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# Melios Ryuusei: Minute papillon! [C] (fini)
Lun 2 Juil - 19:55
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• Nom : Ryuusei
• Prénom : Melios
• Surnom : Chrysalid / Mel' par ses proches
• Age : 25 ans
• Sexe : Homme
• Groupe : Vengeur
• But : Faire régner la justice
Son Alter est à l'origine de ses ailes et de ses antennes de papillon. Mais malgré ça, il ne peux pas voler et au maximum planer. Par contre, il possède la capacité de créer des spores lorsqu'il déplie ses ailes. Ces spores se répandent lentement dans l'air et paralyse si respiré. Leurs effets peuvent aller d'un léger engourdissement des membres à une paralysie totale.

"Vous voyez un homme s’approche de vous.
"On dirait presque un mannequin", tel est votre pensée à cet instant. C'est vrai que sa finesse et sa grande taille pourrez-vous le faire penser. De plus, cet inconnu a l'air de dépasser le mètre 90.
Vous prenez quelques instants pour détailler son visage.
Fin et lisse, affichant probablement un sourire, ce dernier n'est pas vraiment désagréable à regarder.
Mais peut-être ce faciès serait-il plus dérangeant, si vous l'observez lorsque ce n'est pas un sourire bienveillant qu'il affiche, mais plutôt un rictus fourbe? Ça, nul ne le sait.
Pour continuer cette légère description, ses orbes, plus communément appelé "yeux" sont d'une couleur chocolat mais tournent à l'ambre lorsqu'un rayon de lumière ose les traverser. Une lueur d'intelligence pétille dans ces derniers, mais serait-ce aussi des choses plus sombres qu'il cacherait ?
Ça vous ne pouvez pas le savoir. En tout cas pas en l'observant.
Pour ponctuer ce portrait, se trouve en son centre un nez fin et aiguisé, en totale harmonie avec ce qui l'entoure.

Vous levez un peu les yeux et ce sont finalement ses cheveux que vous apercevez.
Lisses et correctement coiffés, ils brillent d'un éclat doré. Leur propriétaire semble les entretenir avec attention. Ils sont d'une longueur raisonnable mais tout de même assez long pour ceux d'un homme, étant donné qu'ils s'arrêtent à sa nuque. Leurs textures à l'air soyeuse. Vous n'osez pas le faire, mais levez la main pour les toucher vous semble tentant. Entre deux mèches vous avez d'ailleurs bien vite remarquer quelque chose d'inhabituel: deux antennes semblables à celles d'un papillon. Une réplique auburn et complètement identiques à celles de l’insecte.

Ce visage vous donnera sûrement une bonne impression, celle d'un homme bienveillant. Ce qui est naturel, car vous ne pouvez pas deviner ce qu'il sera capable de vous faire, selon ce que vous êtes à ses yeux.
Votre description se fait alors plus générale. Et si vous ne les auriez pas remarqué plus tôt, votre regard s'attarde sur les larges appendices présents dans son dos. Si vous avez de la chance, vous les apercevrez dépliés de toutes leurs longueurs. Même si ce n'est souvent pas bons signes de les apercevoir.
Ses ailes sont longues de plusieurs mètres. Luisantes et d'une beauté sans pareille, ses écailles reflètent toutes les couleurs de l'arc-en-ciel selon la lumière ou l'angle de vue. Mais de votre point de vue, elle vous semble fragile. Et c'est le cas. C'est impossible pour le possesseur de ces attributs de voler. Elles peuvent sûrement amortir une chute, mais c'est tout.
Mais malgré l’élégance qu'elles émettent, elles sont souvent repliés. Questions de praticité. Le plus courant, elles sont donc fréquemment confondues avec une cape. Sous cet état, elles apparaissent noir et prennent beaucoup moins d'espace, tout en attirant moins l’œil.
Après ça, en toute logique ce sont à ses vêtements que vous prêter intérêt.
Son haut est une simple chemise blanche rentrée dans son pantalon. Cette dernière, soigné et sans aucun pli recouvre un peu le haut de ces ailes lorsqu'elles sont repliées.
Son pantalon est sobrement noir et sans fioritures.
Quant à ces chaussures, elles sont ébènes et cirées. D'ailleurs, sa pointure à l'air passablement grand, il porte sûrement du 43 ou 44.
Ses tenues toujours impeccables témoignent d'ailleurs de son caractère assez maniaque.

Sa silhouette est grande et fine, de même pour ses membres. La force n'a pas l'air d'être son avantage, tandis que son agilité était à plus l'air d'être son point fort.
En effet, il ne paraît pas extrêmement musclé, sans avoir l'air d'un fils de fer.

Quant à sa posture, elle est droite mais surtout adroite. De même que sa gestuelle qui est de toute évidence gracieuse.

Et puis finalement, vous vous éloignez de lui pour continuer votre chemin, ou bien vous interagissez avec lui, peut-être même que vous le connaissez. Mais ça, seul vous pourrait le décider."

Il aurait de nombreuses façons de le décrire, de façon positive, on pourrait vante sa gentillesse, tandis que de façon beaucoup plus péjorative, on pourrait le décrire comme un homme obéissant à une vision bien trop sombre de la justice.
Plus couramment, on dépeindrait Melios comme un jeune homme ayant pour premiers traits de caractère sa gentillesse et son respect. Un jeune homme charmant, en somme. Mais comme tout le monde, une part sombre est renfermée en lui.
une part de froideur et de haine.

Mais commençons par le commencement.
Sa bienveillante le caractérise.
C'est réellement une vraie crème avec ses proches. Attentionné et aimable, les gens trouvent en général sa compagnie agréable. Poli et courtois, rares sont les cas où il élève la voix. D'un tempérament joyeux, il n'en est pas moins réaliste. Plus pacifique que quiconque, c'est même lui qui a pour habitude d'adoucir les conflits dans son entourage. De plus, il semble protecteur en particulier envers les enfants voire même envers les élèves qu'il pourrait rencontrer. Même si cette gentillesse peut facilement disparaître, si le jeune homme se sent méfiant. L'imprudence est, malheureusement pour ses ennemis, loin d'être un de ses défauts.
Aussi, il a un caractère assez taquin et aime plaisanter, tout en sachant rester sérieux quand la situation l'oblige.

Il possède aussi ce qu'on pourrait appeler un sang-froid légendaire. En fait, le voir perdre son calme relève presque du miracle. Mais comme chaque humain, il a une part de faiblesse.
Néanmoins, il faut de son mieux pour toujours la contrôler.
Perdre ce calme et sa retenue fait en effet de lui un homme bien plus dur à vivre.

Mais avant tout, réfléchir avant d'agir et sa philosophie de vie.
Sa prudence et sa méfiance on du lui sauver la vie plus d'une fois.
Prenons l'exemple d'une situation où il croiserait un vilain. Au lieu de foncer dans le tas telle une bonne brute qui se respecte, il serait plus du genre à filer l'ennemi avant de l'attaquer avec un plan réfléchi. Et puis, faire face directement au danger n'est pas une chose des plus faciles avec son alter. Une stratégie est donc obligatoire.
Sans être un génie, il s’avère donc être assez intelligent. C'est un fait que son cerveau carbure plus vite que celui de la plupart des autres gens.
À noter qu'il aussi très soigneux voire presque maniaque.

Certains individus le voit également comme une présence relaxante.
De même, un certain mystère se dégage de lui. Sans être timide, il est plutôt discret et ne parle pas énormément, et encore moins de sa personne. Il reste quand même capable de longues et intéressantes conversations sur les sujets le passionnant.
Venons en ont ses passions. L'art en général, mais tout particulier la musique. L’homme est violoniste, après tout.

Chercher le conflit n'est pas dans sa nature. La paix est la seule chose qu'il souhaite. Juste ça. Et, malgré sa gentillesse habituelle, il devient un vrai monstre de froideur envers ceux faisant le mal.
Nous arrivons donc à la face cachée de son caractère. Celle qui ferait de lui un ange si elle n'existerait pas.


Impitoyable, il n'hésite pas à prendre la vie de ceux qui, à ses yeux, le mérite. Les vilains en somme. Pour lui, les héros sont bien trop doux avec ceux dérangeant la paix.
Il en devient presque manipulateur. Prêt à tout pour venger les victimes de ces criminels, sa froideur en devient réellement choquante. Mais il ne pourrait pas s'arrêter de faire régner la justice. Rien ne pourrait enlever le sang qu'il a sur les mains après tout.

Pour commencer, comme chaque enfant je suis bien évidemment né de deux parents. Évident n'est-ce pas ? Mais vous voulez tout de même quelques précisions je suppose.
Que dire à propos d'eux ...? 
Déjà, ma famille était, ce qu'on pourrait familièrement appeler, même si je n'aime pas utiliser ce terme, une «  famille de bourges ».
Sans être millionnaires, nos revenus étaient très confortables. En gros, les mots « problèmes d'argent » ne faisaient pas partie de notre dictionnaire.
Revenons en plus précisément à mes géniteurs. 
Ma mère était en soi une femme banale. Peu de choses sont à raconter à son propos. Comme toutes les mères, c'était une personne aimante.
Quant à mon père, je ne les jamais beaucoup vu. Il a toujours beaucoup travaillé. Mais sa persévérance m'avait toujours impressionnés. 
Et puis il y a mon frère, de quelques années mon aîné. Tout simplement brillant.
C'est donc parmi cette famille déjà construite que je naquis, une journée ensoleillée d’août. 
Inutile de précisez que mes parents avaient un goût pour les prénoms étrangers et originaux. 
Mais moi ça ne m'a jamais dérangé. Après tout, si chaque personne est unique, pourquoi son prénom ne pourrait pas l'être ? Enfin, ne nous égarons pas sur un débat. Retournons plutôt à la narration de cette histoire.

Comme une grande partie des enfants, mon Alter s'éveilla dans ma petite enfance. 
Mon pouvoir n'était pas très surprenant... mais... ce n'était qu'un mélange incomplet de celui de mes parents. 
Celui de ma mère était un alter de mutation lui donnant de nombreux avantages semblables à ceux des papillons, comme par exemple voler. Et celui de mon père était très puissant. Un souffle fort pouvant paralyser. 
Et moi, mon pouvoir ne leur égalait ni en puissance et ni en utilité. 
Ces ailes... ces larges appendices prenant dans la place dans mon dos... je ne peux pas voler avec. Et je pris de nombreuses années à gérer mes spores. 
Alors que mon frère, lui, avait un bon Alter. Un Alter de télékinésie puissante. Contrairement à moi, on plaçait beaucoup d'espoir en lui... à mes yeux, c'était si injuste.

L'enfant que j'étais grandit, les jours défilèrent et mon entrée en école primaire arriva.
Pour moi, c'était un pas de fait pour être « un grand ». Comme tous les enfants en soi. Même si dans mon cas je suis devenu un « très grand ». 1 m 92 ça commence à faire beaucoup. Mais reprenons notre sérieux.
Et donc, arrivé à cette école... une fois encore, j'ai été confronté à l'injustice.
Au départ, tout allait bien pour moi. J’étais un petit garçon intégré, ayant un nombre d'amis raisonnables.
Néanmoins, l'image que les autres avaient de moi changea lorsque j'utilisa mon Alter contre un autre enfant.
Dit comme ça, je n'avais aucune raison de le faire, n'est-ce pas ?
Sans les détails, en effet.
C'était une journée qui semblait banale de tout point de vue, mais là, sortant de l'école, je vis quelque chose qui me marqua profondément. 
Des enfants en ennuyant un autre. Des simples chahutement me diriez-vous ? 
Quand un enfant est au bord des larmes comme c’était le cas, c'est loin d'être aussi minime. 
Voyant cette scène, c'est sans me soucier du reste que je l'aidai. 
Je me mis près de lui et posai une main sur son visage quelques instants. Loin de moi l'idée de l'asphyxier, je l'empêchai juste de respirer mes poudres paralysantes alors que je déployais mais larges ailes. 
À cette époque, mon pouvoir était encore assez faible. Mais les enfants furent incapables de bouger pendant quelques dizaines de secondes. Le temps nécessaire pour que je commence à courir en tenant mon camarade par la main.

Vous pourriez bien sûr pensez que mon anecdote d'enfance s'arrête là. Néanmoins ce n'est pas tout à fait le cas.

Bien évidemment, mon « dérapage » se fit savoir. On me punit ça pour avoir défendu quelqu'un. Il était vulnérable et il aurait pu être blessé, mais malgré tout on me réprimanda. 
Cet événement me laissa longuement un goût amer en bouche. De plus, à cause de ça, les autres enfants commencèrent à m'éviter. Mais ce n'était pas grave. Je n'avais pas besoin de la compagnie de ces gens. En outre, suite à cet incident mon camarade malmené fut plus proche de moi, si bien que nous avons partagé une longue amitié durant notre primaire.

 Passons les détails insignifiants jusqu'à la fin de l'école primaire. J'aillais bientôt entrer dans une autre école de plus « grand » tandis que mon frère lui, allait prochainement entrer au lycée. 
Comme dit plutôt, mon aîné avait un très bon Alter. Réellement doué, on comptait tous pour lui pour rejoindre UA. 
Et même si aurait était accueilli à bras ouverts, il décida de ne pas continuer sa scolarité dans cet établissement. Pourtant il aurait rencontré très certainement une grande réussite. 
Sa raison était la suivante ; il voulait d'un métier tranquille et ne se sentait pas l'âme d'un héros. 
Lui, ce n'était pas une vie passer à se battre pour ses idéaux qu'il voulait, mais plutôt de longues journées assises devant un ordinateur à faire des tâches ennuyantes.
Ce fut comme une révélation pour moi.

J'en étais sûr. Je voulais être un héros respecté et admiré. Enfin pouvoir faire régner la justice sans avoir de problèmes. Mais aussi montrer à mon frère la chance qu'il avait ratée en décidant de ne pas aller à UA. 
« S'il peut le faire, alors moi aussi j'en suis capable. »
Et ça, c'est ce que je pensais avant de faire face à une grande désillusion. 
En outre même si mes parents étaient plus dubitatifs vis-à-vis de ça, ils me laissèrent une chance. 
Je pourrais tenter l'entrée à UA, même si jamais je n'y arrive pas, ce seront à de grandes études que je me destinerai. 
Quelques détails sont à préciser. Auparavant, le seul métier auquel je pensais était violoniste. Cet instrument que je joue depuis de nombreuses années était ma plus grande passion. 
Mais je comprends que mon ascendance voulait que je fasse un métier... plus sûr.

Plein de rêves et paisible fut le collège. 
Jusqu'a ce que l'examen intervienne. 

Sans détails sur mon échec lamentable, je ne fus pas pris.

Pendant des années, je me suis pourtant persuadé que j'y arriverais, que j'avais l'étoffe d'un héros. Mais ça n'arriverait jamais.
J'ai pris du temps à m'en remettre. 
Et puis... pour remuer couper dans la plaie, je découvris la face cachée de mon frère.
Je l'avais compris lorsqu'il vint me « consoler ». 
Ça le rassurait de me voir échouer. 
Il se sentait bien en me voyant échoué lamentablement à des choses qu'il aurait pu réussir haut la main.

Mes années de lycée furent catastrophiques. Je ne voulais certainement pas continuer les études générales. Ayant abandonné mes idées de justicier, c'est mon second rêve que je tentai de réussir, malgré la désapprobation de mon entourage.


Et après le lycée, je fis un des choix les plus imprudents pour mon futur. 
Les disputes avec mes parents s'intensifier. 
Pour faire rompre tout ça, j'ai quitté le foyer familial à à peine 18 ans. 
C'était décisif. Je me retrouvai libre et indépendant. 
Je coupai aux ponts avec ceux partageant mon nom et fréquentai une École de musique. 
Ces quelques années furent longues et compliquées. Après des interminables heures de cours, je me débrouillai pour tenir le coup financièrement grâce à des emplois rudement payer. 
Inutile de préciser que c'était bien diffèrent de mon quotidien assez luxueux. Mais c'était le prix de la liberté.

Mais... malgré tout... mon rêve de justice dormait toujours au fond de moi... même sil me semblait tout simplement inaccessible. 
En plus... il commençait à s'effriter. Les Héros... Après que je sois devenu un adulte, il me semblait beaucoup plus vulnérable que lorsque j'étais enfant. 
Les vilains semblaient même se développer de plus en plus... .


Quelques années plus tard, l'école se termina et ma carrière de violoniste débuta.
Je vivais grâce à divers petits concerts ou participations à des orchestres, et encore aujourd'hui je me porte très bien ainsi.
Et... il y a encore quelques mois, mes... « activités » commencèrent.
Le premier vilain que j'ai puni, c'est par hasard que je l'ai rencontré.
Je le connaissais un peu plus que les autres malfaisants de son genre. Il avait déjà blessé certaines connaissances. Et par blessé j'entends qu'ils se sont retrouvé à l'hôpital pour la plupart.
Ce criminel, il était là, dans un coin sombre de la rue alors que la nuit était tombé depuis longtemps. 
Je l'ai suivi, les attaquer discrètement... et lui est fait expier ses fautes.

Les mois suivants, ces activités continuèrent. Au début, je livrai souvent les criminels de façon anonyme aux autorités. Mais face à leurs incompétences, j'ai dû employer des méthodes plus dur. 
Certes... j'ai du sang sur les mains... mais c'est négligeable face au nombre de vies que j'ai sauvées. J'avais enfin trouvé un moyen de faire régner la justice. Et même si je suis vu comme un vilain au lieu de la loi, je sais que je n'en suis pas un.

Enfin, ce fut grâce au événement récent que j'appris l'existence des vengeurs. Je n'hésita pas une seule seconde à les rejoindre. Ces gens partagent le même objectif que moi.

Ma narration enfin finie, j'espère que cette histoire vous satisfera, car vous n'aurez pas plus de détails. Parlez de moi n'a jamais été ma passion. Et puis... le meilleur est sûrement encore à venir.
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# Re: Melios Ryuusei: Minute papillon! [C] (fini)
Jeu 5 Juil - 18:07
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