dans le crâne bien plus tôt qui l'a limité de trop. Et les blessures récentes. Restant néanmoins debout après avoir arracher la pioche et détruite... Dans son coeur et âme, elle espérait que Genki, son amant profiterai de cette occasion pour le finir...

Car la jeune femme ignorait combien de temps elle pouvait encore tenir debout. Sachant que bouger lui semblait trop compliquer. Sa tête tournait affreusement, la vision était presque absente avec tout ça, mais elle continuait de l'insulter en retour. Bizarrement, la Rouge se mit même à se vanter d'être un véritable monstre, démon envoyé de Satan, rendant le Constantin encore plus taré et concentré sur sa pomme.
Prise de risque réel... Mais au moins, il ne pourrait rien voir du côté de Genki.