0/1 - Tu m’as pris sous ton aile, car tu as compris que j’avais du potentiel derrière cette feignantise maladive. Tu essayes de me faire bouger et ce n’est pas facile. Mais tu sais me parler, surtout quand tu me nargues avec des chupa-chups et des takoyaki en guise de récompense.
0/1 - Ce n’est pas de l’amour, mais c’est tout comme. Amis de longue date, on ne s’est jamais quitté, tel un petit couple qui fait les quatre cent coups. Pour toi, je me lèverai à trois heures du matin, je ferais des efforts et… ouai non le déménagement ne faut pas abuser mec. Tu es celui avec qui je suis moi-même, avec qui je rire de plein gré et pleure sans aucune honte. Tu sais tout de moi, comme moi de toi. Bref, c’est de l’amitié incassable qui me fait devenir ce que je ne suis pas. Bon, après, tu le sais que je suis une grosse feignasse.
0/1 - Tu n'es pas trop un rival pour moi, car je n’aime pas les concours de bite. Mais toi, tu es du genre à vouloir être le meilleur et je t’ai volé la vedette à un entraînement. Alors forcément tu l’as mauvaise et tu m’as dans le collimateur. Tu te la joues meilleur que moi, tu essayes de me provoquer, tu essayes, et ça t’agace, car tu vois bien que je n’en ai rien à carrer de toi.
0/2 - Ma chambre d'internat est entre deux autres chambres. Donc forcément j'ai des voisins. Vous entendez des bruits des trucs chelou, parfois vous venez me voir pour me demander un truc ou me gueuler d'arrêter de ronfler ou de faire taire Serge qui miaule à la mort. Bref, une "bonne" relation de voisinage.
0/1 - Toi, tu es un vilain et tu as bien compris que j’étais du genre instable, que ma volonté de héros ne tenait pas à grand-chose. Et quoi de plus kiffant que de tenter de faire tomber un apprenti héros du mauvais côté ? Le truc, c’est que je suis un peu naïf et je n’ai pas compris qui tu étais. J’te trouve sympa, j’aime te côtoyer et apprendre ce que tu as à m’apprendre. Je t’écoute un peu trop. Une relation qui dans tous les cas, ne mène pas à un truc positif.
0/1 - Tu es une fille et à l’adolescence, les hormones travaillent. Je ne sais pas trop pourquoi, mais tu es en kiff sur moi et me fais de rentre-dedans plus ou moins discret. Le truc, c’est que tout ça, je ne bite rien et puis je suis gay – même su je ne l’exprime pas – alors forcément, tu ne m’intéresseras jamais. Le souci, c’est que je reste sympa avec toi, alors tu te fais des films gros comme ma planète.
1/0 - Ce n’est pas trop mon truc d’exprimer physiquement mon orientation, alors je ne suis pas un cliché du gay – à part pour le rose. Personne ne sait, personne ne se doute et surtout pas toi. Pourtant, même si je ne capte pas ce genre de sentiment, c’est dingue comme mes yeux restants rivés sur toi à chaque fois que je te vois. J’aimerais te parler, mais pour une raison que l’ignore, je bloque, comme si j’étais timide. Peut-être que tu as remarqué mes regards insistant faute de voir mes sourires gênés, peut-être pas. Tu ne veux pas être au moins mon ami ? Mais s’il te plaît, évite de me frapper pour ça.
0/3 - Je vais souvent à l’hôpital, tous les jours, le soir après les cours principalement. Je n’y vais pas pour moi, mais pour mon frère, dans le coma depuis deux ans déjà. Quand je lui parle, je ris, je souris, je fais des blagues et j’ai l’air heureux. Mais quand je sors de la chambre, mon regard reflète une grande tristesse.
0/3 - Avant Yuei, j’étais le punching-ball de mon école, l’ijime qui avait son bureau couvert d’insulte et de pousse au suicide. Tu as fait partie de ces connards, au début, je te détestais, maintenant, j’ai pitié. Car il faut être mal dans sa peau pour s’en prendre aux autres et bien faible quand cet autre est bien plus petit que toi.
0/∞ - Toutes autres idées de lien qui vous traversent l'esprit. Sachez que si vous voulez à lien, mais n'avez aucune idée, je ne vais pas la trouver pour vous. Je peux aider à développer à partir d'une petite idée, mais inventer à votre place alors que vous me demandez un lien, c'est mort. Je risque de ne pas répondre car j'ai franchement la flemme.

Petite blabla sur le type recherché. Ardeo, mihi credite, Patres conscripti (id quod vosmet de me existimatis et facitis ipsi) incredibili quodam amore patriae, qui me amor et subvenire olim impendentibus periculis maximis cum dimicatione capitis, et rursum, cum omnia tela undique esse intenta in patriam viderem, subire coegit atque excipere unum pro universis. Hic me meus in rem publicam animus pristinus ac perennis cum C. Caesare reducit, reconciliat, restituit in gratiam.