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Bill Mountain
Vilain Solitaire
# La colline a des yeux
Lun 9 Juil - 10:37
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• Nom : Mountain (nom qu'il s'est donné, tout du moins…)
• Prénom : Bill (c'est comme cela que sa mère l'appelait)
• Surnom : Hillbilly
• Age : 24
• Sexe : Homme
• Groupe : Vilain solitaire
• But : faire mal à ceux qui font mal.

Son alter est un alter de développement musculaire. Pour faire simple, ses muscles sont plus résistants et plus puissant que la moyenne. Il s’agit d’un alter d’activation.


Bill est né malformé, il est légèrement bossu et son épaule droite est légèrement plus haute que la gauche. Et une autre anomalie génétique a fait que des cheveux lui poussent sur l’omoplate droite. Il boite également de la jambe droite, mais ça n’est pas vraiment handicapant. En soi, Bill semble tout droit sortir d’un film d’horreur, ou d’être l’assistant du Dr. Frankenstein. Sa taille n’aide pas non plus : il mesure 2 mètres 20. Son visage est déformé, un peut brûlé, comme étiré. La peau a comme fondue. Elle cache ses yeux qui ne sont plus que 2 points lumineux, visible car la lumière a la bonne idée de réfléchir.
La peau de la moitié de son visage est comme brulée, idem pour celle de son épaule, bras et omoplate droite. Autrement, tout le reste de sa peau est rugueuse, est pâle. Témoignant de nombreux jour qu’il a passer à l’abri de la lumière solaire, dans un territoire désertique.
Il est le candidat parfait pour être un tueur d’un village perdu dans des collines. Cependant une chose vient briser cette image de colosse effrayant et potentiellement brutal : sa voix. Il a une voix douce, presque angélique. Pas très forte. Ni trop grave ni trop aigüe. Une voix de charmeur presque. Cependant il ne s’en sert pas beaucoup.

La voix de Bill n’est pas la seule chose légèrement en contradiction avec son physique monstrueux: mentalement, Bill est semblable à un enfant. Il n’as pas pût sortir de son chez lui de toute son enfance. Il est rester enfermé chez lui par son père, de ce fait, il n’as pas pût s’épanouir avec les autres enfants, n’as pas pût aller a l’école. Durant les 24 ans qui sont derrière lui, ont l’as traiter comme un enfant.
Une conséquence logique de ce passé a amener a une absence quasi totale de culture et d’éducation: il sait a peine lire et écrire. Et ne sais absolument pas faire de calcul. Il a en revanche compris comment fonctionne le comptage, et arrive a compter.
Ces années de “séquestration” lui ont cependant permis de dévelloper deux choses dont il se sert dans son combat contre les vilains: une haine contre son père qu’il redirige vers ceux qui font souffrir les autres physiquement, en ce sens il voue une grosse haine a ceux et celles qui battent leur conjoint(e) ou leur enfant; et ensuite un sens de la justice et de l’injustice assez pointus. Pourquoi ne pouvait-il pas sortir jouer avec les autres? Car il était malformé? C’est injuste!!


L’avion était haut dans le ciel, il s’agissait du premier vol de Bill. Il se sentait proche des anges, proche des oiseaux. Il était contre le hublot, la tête tournée vers l’exterieur, admirant la beauté des nuages. La terre ferme en bas, toute petite. Les être vivant pourraient s’apparenter à des microbe en bas.

Il glissait son regards entre les planches en bois du cabinet noir dans lequel son père l’avait une énième fois enfermer pour avoir lever le regard sur lui. Le monstre n’as pas le droit de lever les yeux. Il doit les garder baisser et près de sol. Pourtant dans ce cabinet noir, il les levaient. Ils essayait d’attraper de l’oeil les oiseaux passant. De réels symbols de libertée. Ils les voyait, et rêvait de se faire pousser des plumes.

Bill se tenait a coté de sa mère, elle même a coté du père. Elle était entre les deux, tel un rempart. Empêchant la violence et le mépris du père de s’en prendre a son fils. Ce dernier portait un gros sweat et avait mis la capuche. Que ce monstre soit exposé? Plutôt mourir avait dit le père. Ce n’était que grâçe a la mère d’ailleurs si le fils accompagnait les parents au japon. Le père était d’avis de le laisser a la maison et le laisser crever de faim.

Mais la mère s’était interposer, le fils avait alors échapper a une autre scéance de coups de ceinture, la première avait déjà été assez douloureuse. Le père méprisait son fils, son monstre de fils, mais aimait toujours sa femme. Même si le monstre avait un peut ternis cet amour. Ainsi ce n’est que grâçe a la mère que le fils vivait encore. Et grâçe a la mère si le fils n’avait pas encore utiliser sa fabuleuse force pour se liberer.

L’avion venait de regagner le plancher des vaches, tout les passagers descendirent, Bill en dernier. Tout le monde se dirigeât vers l’aire des bagages. Bill était forcer de marcher derrière ses parents en boitant. Une fois a l’aire, le père s’éloignât de quelques pas pour rejoindre les tapis. Les valises commençaient à défiler. Une main douce prit celle de Bill. Sa mère lui adressat un sourire. Elle degagat un peut la capuche de l’orreille de son fils. Elle approchât ensuite ses douces levres de son oreille.

Le soir était tomber. Un rare soir ou Bill n’était pas dans le cabinet noir. Il était sortit de sa chambre. Son père était dos a lui, sur le canapé, devant la télé. Ce serait...si simple de glisser les mains sur le cou de son père, si simple de lui brise la nuque d’une simple pression...après tout, personne ne saurat rien dans les montagnes, un accident est vite arrivé. Le moment fatidique arrivait, mais une main douse se posât sur le bar de Bill. Sa mère lui adressât un sourire. Elle le raccompagnât dans sa chambre. Le père n’as jamais rien sût de cette soirée.

La famille attendait maintenant sur le trottoir, le taxi qui devait venir les chercher. Discrètement, la mère tenait et serrait la main de son fils. Leur coeur a tout les deux battait a rompre leur cage thoracique. Ce soir il n’y avait pas beaucoup de monde, ce fût simple pour le taxi de trouver ses clients. Le père se penchât a la fenêtre pour tenter de dialoguer avec le conducteur. Pendant ce temps, la mère glissat un petit livre dans la poche de son fils. Elle lachât ensuite sa main, et lui adressât un regard. Elle s’écartât. Bill avait champs libre d’atteindre son père. Ce serait si facile de glisser les main autour du cou de son père...ce fût si simple de lui briser la nuque. Voir son corps inerte sur le sol était d’une sensation euphorique indescriptible. Il y avait cependant des témoins. Un mot de la mère, pleurant, certainement de joie de voir le vrai monstre mort, mais peut être aussi de tristesse, car elle hurle a son fils de fuir. De fuir très loin. Et malgré sa jambe boiteuse, Bill savait courir vite. Sa force lui permettait. Il courût sans s’arrêter. Sa capuche et le peut de luminositer avaient au moins cacher son  hideux visage. Lorsque les ombres de deux batiments dans une ruelle ainsi que les faveurs de la nuit firent leur aparition, Bill dechirat le sweat qu’il portait laissant son t-shirt crasseux et dechirer s’exposer. Laissant l’animal exposé. Le livre que sa mère avait glisser dans sa poche a néanmoins glisser tandis qu’il se liberait. Il le ramassât. Il s’agissait d’un dictionnaire pour parler le japonais. Un genre de bon début pour embrasser sa nouvelle vie. Libre comme un oiseau.
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Bill Mountain
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Johan R. Grant
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# Re: La colline a des yeux
Lun 9 Juil - 17:49
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Johan R. Grant
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